AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,29

sur 107 notes
5
24 avis
4
18 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
Arthur et Viviane, ainsi prénommés par leurs parents en hommage à la légende, se partagent la parole tout au long de ce livre, qui évoque un sujet difficile : le cancer chez l'enfant.
Arthur est passionné de voltige équestre. Lors d'un spectacle, un cheval aux compétences à part, s'approche de lui: il a détecté la maladie d'Arthur. Celui-ci atteint d'une leucémie va devoir faire face à l'hôpital, aux traitements lourds et physiquement durs, à la perte de la vie normale. Cette partie de l'histoire, contée par Arthur reste très émouvante, même si elle a déjà été traitée par de nombreux écrivains. L'auteure sait bien doser pour Arthur les moments d'espoir et ceux où il n'y croit plus, le rendant particulièrement attachant.
Mais l'intérêt du livre est ailleurs pour moi: j'ai beaucoup apprécié que la parole soit donnée autant à Viviane qu'à Arthur, Viviane dont la vie est aussi bouleversée par cette maladie, même si elle ne la subit pas dans sa chair. Elle est l'enfant qui va bien, celle dont personne ne se soucie,. Elle devra faire face à des responsabilités supplémentaires, en étant très seule. Elle a le sentiment de ne plus exister pour ses parents et surtout pour sa mère qui se consacre entièrement à son fils.
Je remercie Babelio et les éditions Didier Jeunesse pour l'envoi de ce livre, qui met en lumière les conséquences de la maladie sur le famille.
Commenter  J’apprécie          477
Je remercie chaleureusement Didier Jeunesse pour l'envoi, via net galley, du roman jeunesse : Mon cheval de bataille de Delphine Pessin.
C'est un grand jour pour Arthur. Il assiste à un spectacle de voltige équestre, sa passion !
À sa grande surprise, l'un des chevaux sort du rang pour le saluer affectueusement. Ce qu'il ignore c'est que ce cheval est spécial et sait détecter les personnes malades.
Quelques jours plus tard, tout bascule : Arthur fait un malaise… Dans l'épreuve qui l'attend, le garçon pourra compter sur sa grande soeur.
Pour mieux livrer bataille, elle a même quelques idées un peu folles…
Mon cheval de bataille est un roman jeunesse absolument magnifique que je recommande à tous, dès 10 ans. Il a toute sa place dans les CDI des collèges et lycées.
Il traite de la maladie avec une grande sensibilité et de l'humour.
Nous avons deux points de vue : celui d'Arthur, qui apprend qu'il a une leucémie et sa grande soeur Victoria.
Cette annonce va bouleverser la vie de toute la famille et il est judicieux de nous faire comprendre à quel point au travers les yeux du petit garçon mais aussi celui de la grande soeur. Car elle aussi va souffrir de cette nouvelle situation et de l'entrée de la maladie dans leurs vies.
C'est hyper touchant, évidemment, sans pour autant être larmoyant. La maladie est bien expliquée sans que ce soit trop technique.
J'ai apprécié que l'autrice parle de la sensibilité des animaux, de la possibilité de certains de déceler la maladie chez les êtres humains.
Arthur est un petit garçon très attachant, de même que sa soeur Victoria. Elle a une façon bien à elle, parfois, de réagir. Elle est hyper touchante.
Ce roman est criant de vérité, il traite parfaitement de la maladie d'un enfant et de ses conséquences sur la famille.
J'ai adoré cet ouvrage, j'ai évidemment été en larmes à plusieurs reprises.
Je vous le recommande sans hésitation et je lui mets un énorme cinq étoiles.
Commenter  J’apprécie          380
Une famille sans histoires, la Mère prof de maths, le Père ingénieur en informatique, Viviane une adolescente en révolte perpétuelle et Arthur le benjamin, un gamin de 10 ans bon élève, et fan de voltige équestre.. Tout va bien jusqu'au jour où tel un tsunami le couperet tombe; Arthur est malade, très malade.. Atteint d'une leucémie il entre dans la spirale des traitements intensifs ... La famille est à ses côtés .
Un sujet difficile et douloureux que Delphine Pessin aborde merveilleusement. Rompant le silence qui la plupart du temps entoure ces cancers de l'enfant, dévoilant sans tabou les affres de cette maladie, elle donne la parole à Arthur pour qu'il exprime ses peurs, sa douleur, ses renoncements puis enfin son envie de reprendre du poil de la bête. En écho la voix de Viviane, la grande soeur qui prend la maladie de son frère de plein fouet et ne sait plus qui elle est , où elle va ni comment l'aider et l'empêcher de baisser les bras..
Un roman puissant, fort bien écrit qui s'adresse certes à des adolescents mais où les ainés trouveront matière à penser et à rebondir.
Mon cheval de bataille de Delphine Pessin est paru aux éditions Didier jeunesse .
Lu grâce à la complicité de l'éditeur via Netgalley #Monchevaldebataille #NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          320
Pour moi, une LAL, c'était bêtement une Liste À Lire, rien de plus. Depuis cette lecture, ce ne sera plus aussi banal puisque c'est aussi l'acronyme de Leucémie Aiguë Lymphoblastique.

