Trois Baisers

Ouf je croyais être le seul à ne plus en pouvoir et je suis rassuré avec les critiques lues sur ce site, comment peut on écrire et délirer de cette façon. Saturation totale plus jamais de livres de cet autrice. Pourtant j'ai apprécié le 1er et ensuite avec l'arrivée de Junior, les longueurs explicatives du xII ème, Iris qui devient soumise, le retour de Chaval complice d'Henriette, on commence à ne plus croire dans cette histoire, on perds pieds, une très mauvaise soupe, cette histoire d'amour de Joséphine et Phillipe je t'aime moi non plus, ce Gary et son père, insipide, délirant, surnaturel, tout est compliqué, irréel un rêve non un cauchemar 🥶

bon ! pour ceux qui suivent un peu mes chroniques, vous savez que je ne suis vraiment pas du genre à abandonner un livre en cours et je trouve toujours quelque chose de positif dans un roman .... Mais là, je n'ai pas pu ! tant j'ai adoré les 3 premiers volets de la serie et finis sans difficultés les trois suivants alors qu'ils sont plutot moyens...mais ici , non! Les personnages phares sont là mais il ne se passe rien ...ça n'avance pas ...l'histoire n'a ni queue ni tête (à force de vouloir faire se croiser des histoires entre elles, ça devient complétement incohérent et improbable) . Les personnage deviennent des caricatures d'eux même. Bref, j'ai tenu 173 pages sur un pavet de 850...dommage !
Encore une fois, à vouloir faire des suites, et des suites pour vendre ....on se brûle les ailes

J'ai adoré Les yeux jaunes des crocodiles...
J'ai aimé la suite : la valse lente des tortues et les écureuils de Central Park sont tristes le lundi
J'ai découvert Muchachas 1
J'ai lu Muchachas 2
J'ai commencé à en avoir marre avec Muchachas 3 (mais en réalité déjà avec le 2)...

Vous devinez la suite ? Trois baisers... ou comment Katherine Pancol, embourbée dans ses personnages, a voulu donné une fin, mais au final nous offre un crash aérien !
C'était long, mais long ! 850 pages de longueur, de platitude, de rebondissements qu'on voit arriver 3 km avant...
Elle a voulu donné de la place à tous ses personnages et finalement ça nous donne une cacophonie, tout le monde veut parler et prendre le devant de la scène...
Bref, trop ! C'était le livre de trop pour Joséphine, Hortense, Zoé, Stella, Philippe, Alexandre, etc...

Si l'histoire est prenante au début, elle devient vite ennuyante! Une catastrophe! La lecture est longue et on a du mal à lire le livre jusqu'au bout. de plus, les personnages sont assez grossiers, le langage est vulgaire...

C'est le tout premier Pancol que j'ai lu... je pense ne pas en lire d'autres. Dommage.

On l'a tellement martelé l'idée de lire du Pancol que j'ai fini par céder. Et quelle déception. Déjà, je n'ai pas du tout adhéré au style. Elle a le mérite d'en avoir un, mais je le trouve trop pénible à lire, comme si c'était écrit par un enfant un peu dérangé. La succession de phrases courtes m'a profondément agacé. On dirait une liste de courses écrite par un robot. Mme Pancol, il existe des conjonctions de coordination, vous savez!
Du côté de l'histoire, ce n'était pas plus réjouissant. C'est très bateau, mais en multipliant les points de vue et les chronologies, ça veut paraitre alambiqué.
Bref, première et dernière fois que je lis cette auteure.

Inintéressant j'aurai du lire les critiques avant de l'acheter.
Terminé.

Quelle déception ! Après avoir été enchantée par les deux précédentes trilogies de Katerine Pancol, je me faisais une joie de retrouver ces personnages que j'avais tant aimés. Je me suis finalement ennuyée : intrigue inexistante, rien ne se passe, ton moralisateur. Et le style : pauvre, artificiel et répétitif.

J'espère que la personne qui m'a offert ce livre ne lira pas cette chronique. Autant le dire tout de suite, je n'ai pas aimé du tout.
Je n'ai pas pu le lire en entier, j'ai survolé l'histoire. Enfin l'histoire, pour ce qu'il y en a … Il ne se passe rien durant 844 pages. C'est plat, c'est délayé à l'extrême, rempli de phrases ridicules, de mots en majuscules. Trop de mots en majuscules pour bien souligner le mot, tue le mot.
Déjà je crois que l'auteure bat tous les records de citations de noms de marque. Et ça je ne supporte pas. Mais ce n'est pas le plus grave.
C'est un ramassis de passages grotesques. Certains personnages sont caricaturaux à l'extrême. Le bibliothécaire homosexuel habillé en fille par sa mère qui voulait une fille. Junior alors là, on est dans la quatrième dimension. Comment est-ce possible de créer un personnage pareil ? Et Hortense, personnage insupportable qui nous soule pendant des heures avec son insolence, sa mode, son défilé. Cette pétasse ne m'intéresse pas. Enfin, elle ne m'a pas soulée longtemps car j'ai passé beaucoup de pages où elle apparaissait. Ce doit être à mourir si on lit tous les détails.
Et c'est quoi ces scènes de sexe qui n'apportent rien à l'histoire et ses incessantes allusions sexuelles avec les mots les plus crus ? On a l'impression que plus elle dit les mots bite et queue, plus elle est contente, comme un enfant heureux de dire des gros mots. C'est hallucinant. Et encore, je n'ai pas dû tous les voir. Est-ce quelqu'un est prêt à les compter dans tout le livre ?
Katherine Pancol aurait-elle pété un plomb ?
Bref, du grand n'importe quoi à tous les niveaux.

Bon, je ne vais pas en rajouter, ce serait redondant, tout a déjà été dit, je partage sans aucune hésitation la lassitude des lecteurs qui ont abandonné l'ouvrage en cours de route ... Cela ne m'arrive pas souvent, mais je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout de ce roman terriblement inutile. Difficile pour Katherine Pancol de faire le deuil des crocodiles et autres tortues. Et pourtant, il est largement temps de passer à autre chose !

Terriblement décevant et pourtant je me suis accrochée de toutes mes forces pour finir ce livre long et lent et sans saveur. On se raccroche à Stella pour finir ce livre. S'il vous plait Mme Pancol repartons sur une nouvelle histoire avec de nouveaux personnages et montrez nous vos talents qui je ne doute pas sont prêts à nous envouter