Claude Jaillet était un des pseudonymes de
Monica Lovinescu, qui a réalisé la traduction et un certain nombre de notes (mentions multiples de personnages du monde littéraire roumain), bien mieux que pour
Virgil Gheorghiu à ses débuts. Ce n'est pas indiqué sur le livre mais dans ce titre (en roumain, pas d'hérétique, au passage) : il s'agit de fragments. Traduction : il s'agit, comme certains le relèvent et comme trop souvent en matière roumaine, d'une traduction coupée.
En lisant, pour rester bref et s'il ne faut retenir que cela, il est curieux de voir à quel point Paraschivescu, personnage évoqué en particulier par
Mihai Neagu Basarab, généreux et intelligent, y croyait. Ses doutes portent surtout sur son sort, les dissidences, mais sur les lendemains qui chantent...