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Texas, 1872. La guerre de Sécession vient de se terminer. À l'Ouest du Mississipi, l'on envoie des hommes explorer et prospecter de nouveaux territoires. le géologue Stingley fait partie de ceux-là. Un homme bien ambitieux au projet qui l'est tout autant. À ses côtés, le photographe Oscar Forrest, de Manhattan, et le jeune fermier Milton, venu du Kansas. Non loin d'eux, de redoutables Comanches qui ne veulent pas céder leurs terres. Milton et Oscar semblent cacher quelque chose et fuir leur passé. le gamin aura bientôt la preuve puisqu'il tombe par hasard sur un article de journal relatant les escroqueries passées du photographe. Il se doit alors de lui révéler qu'il faisait apparaître des revenants sur les photos, faisant ainsi croire aux gens que leurs chers disparus veillaient sur eux. Visiblement, ils ne sont pas les seuls car ce trio est suivi à la trace par un homme plutôt inquiétant, vêtu de noir...

Loo Hui Phang nous emmène au coeur de ces contrées sauvages en compagnie de trois personnages énigmatiques et troublants. Quel passé fuient Oscar et Milton? Quel projet fomente Stingley? L'auteur nous offre un album qui mélange habilement western, fantastique et croyance, en filigrane, le génocide des Peaux-Rouges. Un album qui fait la part belle à cette nature sauvage, à la complexité de l'âme humaine et à l'amour. le scénario tient parfaitement la route, campé par des personnages charismatiques et énigmatiques, qui se dévoilent peu à peu. le dessin et les couleurs de Frédérick Peeters nous plongent dans une ambiance western particulièrement délectable. Un trait marqué, de superbes décors et des couleurs chaudes.
Un western atypique et intense...
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Ils ne sont ni mousquetaires, ni petits cochons, ni Suisses, alors, qui sont-ce t-ils donc, hein, dis, j'vous l'demande ?
Bien vu, les nouveaux héros de Peeters, c'était pas fastoche.

Stingley, directeur en chef de cette expédition privée en terrain hostile et n'aimant rien moins, à part étaler son incommensurable connerie, que d'observer la nation indienne, le zgeg à l'air.
Oscar, photographe attitré, semble décalé dans ce panorama aride. Cacherait-il de lourds secrets sous ses faux airs de dandy décadent!? Hiiiik, hiiiiik, hiiiiik, musique qui fait peur !
Milton, lui, du haut de ses 17 printemps, est le garçon à tout faire de ce trio éclectique. D'apparence inoffensive, il pourrait bien se révéler sous un jour nouveau. Nin, nin, nin, nin, second intermède musical flippant généreusement offert, mais c'est Noël ou quoi ?!

Sur fond de mystère, de spiritualité comanche et d'odyssée, azimuth plein Ouest, Peeters nous régale en élaborant un scénario déroutant au déroulé implacable.
Les masques tombent un à un, chacun se révélant au gré des épreuves traversées.

Le soleil donne, les couleurs explosent littéralement la rétine, nous offrant ainsi, en sus, un superbe teint hâlé au sortir de cette lecture.
Le coup de crayon n'est pas en reste. Précis et vivant, il participe grandement à la réussite de ce récit atypique.

L'odeur Des Garçons Affamés est de ces one-shot inclassables qu'il convient, en définitive, de ranger précieusement au rayon incontournable.

4,5/5
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"L'odeur des garçons affamés", voilà un titre intrigant. C'est d'ailleurs ce titre d'une étrange beauté qui m'avait interpellée lors d'une masse critique. C'est un autre titre que j'avais gagné lors de cette opération mais lorsque je l'ai vu à ma médiathèque, je me suis jetée dessus.

Globalement, "l'odeur des garçons affamés" est une réussite. le mélange de western et de fantastique fonctionne bien. Cet aspect surnaturel allié à un côté contemplatif donne une atmosphère très singulière qui exerce une fascination certaine sur le lecteur. La scénariste ne cherche pas à tout expliciter, elle laisse une part de mystère. Et j'aime quand un auteur ne prend pas son lecteur par la main, lui laisse un espace de liberté.

Le dessin est superbe. Les personnages sont expressifs, les paysages sont très beaux. Les couleurs sont particulièrement bien pensées et contribuent à l'atmosphère du récit.

Malgré toutes ses qualités, il m'a manqué un petit quelque chose pour être emportée. j'ai contemplé le très bon travail des auteurs mais je ne me suis pas sentie vraiment immergée dedans. Mon regard a été flatté, mon esprit a été stimulé par le scénario original et la richesse des thématiques mais mon coeur n'a pas été touché.

