"Alvie commença le deuxième jour d’improvisation par quelques cris à la guitare basse et par un « Vous devez me prendre pour une folle, non ? ». Je commençai moi aussi par cette phrase. Cette phrase d’Alvie. La mienne, il y a longtemps, à l’adolescence. Prenez-moi pour une folle, je m’en fous. Et le rire qui sauve. Secoue. Crée le vide. Ose la percée du vrai ― silence ― dans l’affolement du sens."