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EAN : 9782889230969
184 pages
Atrabile (14/01/2021)
4.02/5   195 notes
Résumé :
"Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile…"

Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça : dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, "... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Oleg est dessinateur de bandes dessinées. Sa vie tourne autour de ses albums, ses projets, ses idées. Mais aussi autour de sa famille, sa femme qu'il aime depuis 20 ans, et sa fille, jeune adolescente avec qui il passe de bons moments, comme aller au cinéma ou parler des livres qu'elle lit. Mais, voilà, depuis quelque temps, il peine à trouver un sujet pour son prochain album. Il a bien quelques idées, un peu farfelues, parfois, qu'il ne manque pas de soumettre à sa femme. Alors, il cherche, il observe, regarde le monde autour de lui, remarque combien il change vite. Un monde qu'il a parfois du mal à comprendre...

Frederik Peeters se met en scène dans cet album en incarnant le personnage d'Oleg. À travers lui, il se livre aussi bien sur son métier d'auteur/dessinateur, sur son quotidien, sur sa vie plus personnelle, sur ses angoisses et ses peurs, sur le monde moderne. Presque 200 pages d'introspection et de réflexions sur ce qui l'entoure, l'anime, l'interpelle, l'effraie parfois. Tour à tour cynique, réac, touchant, inquiet, un brin misanthrope, il enchaîne aussi bien les scènes d'action, les moments contemplatifs que ses pensées mises en image. Tout à la fois émouvant, tendre, drôle, cet album autofictionnel, s'il s'avère avant tout comme un témoignage d'amour à celles qui partagent sa vie, met en lumière également toute l'importance et la place de son métier. Graphiquement, Frederik Peeters nous offre de très belles planches fouillées et rythmées au trait dense et au noir et blanc profond.

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Oleg est une sorte d'alter-ego de Frederik Peeters, ce personnage est auteur de bande dessinée, marié, une fille adolescente, une personnage plein de doutes, sur la vie, son travail. Qu'est-ce que ce livre raconte ?
C'est un récit sur les aléas de la vie, telle qu'elle est, simple et complexe à la fois, Oleg/Frederik Peeters se livre délicatement, avec ses doutes. Il cultive l'ellipse avec une incongruité qui lui est propre, ce n'est pas l'humour de Fabcaro, ça donne à réfléchir. Bref, c'est le genre de bande dessinée que j'adore sans trop savoir dire pourquoi, parce qu'entre de virgules, de traits de crayon, on croit s'y reconnaître, puis ça nous échappe. Frederik Peeters m'a toujours troublé me laissant souvent dubitatif, j'ai mis du temps à vraiment l'apprécier, mais plus je le découvre, plus il m'émeut, plus il m'impressionne. Peut-être que cet album est à lire après Pilules Bleues. Cet album est sans doute plutôt destiné à ses fans, ce n'est en tout cas pas par celui-ci qu'il faut commencer.
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Cette bd autobiographique où l'auteur nous parle de lui, de sa famille, de son univers de création, de son regard sur le monde. Les sujets développés m'ont touchée. Elle est en noir et blanc, très hachurée et noircie, et le dessin est beau. Elle est découpée en planches ou encore en chapitres.

Oleg, c'est le double de l'auteur, un personnage myope et cool à la fois, mais il est bien plus encore. Il rencontre des difficultés avec la page blanche. Quelques idées le visitent, mais il hésite à s'engager dans une direction précise, et il en discute avec sa compagne qui est sa complice dans son travail de création.

L'auteur nous parle de son quotidien, comme le jogging, les séances de dédicaces, ou encore ses passages dans les écoles avec les questions des jeunes, ses voyages, ou de l'invasion des technologies dans la société, …
Et ensuite, il y a un gros chapitre dédié à l'AVC de sa femme, ainsi que la façon dont ils l'ont vécu en famille.