Challenge B.D 2017
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Une histoire assez inclassable que cette "Odeur des Garçons Affamés". A la fois une histoire d'amour, dans un décors de western, et un récit qu'on pourrait qualifier de fantastique. C'est un mélange assez étonnant, mais la mayonnaise prend, comme on dit...

Scénarisée par Frederik Peeters et déssinée par Loo Hui Phang, cette histoire porte clairement la marque de son scénariste : le refus de s'enfermer dans une case, des personnages en décalage avec leur époque (deux, en l'occurrence), la volonté de ne pas se livrer entièrement, de laisser un espace de liberté pour le lecteur. Un mystère savamment orchestré et mis en scène. Les deux récits n'ont rien à voir, dans la forme, mais ça m'a rappeler "Aama". C'est juste la marque d'une même personnalité et d'un même talent...

Après la guerre de sécession, des expéditions sont envoyés dans l'ouest sauvage afin d'en ramener des photographies (à l'époque, une technique de pointe) pour alimenter une propagande, destinée à encourager la colonisation des grands espaces sauvages...Nous suivons les pas de l'une d'elle, composé d'Oscar, le photographe guindé new yorkais, Mr Stingley, un notable du Kansas, plutôt rude, mais instruit, avec une vision très précise du monde de demain, et Milton, le gamin qui assure l'intendance. La tâche de la petite troupe devient hasardeuse lorsqu'elle arrive en territoire Commanche...

Au final, une belle histoire sur l'amour, le désir (qui ne saurait être l'objet d'un savoir). La rencontre entre deux mondes (les blancs et les indiens) n'est pas vraiment abordée : ils se voient, mais ne se parlent pas...La touche de fantastique instille une ambiance particulière et le constat est sans appel : l'homme n'aura jamais la réponse à toutes ses question. Les dessins de Loo Hui Phang sont très réussis, particulièrement les couleurs, qui magnifient ses paysages, parfois fantasmés, de l'ouest sauvage...

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Un bien bel album qui nous emmène dans des contrées sauvages où la nature règne en maître et où les chevaux – des Mustangs – font trembler le sol lorsqu'ils détalent. Les planches représentant la faune et la flore sont absolument divines, on se délecte, c'est très détaillé, très précis et très efficace ! Les couleurs explosent au travers des pages. Sur le plan artistique c'est brillant, c'est vraiment du grand art !

Que dire de ce trio, qui parait franchement loufoque lorsqu'on le découvre, mais qui reste au final très énigmatique ? de nombreuses questions restent en suspens à la fin de cet album, et je dois vous avouer que je trouve ça assez frustrant !

Pour ce qui est du scénario, on balance entre le western et le fantastique, L'odeur des garçons affamés est inclassable, impossible de le ranger dans un rayon particulier. On a d'un côté une dimension presque ésotérique, avec les croyances des indiens, qui nous emmènent aux limites du fantastique, et, de l'autre côté, la volonté très terre-à-terre des hommes blancs d'étendre leur territoire, l'expansion économique, la lutte de pouvoir, inscrites dans la « mythologie » du western. C'est une rencontre – un choc ? – entre deux mondes qui sont totalement hermétiques l'un à l'autre mais qui sont très intéressés par ce que l'un et l'autre peut proposer. On prend également une belle leçon sur la question du désir.

Si vous avez envie d'un moment d'évasion pour l'Ouest sauvage, une histoire d'indiens et également de balles de colts alors cette bande dessinée est pour vous ! Impossible d'en dire plus car je ne veux pas divulguer toute l'intrigue…
Lien : https://ogrimoire.com/2021/0..
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Dans le grand ouest, au-delà de la frontière, là où chacun peut se cacher ou se réinventer. Oscar, un dandy Européen, suit un rustre local qui veut utiliser ses talent de photographe pour faire un curieux recensement.
Mais rien ne se passe comme prévu, et les rebondissements viennent de toutes parts... le tout saupoudré de quelques éléments sensuels quand même !

Un bon scénario au rythme enlevé avec des découpages très cinématographiques absolument géniaux. Tout cela rachète d'autres éléments un peu plus convenus et cousus de fil blanc.
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L'odeur des garçons affamés - ah quel titre !!! Rien que ce titre, dont je ne déflorerai pas ici la signification, m'a poussé vers cet album.

En plus, c'est une collaboration de Frederik Peeters - dont les précédentes créations étaient très appréciables - avec Loo Hui Phang.

Et le graphisme est très plaisant.

Et les quatre cases de la quatrième de couverture avec ce court texte :

"L'Ouest sauvage
Une mission à la dérive
Un type qui rôde
Des Indiens tout-puissants
Un mystère

Et le désir, immense, insolent".