Oui, ce roman jeunesse parle de leucémie, de cancer chez les plus jeunes, chez les enfants… En l'occurrence, dans ce roman, c'est Arthur qu'elle va toucher.

Malgré la dureté du sujet, jamais l'autrice ne sombre dans le pathos, le larmoyant ou l'excès : elle n'est pas là pour que vous fassiez un don à la recherche contre la leucémie. Nous ne sommes pas dans une soirée télé où il faut faire pleurer dans les chaumières pour obtenir plus de dons que l'année précédente.

Que du contraire, elle tente de montrer l'envers du décor, celui que personne ne voit, celui auquel personne ne songe : la famille du malade… Pas question de nous montrer des parents forts, qui font front, qui se battent avec une énergie qui semble inépuisable et où tout le monde est soudé, comme dans le meilleur des mondes.

Non, une maladie pareille qui touche un jeune garçon de 10 ans, ça fait voler en éclat une famille, ça donne l'impression à la mère qui porte son fils à bout de bras, que son mari ne fait rien pour l'aider et que son adolescente de fille prend le tout à la légère parce qu'elle blague avec son petit frère malade.

La maladie, ça rend les autres de la fratrie invisible, ça leur donne la haine contre cette invisibilité, ils ont la haine sur les autres élèves de l'école qui les regardent avec pitié, qui ne savent pas quoi dire ou quoi faire, qui sont maladroits face à celui ou celle qui doit affronter la maladie d'un proche, surtout si c'est un gosse.

Ce roman, c'est un container d'émotions brutes, c'est un récit traité avec finesse, avec des nuances, sans que l'on puisse porter jugement à l'un ou à l'autre, puisque chacun est persuadé d'agir comme il le faut, ou de ne pas trouver sa place, de ne pas trouver les mots qu'il faut. Chacun essaie de faire ce qu'il peut, mais ce n'est jamais assez ou ce n'est jamais bon.

Rien n'est facile… Personne n'est préparé à ça.

Viviane, la grande soeur d'Arthur, en pleine crise d'adolescence, va partir en vrille : personne ne la comprend et elle a raison. Son amie essaie de l'aider, mais elle s'y prend mal et ce n'est pas sa faute non plus… La maladie fait des ravages sur son passage et des dégâts collatéraux sont impossibles à imaginer au départ. Sa mère aussi part en vrille dans son désir de tout contrôler, de protéger Arthur…

Lucas, enfant malade, qui arrive à blaguer alors qu'il en a déjà bien bavé, est un bel exemple de la résilience des enfants et de leur désir d'évacuer la pression avec de l'humour noir. Un personnage très lumineux, ce petit Lucas.

Les enfants aiment qu'on leur dise la vérité, qu'on ne leur cache rien, qu'on ne minimise pas leur maladie et qu'on leur explique exactement comment le traitement va se dérouler.

Si l'autrice évite l'écueil du pathos ou du larmoyant, je vous avouerai que j'ai eu quelques fois la gorge serrée, mais pas au moment du décès d'un petit malade. L'émotion m'a submergée dans des moments de bonheur, de complicité, lors d'une visite particulière et lors d'une marche… Intense niveau émotions !