J'ai trouvé intéressante la façon dont l'auteur fait passer le vécu intime des personnages au travers du dessin. J'ai aimé cette bd qui donne de façon généreuse les clés de la vie de l'artiste bd.
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Frederik Peeters voulait pour les vingt ans de « Pilules bleues » faire un « livre miroir », un peu déformant. Il reconnaît d'ailleurs que « la structure du livre est assez proche » et a choisi de publier « Oleg » chez le même éditeur helvétique : « Atrabile ». La parenté des deux ouvrages est enfin soulignée par le choix de la couverture : même couleur rouge, même format…
*
Pourtant, ce nouvel opus n'est pas du tout une suite. On y passe du « je » au « il » et le sujet principal semble être Oleg et son processus de création comme l'indique toujours la couverture. On y voit, en effet, un homme allongé, perdu dans ses pensées, semblant rêver à sa prochaine oeuvre ou bien structurer son vécu en cases de bd comme semble l'indiquer la mise en page où le nom de l'auteur, le titre et l'éditeur sont inclus dans un gaufrier. Et c'est ce qu'il fait dire à son alter ego : « Il faut voir ça comme une tentative de raconter simplement une vie quotidienne […] À quoi ça rime d'être un auteur de BD vieillissant au 21e siècle ? ». Il répond à cette interrogation de façon presque documentaire tout d'abord. Nous suivons son quotidien d'artiste : il évoque ainsi les longues heures passées sur sa planche à dessin, ses conversations avec son éditeur, ses séances de dédicaces, ses interventions en milieu scolaire dans des saynètes fortement teintées d'autodérision.
*
Il nous offre ensuite une savoureuse mise en abyme et renouvelle le thème éculé de l'angoisse de la page blanche : Oleg a plein d'idées, son cerveau « bouillonne » ou plutôt « glougloute » comme il le dit lui-même, mais il a du mal à concrétiser. Observant ce qui l'entoure, il laisse libre cours à son imagination et élabore plusieurs scénarii qu'il soumet invariablement à l'oeil acéré de sa compagne, professeur d'histoire de l'art qui finit toujours par lui déconseiller de poursuivre dans cette voie. A la manière du « Magnifique » de Philippe de Broca, Peeters nous offre ainsi un ébouriffant pot-pourri des différents genres régnant dans la bande dessinée et des codes narratifs et stylistiques qui y figurent en les outrant pour en souligner les clichés dans une virtuosité jouissive. Mais cette dimension métalinguistique devient encore plus drôle lorsqu'on s'aperçoit que ces pages fantasques rappellent finalement la bibliographie de l'auteur : on y trouve en effet des références à « Lupus », « Saccage », « RG » ou encore « L'homme gribouillé »… Peeters s'amuse donc ; il construit en déconstruisant, reprend ses anciens ouvrages pour en faire du neuf à la manière du jeu de LEGO dont OLEG est l'anagramme…
*
Ce dernier opus n'est cependant pas une oeuvre pour « happy few ». Si connaître la bibliographie de l'auteur permet d'apprécier ses clins d'oeil, ce n'est nullement indispensable, le comique fonctionne de toute façon. Et surtout, ce n'est pas la dimension principale de cet album qui atteint une portée nettement plus universelle. En effet, quand le héros s'interroge sur sa prochaine création, il décrète qu'il veut s'interroger sur le fait d'« être un auteur vieillissant au 21eme siècle » certes, mais également qu'il veut « raconter l'amour long». Alors, comme dans le jeu de scrabble représenté au verso de la couverture, on peut à nouveau décomposer le titre OLEG et le mettre dans un nouvel ordre : L'EGO (mot compte triple !). Peeters nous touche alors en évoquant l'amour qu'il éprouve pour les deux femmes de sa vie : Elena sa fille adolescente à laquelle il transmet son amour des livres et du cinéma tandis qu'elle l'initie , lui le dinosaure, aux réseaux sociaux, et Alix sa compagne qui va éprouver la maladie. C'est dans ces pages plus intimistes et très pudiques que Peeters excelle se focalisant alors sur des détails infimes et imperceptibles tels quelques gouttes de sueur sur le cou d'Alix, un regard d'Elena et en utilisant de façon somptueuse les noirs…
*
« Oleg » c'est à la fois une réflexion sur l'art et l'artiste et une histoire d'humour et d'amour où la maladie vient poser un peu de gravité bientôt balayée par l'autodérision et beaucoup de tendresse. Une oeuvre attachante qui parlera aux quadras et quinquas mais pas que … une très belle découverte !

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Dans la peau d'Oleg, tel aurait pu être le titre du dernier opus de Frederik Peeters paru en ce début d'année aux Éditions Atrabile. Il s'intitule Oleg tout simplement et nous dresse sur un ton quelque peu ironique le passionnant portrait au quotidien de l'alter ego du bédéiste en 3 D : amour pour sa famille, réflexion sur son métier, regard quelque peu désabusé et questionnement sur notre monde avec lequel il se sent en décalage.

