Déçue !
Ayant emprunté plusieurs livres, j'avais gardé celui-ci pour la fin, en me promettant de me régaler au moment où j'aurais le temps de le déguster : un petit polar ; en gros caractères (j'aime lire confortablement !) en Italie, et sur la peinture et les peintres. Que du bonheur en perspective.
Déception.
Je n'ai pas du tout aimé l'écriture (je n'avais jamais rien lu de cet auteur).
Je n'arrivais pas à entrer dans l'histoire, au point que j'ai vraiment failli l'abandonner au bout de cent pages. Heureusement qu'aucune autre lecture ne me pressait. du coup j'ai essayé de persévérer.
Aux deux tiers du livre, un passage a commencé à m'intéresser.
J'ai cru que ça y était, que j'avais accroché, mais finalement, la fin aussi m'a paru trop complexe et peu passionnante.
Peut-être n'étais-je pas au bon moment pour le lire ? Pourtant, j'en avais bien envie de cette lecture.
J'en retenterais un autre, dans longtemps !!
Il est certain que
Iain Pears doit connaître son sujet, mais il ne fait rien pour nous y intéresser.
Un détail de traduction m'a étonnée : Pourquoi laisser le mot "autostrada" sans le traduire, alors que autoroute existe en français ? Je ne vois pas de différences entre les françaises et les italiennes, donc surprise de trouver ce mot en italique, comme s'il n'existait pas d'équivalent français.
Mais ça m'a amusée, parce que quand j'étais petite, il y avait déjà de belles autoroutes en Italie, mais à ma connaissance pas en France, du moins dans ma région.
Du coup, chez nous, on parlait toujours d'autostrade dans la conversation en français, et longtemps encore on a gardé ce mot.
Vite, un
Andrea Camilleri pour me replonger avec plaisir dans la lecture (dommage que j'ai déjà lu ceux excellents où il est question de peinture, comme le Ciel volé).