Un magnifique livre qui aborde un sujet difficile tel que la maladie des enfants et leur extrême lucidité face à ce qui pourrait les cueillir au bout du chemin.

Un roman jeunesse qui aborde les différentes phases des traitements de chimio et leur impact que tout cela aura sur une famille.

Magnifique et tout en finesse !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          190
Arthur mène une vie paisible dans sa famille avec un père ingénieur en sécurité informatique et une mère professeure de mathématiques ; il a une soeur adolescente, Viviane avec qui il aime à se disputer. Il a des amis, Théo, Anthony, Hugo, Zaïtoune et aussi Mathilde avec qui il partage sa passion pour les chevaux. Il attire justement l'attention d'un cheval lors d'un spectacle équestre, Zahir, qui a un pouvoir particulier : il sent la maladie des hommes avant même que celle-ci ne survienne. Quelques jours plus tard, Arthur a un malaise et apprend qu'il a une leucémie, la famille explose…Viviane va rencontrer un camarade de classe, Solal, qui va la soutenir durant cette épreuve.

Delphine Pessin a suivi des études de Lettres avant d'enseigner le français dans un collège du Cher. Elle a participé au concours d'écriture Emergences organisé par la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse. Elle a déjà publié quatorze romans depuis 2017, La carotte et le bâton chez Talents hauts dans la collection Ego (2017), Dys sur 10 chez PKJ (2018), King Charlie chez Poulpe fictions (2020), Une énigme dans ma tirelire chez Thierry Magnier en Petite poche (2020), Deux fleurs en hiver chez Didier jeunesse dans la collection Romans Didier jeunesse (2020), e.Toile chez Gulf Stream dans la collection Echos (2020), Un animal idéal chez Milan jeunesse dans la collection J'écris, je lis (2020), Harceler n'est pas jouer chez Alice éditions en Deuzio (2021), Extra chez Didier jeunesse dans la collection Mon marque-page + puis le robot perd la boule, Une leçon magique (2021) et enfin le carnaval des ani-mots toujours dans la même collection (2021), La team collège chez Poulpe fiction (2021).

Ses romans sont ancrés dans la réalité sociale de notre pays qu'elle décrit avec beaucoup de justesse et de délicatesse.

Sur le sujet du cancer, il y a tout d'abord les romans incontournables, Nos étoiles contraires de John Green (Hazel et Augustus ont tous deux un cancer), La vérité vraie de Dan Gemeinhart (Mark le jeune héros a un cancer et pense mourir bientôt), 13 petites enveloppes bleues de Maureen Johnson (la tante, Peg, de l'héroïne Ginny est décédée d'un cancer), Heart breakers d'Ali Novak (la soeur, Cara, de l'héroïne, Stella, a un cancer), Sans prévenir de Matthew Crow (Francis a aussi une leucémie), et évidemment Oh boy ! de Marie-Aude Murail (le frère Siméon Morlevent a une leucémie).

Dans les romans moins connus sur le sujet, nous pouvons citer Premier chagrin d'Eva Kavian (c'est la grand-mère, Mouche, qui est malade), Troubles de Claudine Desmarteau (c'est la mère du héros Fred qui est décédée du cancer), Mauvaise graine d'Oriane Charpentier (c'est le père du héros, Jérémy, qui est atteint d'un cancer), Mon vaisseau te mènera jeudi sur un nuage (c'est la petite soeur Juju du héros Romain qui souffre d'un cancer), Douze mois pour toi de Béatrice Rouer (Ludovic est atteint d'une leucémie et vit dans une bulle stérile à l'hôpital), Ma mère, le crabe et moi d'Anne Percin (la mère de l'héroïne Tania se bat contre un cancer du sein), Dans la vallée des rêves de Nikki Loftin (l'amie, Annie, du héros, Peter, a un cancer mais elle refuse le traitement), Chère Madame Bixby de John David Anderson (la professeure de Brand et Steeve a un cancer), le défi de Valérie Hobbs (le jeune Tobby a un cancer), Les yeux fermés de Claire Gratias (la soeur, Camille, de l'héroïne, Lucie, est décédée d'un cancer), Soeurs pour la vie de Sophia Bennett (la soeur de Ted, Ava est atteinte d'un cancer), First love de James Paterson (le héros Robinson a un cancer qui se réveille lors de son périple avec Axi).