Oleg, la quarantaine, auteur de BD reconnu mène une vie somme tout banale rythmée par l'exercice de sa profession, ses séances à la piscine, ses sorties au cinéma et conversations complices avec Elena, son adolescente de fille, ses discussions concernant ses projets futurs avec sa compagne Alix, professeur d'histoire de l'art. A cette période charnière de la vie où il est en panne non pas d'inspiration mais de concrétisation, il peut compter sur le regard bienveillant mais non complaisant d'Alix pour avancer dans sa réflexion. Outre ses interrogations sur le sujet de son prochain album, il nous fait pénétrer dans son univers de créateur en dévoilant les différentes facettes du métier. On le voit plancher dans son atelier, discuter au téléphone avec son éditeur, galérer lors des séances de dédicaces ou des interventions en milieu scolaire, une véritable épreuve pour lui qui n'aspire qu'à la tranquillité, bien à l'abri dans sa bulle familiale et quelque peu coupé de ce monde consumériste hyperconnecté qu'il a du mal à comprendre ... Et puis va survenir un évènement qui va chambouler ce bel équilibre …

Vingt ans après ?
Frederik Peeters, ou pour être plus exacte Oleg, annonce la couleur de ce qui constituera le formidable terreau de cet album autofictionnel en noir et blanc qui ne comprend pas moins de 184 pages.
« Il faut voir ça comme une tentative de raconter simplement une vie quotidienne. La vitesse du monde. le brouillard idéologique. À quoi ça rime d'être un auteur de BD vieillissant au 21e siècle ? Ah, et puis raconter l'amour long, aussi! »
Raconter simplement, oui mais à la façon de Frederik Peeters, c'est à dire par le truchement d'un formidable télescopage des faits du quotidien et des images mentales décalées mais pertinentes que ceux-ci font jaillir du cerveau où elles glougloutent (pour reprendre ses propres termes) en permanence, visions oniriques mais également références cinématographiques ou picturales telle cette sublime reproduction du Narcisse du Caravage par exemple.
Difficile aussi de ne pas penser à Pilules bleues, cette autobiographie qui l'a propulsé dans le cénacle des auteurs avec qui il faut compter en 2001 dans laquelle il racontait comment vivre au quotidien avec le HIV de sa compagne, mère d'un petit garçon également séropositif. Alors, Oleg, serait-il le « vingt ans après » de cet album magistral ? Et bien non, pas du tout, Nous ne sommes pas dans Alexandre Dumas et l'auteur est très clair à ce sujet. D'ailleurs, exit le HIV et le petit garçon de Pilules bleues. Oleg est une autofiction, et histoire de bien enfoncer le clou, l'artiste a pris un pseudo et est passé du « je » des Pilules au « il » d'Oleg.

Jeu de mots, jeu de Lego
« Oleg … Lego … L'ego »
Voilà un avatar qui n'a pas été choisi au hasard. Qui dit autofiction introspective, dit parler de soi
en puisant dans ses souvenirs, en les scénarisant afin d'insuffler du rythme, de la lisibilité à l'histoire. L'auteur aime jouer et agencer ainsi les différents éléments qui vont constituer sa trame narrative en les imbriquant comme des pièces du célèbre jeu de construction danois. Sur la couverture d'un rouge éclatant, on découvre Oleg allongé sur le dos regardant en l'air et on se l'imagine rêvant ou encore structurant ses idées en cases tout comme le titre, l'auteur et l'éditeur le sont juste au-dessus … comme trois pièces de Lego assemblées …
Briques de Lego assemblées pour le recto, lettres de scrabble à remettre dans l'ordre pour le verso …

Palais du Facteur Cheval, petite machine de Tinguely
Ainsi Oleg définit-il son oeuvre et ainsi pourrait-on également qualifier celle de son auteur.
Difficile à classer, cet infatigable touche à tout a visité tous les genres, se renouvelant sans cesse : le récit intimiste dans Pilules bleues, le western dans L'odeur des garçons affamés (scénario Loo hui Phang) , le fantastique dans Château de sable (scénario Pierre Oscar Lévy) adapté au cinéma par Night Shyamalan sous le titre de « Old » qui sortira sur nos écrans en juillet, la science-fiction dans la série Lupus, le polar dans RG (Scénario Pierre Dragon) … Son perpétuel rebond de genre en genre est pour Frederik Peeters un remède ou plutôt un traitement préventif contre l'ennui et contribue à créer une oeuvre en constante évolution dans laquelle chaque nouveau livre est une brique (de Lego?) venant agrandir et enrichir l'édifice.

Faut-il rendre à Frederik ce qui appartient à Oleg ?
Évidemment, ce type de récit autocentré se prête à merveille aux mises en abyme et il en foisonne. Pour n'en citer qu'une, la recherche et les idées de scénarios imaginés par Oleg, font écho aux propres idées et albums déjà parus de l'auteur. Ainsi est-il fait référence à RG, L'homme gribouillé mais surtout Saccage avec toute cette réflexion autour d'un projet de long cauchemar graphique dans lequel un homme jaune évoluerait dans un monde post-apocalyptique.
Qu'on se rassure toutefois : Nul n'est besoin de connaître les autres albums de Peeters pour savourer pleinement celui-ci.