Il n'en fallait pas davantage pour être attiré.

L'odeur des garçons affamés raconte la mission d'une équipée composée de Monsieur Stingley, un géologue aux rêves singuliers de monde parfait, d'Oscar Forrest, un photographe accusé d'escroquerie et en fuite et de Milton, un "gamin" énigmatique. Cette équipée se balade dans le Texas et les territoires des Comanches pour le compte d'une énigmatique organisation**. La mission officielle de l'équipée sauvage est de prendre en photos les Comanches pour les recenser. Et très vite des phénomènes surnaturels entrent en jeu, des fantômes apparaissent, les trois membres de la mission révèlent leur véritable nature et leurs véritables intentions, un quatrième personnage à la figure ravagé et au phrasé particulier, une espèce de "zombi" - c'est celui de la quatrième de couverture - rôde autour de la mission...

S'inscrivant dans le Zeitgeist d'une partie de l'édition, L'odeur des garçons affamés n'est pas pour autant un western même si l'action se déroule dans l'Ouest sauvage, même s'il y a des indiens, des colts, des mustangs, ...

Et il aussi beaucoup question d'un "désir, immense, insolent" mais comme j'ai décidé de ne pas déflorer davantage, c'est à vous de découvrir cette belle histoire.

* dont je ne connais pas les créations.
** et elle le restera.
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C'est le titre énigmatique qui m'a attiré en premier : qu'est-ce que ça pouvait être, l'odeur des garçons affamés ? Je me doutais que l'on ne parlait de nourriture.

La deuxième chose qui m'a attirée, c'est le fait que l'histoire se déroule dans les paysages de l'Ouest, au Texas.

Les couleurs de cet album étaient dans des tons très chauds et les dessins ne me déplaisaient pas. Embarqué !

Dès le départ, Stingley le géologue, soulève quelques petits détails qui clochent chez Oscar, le photographe qu'il a engagé pour immortaliser les paysages et les autochtones. Oscar n'est pas aussi net que ses photos et on en saura un peu plus sur lui au fil des pages.

Stingley est, lui aussi, un personnage bizarre, qui se promène souvent les fesses a l'air et le service trois pièces aussi. Sans doute sa mère lui a-t-elle dit qu'il fallait aérer pour les odeurs… En tout cas, j'ai été étonnée qu'il ne se prenne pas un coup de soleil sur sa tchole, son tich, son zeb, son zob, sa bite, son p'tit zizi (qui n'est pas si petit que ça, entre nous, pour celles que ça intéresse).

Ce qui est grand aussi, ce sont ses ambitions : tout raser, extraire toutes les richesses des montagnes, du sol, tout foutre en l'air et surtout, éliminer les Indiens, surtout les femmes et les enfants.

L'autre mystère, c'est Milton, le jeune homme à tout faire. Mystère qui se lèvera plus rapidement pour les lecteurs que pour Oscar… Et puis, dans ses paysages magnifiques, il y a deux personnages troubles : un Indien mutique et souriant et un cow-boy avec une gueule ravagée, sans oublier des chevaux qui disparaissent et que l'on retrouve morts.

Cette bédé est atypique : elle commence normalement et puis ensuite, viennent se greffer des éléments oniriques (jusque là, tout allait bien), puis du fantastique et je me suis demandée ce qu'un tel personnage avait à faire dans ce récit. Non pas qu'il détonne, j'ai déjà croisé un de son genre dans une autre saga, mais dans cette histoire, je n'ai pas compris son rôle, son utilité.

L'auteur n'expliquera pas tout, ne donnera pas toutes les clés pour comprendre le final, laissera des mystères sans réponse, mais au moins, il ne vous prend pas par la main pour vous emmener là où il désire que vous alliez. Ce sera à vous de faire le job. Liberté totale d'interpréter le truc comme vous le voulez. On apprécie la fin étrange ou pas.

Si j'ai aimé les personnages d'Oscar et de Milton, si j'ai aimé ce qu'il se déroule, j'ai trouvé qu'il manquait un petit quelque chose pour que le récit m'emporte. Ou alors, c'est moi qui ai renâclé sans m'en rendre compte quand le truc fantastique est entré dans l'histoire, sans rien y apporter de pertinent.

Trop d'inexplicable n'est pas toujours un problème, il faut juste que tout le reste s'intègre bien dans le récit et n'aient pas l'air tout droit sorti d'on ne sait où, comme si on précipitait la fin et qu'on l'opacifiait un peu plus.

Dommage, parce qu'il y avait des thématiques intéressantes dans cette bédé, de la profondeur et du mystère. Sans oublier deux personnages intéressants et sympathiques.