Delphine Pessin propose un roman à deux voix sur la leucémie de l'enfant et nous suivons le jeune héros de l'histoire, fils charmant, écolier presque modèle, ami fidèle, qui apprend le diagnostic de son cancer et subit plusieurs cures de chimiothérapie à l'hôpital Armand-Trousseau à Paris entrecoupées de séjours dans la maison familiale et sa soeur, une adolescente en colère toujours prête à l'affrontement. le bouleversement de l'annonce du diagnostic, la rupture dans l'organisation de la vie familiale autour de la maladie du petit garçon, la peur de la mort omniprésente, l'épuisement de la mère de famille sont autant de thèmes justement traités.

Delphine Pessin s'attache à montrer chaque étape de la maladie avec ses moments de souffrances, de peines mais aussi d'espoirs. L'alternance des deux voix entre un jeune garçon d'une dizaine d'années et une adolescente en plein rébellion rythme bien le récit.
Commenter  J’apprécie          171
C'est un très beau roman. Cela devrait suffire de le dire ainsi. Ce livre m'a tellement plu que je n'ai pas envie de le décortiquer, d'expliquer pourquoi, en suivant le style, la construction de l'intrigue, la répartition des points de vue, il est un très bon roman. Cela devrait suffire de dire qu'il m'a totalement emporté dans son univers, qu'il m'a profondément ému, bien que je sache que certains parents détourneront leurs enfants de la lecture de ce livre. Pourquoi ? Il parle d'un sujet dont on parle peu, comme si ne pas en parler suffisait à conjurer le sort : le cancer chez l'enfant.

La famille d'Arthur est une famille ordinaire, ses parents travaillent beaucoup, ils sont passionnés par leurs métiers respectifs, mais ils s'entendent bien, s'occupent de leurs deux enfants, et trouvent enfin le temps de se rendre à un spectacle équestre pour passer enfin un moment en famille, faire plaisir à Arthur, passionné d'équitation, et tant pis si Viviane la grande soeur râle, tant pis si la sortie compromet sa vie sociale de lycéenne. Là, l'incroyable se produit : Zahir, un des chevaux, s'approche d'Arthur. Zahir n'est pas un cheval ordinaire, il sait détecter les personnes malades. Impensable, voilà la réaction du père. Seulement, quand Arthur est conduit à l'hôpital quelques jours plus tard, il demande à ce que les examens soient approfondis tout de suite, et le verdict tombe : cancer.

Le récit suit au plus près la réalité du traitement, sans pathos, sans faire croire non plus que tout est rose, court, facile, comme on peut le voir dans certaines séries télévisées. Oui, le traitement rend malade, oui, c'est éprouvant pour la famille, et c'est dans ces moments-là que la solidité d'un couple est mise à l'épreuve. Il est facile d'écrire « répartition des tâches, arrêt du travail pour être près de l'enfant malade ». Il est nettement plus difficile de combattre au jour le jour, de faire face à toutes les épreuves du quotidien. Il est difficile de mener, à côté, une vie que l'on nous pousse à avoir la plus normale possible. J'ai apprécié que Viviane tente des blagues foireuses, pleines d'humour noir face à son frère – parce que cela permet de voir quel est réellement l'état d'esprit d'Arthur. J'ai aimé aussi que le médecin, les infirmiers, prennent le partie de dire la vérité au patient, à ses proches, même si la vérité n'est pas facile à entendre. J'ai toujours eu l'impression que la perte du combat contre la maladie commence au moment où quelqu'un dit : « non, ne lui disons pas, cela ne sert à rien. » Tout peut être dit, même la pire nouvelle comme celle qu'apprend Arthur au cours du récit. le tout est de prendre le temps et la peine de le faire.

