Un Noël à Jérusalem

C'est une petite sucrerie de Noël que de lire la cuvée de l'année dans la série des Noëls d'Anne Perry. Mais il ne faut pas s'attendre à autre chose qu'à un mini-dessert. C'estdonc Lady Vespasia et Lord Narraway, désormais mariés, qui sont les héros de cette aventure en Terre sainte. Ce qui devait être au départ un cadeau de Noël pour Vespasia se révèle dès Jaffa comme un périple à la fois dangereux et ésotérique. L'auteur place dans les pensées et les paroles de Vespasia toute une série de questions sur la foi, l'intérêt d'en avoir une ou simplement respecter des valeurs humaines qui peuvent transcender une vie, le sens de cette vie aussi, de son origine à sa fin, ce qui constituera au final le coeur de l'énigme des parchemins (on s'en doute un peu dès le début…)

Bon, il faut reconnaître quand même que tout ce questionnement était assez redondant… J'ai regretté aussi que le roman ne se passe pas à Jérusalem, contrairement à ce qu'annonce le titre : ce n'est que le but du voyage, réel et spirituel, qu'accomplissent Victor et Vespasia, qui ressortiront de cette équipée un peu capillotractée plus forts et plus unis que jamais.
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Une intrigue qui me laisse un peu mitigée. Comme de coutume, Anne Perry prend un de ses personnages secondaires pour en faire le héros principal d'une intrigue se déroulant en période de Noël.

En l'occurrence, il s'agit de Vespasia, mariée depuis deux ans à Victor Narraway. J'avais beaucoup aimé Un Noël à Kanpur avec Narraway jeune. Aussi, y allais-je confiante, d'autant que j'aime beaucoup la personnalité du personnage de Vespasia.

Narraway offre à son épouse un voyage en Orient, destination Jérusalem pour Noël. En chemin ils font la connaissance d'un astronome plein de sagesse retrouvé le lendemain égorgé dans sa chambre et qui leur aurait laissé un mystérieux parchemin à remettre entre des mains sûres à Jérusalem, la veille de Noël. le périple commence et avec cela un certain voyage spirituel qui prend le pas sur l'action, la rendant même confuse par endroits, donnant lieu à des personnages difficiles à suivre et une fin qui me laisse bien sur ma faim.

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Voici la petite histoire de Noël d'Anne Perry, c'est une tradition en fin d'année, un épisode à part, qui n'a pas de lien avec les deux séries policières qu'elle poursuit (Aventures de Thomas Pitt d'un côté et celles de William Monk, de l'autre).
Les héros cette fois sont Vespasia et son mari Victor Narraway. Ils décident de partir visiter Jérusalem. Arrivés à leur hôtel, ils font la connaissance d'un vieil homme que l'on retrouvera égorgé le lendemain. C'est ainsi que malgré eux, ils sont menacés de mort car le vieil homme leur a remis un parchemin précieux. C'est vraiment un conte de Noël, une histoire où les différentes religions sont très présentes. La fin est même assez étonnante et métaphysique.
Ce n'est pas un cru extraordinaire cette année. Enfin, c'est juste mon avis !

Une fois n'est pas coutume, je me suis ennuyée en lisant ce livre. J'aime pourtant beaucoup les intrigues de Anne Perry, en particulier les séries avec Pitt et Charlotte, ou avec Monk. J'en ai lu et aimé quelques dizaines tout de même.

Lady Vespasia et Lord Victor Narraway sont en voyage poir passer Noël à Jérusalem. Vespasia a déjà parcouru de nombreux pays, et son époux lui offre le cadeau dont elle rêvait depuis longtemps.
Lors de leur escale à Jaffa ils rencontrent d'un astronome tout à fait charmant et fascinant. Mais ce dernier est assassiné. Avant de les quitter, il leur a confié sans qu'ils le sachent un parchemin à apporter en un lieu précis à Jérusalem, la veille de Noël...

Le roman est avant tout prétexte à mieux connaître les différents protagonistes, déjà héros d'autres romans de l'auteur. Et surtout à de nombreuses digression sur la foi, la conscience, le chemin vers un monde meilleur.

Au final, ce n'est pas une lecture désagréable mais ce ne sera pas ma meilleure expérience de cette auteur que par ailleurs j'aime tant !

Après l'Europe, Lady Vespasia, désormais mariée à Victor Narraway, se retrouve à visiter la Palestine, ses villes millénaires et symboliques. A Jaffa, ils font la connaissance d'un vieil homme, sage, et sympathique, qui est assassiné. Avant de mourir, il avait eu le temps de glisser un parchemin et un message mystérieux dans la poche de Victor : amener le parchemin avant Noël à Jérusalem… Vespasia et Victor s'y rendent en train, poursuivis par un étrange homme en noir…
Dans l'idée de reprendre les vies des Pitt, et des Monk, abandonnées depuis longtemps quelque part dans ma PAL, je me suis dit que j'allais lire ce petit Anne Perry pour me « remettre dans le bain »… C'est raté… le roman est court, mais je ne suis jamais rentrée dans sa lecture : je n'y ai trouvé aucun intérêt, j'avais d'autres souvenirs de Lady Vespasia, plus caustique, plus affûtée (peut-être que le mariage ne lui réussit pas ???), trop de mystère qui confine au mystique (mais c'est Noël et on est à Jérusalem ???). Et globalement, j'avoue ne pas avoir compris l'objectif, et finalement avoir terminé ma lecture en transversale… En bref, très loin de mes attentes habituelles vis-à-vis de l'auteur…

Je ressors de cette lecture avec une impression assez mitigée sur l'histoire. Même si j'ai apprécié ma lecture dans l'ensemble, j'ai été un peu déçue par la fin du roman. Je pense que cela vient principalement du fait que l'on part dans une approche religieuse plutôt (très) spirituelle.

Déjà, je trouve que le titre français est assez trompeur : l'histoire se déroule en Israël, mais les personnages n'arrivent à Jérusalem qu'à 20 pages de la fin ! du coup, j'ai été franchement déçue ! Je m'attendais à découvrir Jérusalem pendant la période de Noël, avec les éventuels conflits ou tensions que cela pouvait impliquer à l'époque. J'espérais déambuler dans les rues, m'imprégner de la vie à Jérusalem, me plonger dans l'atmosphère de cette ville mythique… Raté !

Outre cette première déception, j'ai plutôt accroché à l'histoire…jusqu'au dénouement. On a beaucoup de mystère, de questions, de personnages intrigants tout au long du récit et j'ai bien aimé ces éléments qui m'ont tenue en haleine. Mais le dénouement m'a vraiment laissée sur ma faim ! Comme je l'ai déjà dit plus haut, on part vraiment dans une dimension trop spirituelle pour moi et j'ai complètement décroché.
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Bon, quand on a lu une série, on s'attache aux personnages, et j'ai eu du plaisir à retrouver lady Vespasia et Victor Narraway. Mais cette énigme un peu vite torchée, ajoutée au style hyper explicatif de l'auteur, ne m'a guère convaincue ...

Lecture en demi-teinte. L'intrigue, le contexte et les personnages sont intéressants. Mais au fil de la lecture c'est devenu trop mystique, surtout le personnage de Bénédict qui me paraissait bien décalé par rapport à l'histoire.
Vous rajoutez quelques longueurs un peut ennuyantes et voilà un livre qui m'a un peu déçue.