Un dialogue perpétuel entre la main et le cerveau
Tout comme l'écriture, le dessin structure la pensée. L'artiste suisse y voit comme une transe où cerveau et main se répondent en permanence. Il prouve ici une fois de plus sa maestria narrative en filtrant et organisant cette matière première, y inculquant un rythme, un équilibre mêlant des séquences de narration au trait très expressif sans surcharge d'une grande lisibilité à de grandes images contemplatives plus fouillées sur lesquelles l'oeil du lecteur peut prendre le temps de se poser. le tout est sublimé par une magistrale utilisation du noir et blanc et un graphisme extrêmement inventif s'adaptant aux différentes scènes et atmosphères.

Avec cette maîtrise parfaite du noir et blanc et de la narration, Frederik Peeters signe là un album percutant et touchant non exempt d'autodérision qui tend vers l'universalité. Partant des petites choses de son quotidien, il nous parle de la vie, de l'amour pour son métier et sa famille et nous livre son questionnement et ses réflexions sur le monde à travers des visions souvent oniriques. Une réussite totale !

Chronique sur L'accro des bulles
Lien : https://laccrodesbulles.fr/2..
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critiques presse (8)
BDGest
09 août 2021
A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
11 mars 2021
Au delà de cette façade d'auteur à succès, il se transforme en Oleg, assis à nos côtés, qui nous raconte tranquillement ces portions de vie. Portrait très touchant. Indispensable !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Bedeo
18 février 2021
L’auteur alterne dialogues et scènes cocasses avec avec de très belles planches contemplatives et muettes. Frederik Peeters insère aussi régulièrement de discrètes références à ses précédents travaux, jouant sur l’effet de mise en abyme.
Lire la critique sur le site : Bedeo
FocusLeVif
17 février 2021
Le Suisse Frederik Peeters revient à l'autofiction, 20 ans après le récit qui l'avait fait connaître, mais surtout sans se répéter: son Oleg brille à nouveau par sa pertinence et son originalité.
Lire la critique sur le site : FocusLeVif
BDZoom
25 janvier 2021
Biaisant la réalité en la plaçant à travers le prisme d’un double baptisé Oleg — une anagramme de Lego, cet auteur désormais incontournable jette un regard désabusé et quelque peu inquiet sur le monde.
Lire la critique sur le site : BDZoom
LaPresse
25 janvier 2021
D’un œil avisé, Oleg observe le monde et, surtout, son petit monde à lui : son amoureuse et leur fille, en pleine adolescence. Un titre intimiste attendu pour février.
Lire la critique sur le site : LaPresse
LesInrocks
21 janvier 2021
Le dessinateur ne s’épargne pas et se raconte dans un geste à la fois cassant et tendre pour parler du monde d’aujourd’hui.
Lire la critique sur le site : LesInrocks
BoDoi
15 janvier 2021
Le pari était risqué, le résultat est bien plus surprenant qu’espéré. La marque d’un grand auteur, qui a su se renouveler en jetant un oeil dans le rétro.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Consommation sans limite, voyage sans limite, connection sans limite, destruction sans limite... le monde craque par absence de limite.
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Oleg sent grandir une résistance en lui.
Son rapport au monde autrefois fluide et élastique, a tendance à coaguler lentement, imperceptiblement, à la vitesse d’un enfant qui grandit.
Il se surprend à espérer que les choses arrêtent de changer aussi vite.
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- T'avais déjà remarqué que "Oleg", si tu mélanges les lettres, ça fait "lego" ?

- Ha Ha! Depuis l'école primaire, oui!
On en a jamais ri jusqu'à aujourd'hui?
On peut même pousser jusqu'à "l'égo" !
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- Je me déglingue, je tombe en morceaux, je vais devenir une épave et tu vas me quitter.

– Pas tout de suite. C’est pas au programme. Et puis, tu es une rescapée, maintenant. C’est toujours beau, les rescapés. (Alix et Oleg)
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- Dites, j'y pense, il y a longtemps que je voulais vous demander... Sans lunettes, je vois flou, évidemment, mais je vois aussi beaucoup plus grand !
- Oui c'est normal, c'est parce que vos yeux sont trop allongés, donc l'image..
- Oui mais je me disais... alors quelle est la taille réelle des choses ? Quelles sont les dimensions de la réalité ? Les dimensions que je perçois avec correction ou sans correction ?
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