Il faut être fou, comme beaucoup d'autres disait Molière, dans le malade imaginaire. Viviane osera tenter des choses complètement folles pour aider son frère à sortir du désespoir. J'ai beaucoup aimé ce personnage, parce qu'elle est celle que tous ou presque oublie, celle avec laquelle certains ne savent plus comment se comporter, celle aussi qui voit ces amis qui « oublient » de prendre des nouvelles. Celle qui est prête à se battre aussi – parce que le combat contre le cancer est un combat qui ne se gagne pas seul, un combat de longue haleine dans lequel tout compte, même les soutiens les plus inattendus.

Mon cheval de bataille est un très beau roman, signé Delphine Pessin, une autrice que j'apprécie décidément énormément.
Commenter  J’apprécie          171
❤ Coup de coeur ❤

L'autrice nous parle avec brio de la maladie qui vient de s'immiscer dans cette famille.
Cette maladie qui ne touche pas uniquement Arthur, jeune garçon de 10 ans mais tous les membres.
Delphine nous dévoile parfaitement les sentiments, les bouleversements,...qui vivent chacun d'eux.

Mon coeur de maman, de soeur a été mis à rude épreuve. J'aurai ri mais surtout beaucoup pleuré.

En bref, un roman a deux voix tellement touchant et émouvant qui s'adresse normalement aux ados mais cette lecture convient à tous

#monchevaldebataille #netgalleyfrance
Commenter  J’apprécie          130
Viviane est une ado en rébellion contre sa mère. Arthur, son petit frère, adore la voltige. C'est lors d'un spectacle équestre auquel assiste la famille qu'ils font la connaissance de Zahir, un cheval un peu particulier. Mais la famille éclate lorsque Arthur tombe gravement malade...
Un roman bouleversant qui m'a émue aux larmes !
J'avais déjà lu quelques titres de Delphine Pessin que j'aime beaucoup et celui-ci ne déroge pas à la règle. Elle parvient à aborder des sujets souvent difficiles avec beaucoup de sensibilité et de pudeur mais aussi avec une certaine légèreté que j'apprécie énormément. Ici, c'est le thème de la maladie d'un enfant et ses répercussions sur les autres membres de la famille.
En alternant les points de vues de Viviane et Arthur, on s'immerge dans les détails réalistes de la prise en charge de la leucémie avec ses durs combats à mener, ses chimios et ses conséquences, l'isolement de l'entourage qui ne sait pas toujours comment réagir mais qui fait ce qu'il peut.
Je me suis vraiment attachée à Viviane et Arthur, à leur relation fraternelle qui m'a beaucoup touchée.
J'ai apprécié aussi la présence discrète mais essentielle de Zahir et de l'équithérapie.
Ce roman est un vrai coup de coeur pour lequel je remercie chaleureusement les éditions Didier Jeunesse et Babelio !
Commenter  J’apprécie          120
Arthur, 10 ans, est passionné de voltige équestre. Il convainc ses parents, au grand agacement de sa soeur de 16 ans, Viviane, d'assister à un spectacle. Au cours de celui-ci, un cheval s'approche de lui, inquiétant son propriétaire. Quelques jours plus tard, après des examens, la famille apprend qu'Arthur est malade : comme l'avait repéré le cheval, il a une leucémie. S'enchaînent plusieurs mois éprouvants de traitements qui vont chambouler la famille…
Un roman jeunesse très bien écrit, juste, qui tire souvent quelques larmes sans jamais tomber dans l'excès.
Commenter  J’apprécie          80
Ce livre m'a fait penser à Wonder, vous vous rappelez de ce livre ? Avec un petit gars à la tête pas facile à montrer, et qui s'en sort avec grandeur ! le livre etait raconté tour à tour par les personnages. Ici le narrateur alterne entre Arthur et Viviane, sa soeur, on oscille entre les 2 héros dans une histoire où la maladie est omniprésente. On suit finalement la vie de toute la famille, comme dans Wonder, on passe de la maison à l'hôpital, avec un peu d'école, le style est clair, on avale les pages avec une pointe d'émotion...
Commenter  J’apprécie          80




Lecteurs (155) Voir plus



Quiz Voir plus

DYS SUR 10

Quel est le nom du personnage principal ?

Dylan
Florent
Erwann
Denis

15 questions
20 lecteurs ont répondu
Thème : Dys sur 10 de Delphine PessinCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..