Katherine Pancol m'avait laissé un excellent souvenir avec sa trilogie précédente. Et c'est sans hésitation que je me suis plongée dans cette nouvelle trilogie.
La couverture me laissait présager une histoire assez légère, en tout cas joyeuse. Idée confirmée par la lecture de la 4ème de couverture: les muchachas qui dansent, dansent, dansent...
(le titre n'est pas terrible par contre. On était habitué à mieux, à plus poétique).
Première surprise : on retrouve Hortense et Gary. Si je veux résumer: une pimbèche qui veut devenir une star de la mode et un petit con qui court après ses notes de musique. 50 pages qui m'ont presque fait détester l'ancienne trilogie. Ils sont devenus ça les personnages???
Après paf, surgit une stella et une Léonie. Et bien là j'ai pris une sacrée claque. Adieu légèreté, histoire d'amour et cie. Maltraitance, viol, inceste, peur... On plonge dans l'horreur . Quand j'ai commencé à accrocher à cette histoire. Paf on retrouve joséphine et son homme en voyage en Italie. Vas-y que je doute, que je déprime. Il m'aime mais je ne mérite pas son amour. Mon dieu mais c'est quoi ça????
Paf on retrouve Stella et sa mère et on en prend encore plein la tête. Même si je n'ai pas pu lâcher le livre.
Je ne m'attendais pas à ce que ces thématiques soient abordées dans le bouquin surtout avec une telle construction narrative (même si
Pancol tire une ficelle pour faire un lien entre les deux trilogies) et des passages avec les personnages de l'ancienne trilogie qui paraissent complètement superficiels. Ils m'ont d'ailleurs passablement ennuyée.
j'ai mis 3.5 parce que c'est bien écrit (à part quelques phrases un peu bizarres) et que l'histoire de Stella m'a touchée.
Par contre, je trouve que la 4ème de couverture n'est vraiment pas assez explicite. Je pensais souffler avec cette lecture et ça n'a pas été le cas. Surtout que le livre s'achève sur le meurtre du chien de stella. La fin est angoissante. le pire n'est peut être pas encore arrivé alors qu'on a déjà eu une grosse dose de souffrance.
Je ne comprends pas trop la démarche de
Katherine Pancol.