Une lecture intéressante, sans aucun doute, mais je reste mitigée sur certaines choses. C'est un western fantastique inclassable, ça, c'est sûr !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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J'ai bien aimé l'ambiance western, le graphisme avec ses couleurs chaudes, et les personnages sont intéressants. Puis au fur et à mesure, le fantastique s'immisce dans cette histoire. Mais voilà, plus la fin approche plus le fantastique prend le pas sur le récit, les étrangetés s'accumulent, se percutent jusqu'à l'overdose, j'ai fini par m'y perdre, certains élément m'ont paru superflus et surtout, je me demandais ce qu'ils venaient ajouter à l'histoire, un peu comme une pirouette pour se sortir d'une impasse scénaristique (comme le chasseur de prime zombie par exemple), mais qui ne règlent pas les questions, au contraire, qui rajoutent de nouvelles interrogations. Au final, cette lecture m'a laissé franchement perplexe,et si parfois j'aime rester dans l'expectative à la fin d'une lecture, ici je n'en ai pas trouvé la justification.
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L'odeur des garçons affamés est vraiment une création étrange. J'ai été attiré par la couverture, avec cette caravane passant dans un canyon et le couleurs ocres. J'ai aussi été intrigué par la 4ème de couverture, assez énigmatique finalement et troublante avec la présentation graphique de l'un des personnages.

L'action se déroule au Texas, en 1872. La guerre de Sécession vient de se terminer. Il faut explorer et conquérir de nouveaux territoires, toujours aller vers l'Ouest, toujours à la recherche d'une nouvelle frontière à repousser. Nous suivons une caravane composée de trois hommes. le géologue Stingley qui a pour projet de répertorier toutes les populations rencontrées (autant humaines qu'animales) mais aussi les ressources géologiques. Il es accompagné par le photographe Oscar Forrest, de Manhattan, véritable dandy à la tenue un peu décalée par rapport à la rudesse des territoires traversés. le dernier membre de l'expédition est le jeune fermier Milton, venu du Kansas.

Autour d'eux, jamais très loin, évoluent des Comanches qui ne veulent pas céder leurs terres, veulent protéger leurs terres ancestrales et leur culture. Ils sont là en observation.

Milton et Oscar semblent vouloir cacher quelque chose, cacher une partie de leur histoire. Ils semblent vouloir fuir quelque chose, eux aussi sont à la recherche d'un new deal, comme pour se refaire une virginité ou seulement oublier ce qu'ils ont été avant. Oscar semble troublé par le très beau Milton, jeune éphèbe à la superbe plastique.

Oscar a fait sa fortune et sa réputation en faisant croire qu'ils pouvaient faire apparaître des revenants sur des photos mais il a dû fuir quand la supercherie a été découverte.

Notre trio est suivi à la trace par un comanche qui semble veiller. Mais veiller sur quoi et sur qui ? de plus un étrange personnage suit la caravane, personnage très inquiétant, ressemblant à un mort vivant, à un personnage semblant sorti des enfers.

Qui sont ces étranges personnages ayant des attitudes vraiment étranges ? Stingley semble se plaire les fesses à l'air et faire ses croquis sans pantalon, sans caleçon. Oscar avouera une attirance pour les garçon, attirance peu prisée sur à cette époque dans le milieu machiste des conquérants de l'Ouest, qui ne peuvent être que des hommes, des vrais. Milton est en fait u personnage qui se cache sur les frusques d'un garçon de ferme. Qu'a t-il vécu avant ?. Qu'a t-il subi ? Que fuit-il ?

L'histoire est plus que troublante. Est-ce un western ? Est-ce une nouvelle présentation de la conquête de l'Ouest ? Est-ce une ode aux amours homosexuels ? Est-ce une dénonciation de la spoliation des habitants primitifs et de l'oubli de leur culture ? Il y a une forme de magie dans cette histoire, un peu de chamanisme avec une relation particulière de certains hommes avec les chevaux, avec la nature ? D'où vient ce don en particulier celui de Milton ? Est-ce que l'on évoque ici une forme de spiritisme ?

Difficile de classer cette BD. Plusieurs portes restent ouvertes. Comme c'est un one-shot, aux lecteurs de se faire leur opinion et de trouver la suite ou la fin qui leur convient.

Le scénario de Loo Hui Phang est fort bien construit mais très troublant. le trouble est renforcé par le trait et les couleurs de Frédérik Peeters. J'ai beaucoup aimé les contours cernés qu'il nous propose et les couleurs m'ont rappelé l'ocre de Zion Park en Utah ou bien celles du Colorado provençal, Rustrel.

Bref, une BD inclassable mais faut-il toujours trouver des cases à ce que l'on lit ?


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