Mouais, mouais, mouais et mouais.
Christine Orban reprend l'aventure (réelle) tumultueuse entre
Virginia Woolf et
Vita Sackville-West, la « fictionnalise » légèrement, la prend pour point de départ de l'écriture du roman autobiographique (donc relatant vraiment sa romance avec Vita sous la couverture d'un personnage ‘transsexuel') «
Orlando » de
Virginia Woolf.
Sans nul doute,
Virginia Woolf était réellement une femme tourmentée à la santé mentale instable.
Sans nul doute, Vita était cette aristo vivant dans un château entourée de domestiques partant régulièrement en voyage, entourée de gens influents et cultivés.
Peut-être, leur relation permit-elle à l'une et l'autre de trouver un équilibre, un apaisement, une source d'inspiration permanente, etc… mais comment dire… cela ne transparaît pas à la lecture de ce livre. Bien (trop) souvent se pose la question de savoir où l'auteur veut nous porter, nous emmener sans jamais y trouver de réponse.
Heureusement, le livre ne fait « que » 230 pages. Ouf !