Ne jamais baisser les bras : Légion étrangère

Pourquoi avoir demandé à lire le livre de Danilo Pagliaro " Ne jamais baisser les bras : Légion Étrangère " des Éditions Mareuil lors de la dernière édition de Masse Critique ? Je les en remercie d'ailleurs.
Je ne vois des légionnaires que lors des défilés du 14 juillet à la télévision française. Mais chaque fois, j'en ai des frissons, les poils des bras se hérissent et le frisson remonte jusqu'à la nuque. Leur tenue, le képi blanc, leur marche lente et digne, cette cadence puissante et majestueuse est un événement. Alors, j'ai eu envie de savoir, de lire ce témoignage.
J'ai eu un peu de mal à appréhender le texte, de phrases courtes presque assénées. Mais le livre a été rapidement dévoré.
J'ai été satisfaite. J'en ai beaucoup appris sur ce corps d'armée, ce "corps d'élite prêt sur un très court préavis à intervenir sur un théâtre d'opération externe ou sur une zone de guerre".
L'auteur en parle très bien et l'on ressent sa fierté.
Les traditions à la Légion Étrangère constituent un ciment qui se traduisent par des détails vestimentaires, des emblèmes et des symboles spécifiques, des chants et des musiques et surtout des fêtes particulières. le code d'honneur du légionnaire dicte la conduite de ces hommes au quotidien en temps de guerre comme en temps de paix.
Je comprends le sentiment de "c'était mieux avant", ce que le "politiquement correct " a pu transformer dans l'implication à forger un esprit de corps par l'effort. J'avoue que je ne suis pas d'accord sur certains poncifs concernant les femmes par exemple.
La phrase retenue "Les règles doivent toujours être respectées "

J'étais assez curieux de le découvrir ce livre. Je ne lis pas beaucoup de documentaire, je ne connais rien à la Légion et avec "Ne jamais baisser les bras", j'ai vu l'occasion de plonger dans un monde dont j'ignore tout.

Dans l'ensemble, ça va. On apprend plusieurs choses intéressantes et pour peu que le sujet nous captive, Danilo Pagliaro arrive à nous entraîner avec lui.

Malheureusement, même si l'ensemble est rythmé, ce texte traine des maladresses qui m'ont un peu dérangés durant ma lecture.

J'ai trouvé que du début jusqu'à la fin, c'était souvent répétitif. Des passages deviennent même redondant tant on nous répète quasiment aux mots près ce que l'on nous avait déjà raconté il y a quelques pages à peine.

Le côté "c'était mieux avant" m'as aussi bien ennuyé. Cela accentue le côté répétitif du livre avec en prime un discours un peu limite auquel je n'ai pas toujours adhéré et encore plus sur la fin. En voulant combattre les clichés liées à la Légion, l'auteur est devenu à mes yeux une caricature et même si je suis resté jusqu' au bout, tout ceci associé l'un a l'autre , fait que sur la fin, j'avais un peu tendance a lacher le livre.

"Ne jamais baisser les bras" est en tout cas une lecture sur je suis content d'avoir lu. C'est très loin d'être parfait mais on apprend quand même des petites choses à travers ses successions d'anecdotes. Une chose que je savais déjà : le Légion ce n'est pas pour moi!

Je remercie la masse critique de Babelio pour l'envoie de ce livre.

Alors j'étais ravie de recevoir ce livre, car j'ai vu beaucoup de reportage sur la légion étrangère et lire une autobiographie de quelqu'un qui l'a étais était une aubaine.
Nous suivons l'histoire vrai de Panilo Pogliaro qui deviendra Pedro Perrini. Il a garder que les initiales de son nom et prénom, c'est comme ça à la légion.
Il s'engage à 37 ans, sachant que la limite c'est 40 ans. Il laisse derrière lui sa femme et ses enfants.
Tout commence à Aubagne, nous allons suivre son parcours (il m'a manquer certains descriptifs des épreuves passer) et après un temps, il deviens Légionnaire.

Cependant, il y a beaucoup de répétition ce qui allourdi le récit qui étais pationnant. du moment ou il commence à nous raconter la vie en partant de son enfance, cela à pour moi aucun intéret, ce que je voulais lire c'est sa vie à la légion.

C'étais pas si mal mais un peu ennuyeux.