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EAN : 9782070658770
320 pages
Gallimard Jeunesse (15/01/2015)
3.5/5   135 notes
Résumé :

Dans une petite ville du nord de l'Angleterre, Francis, 15 ans, est un garçon fin et plein d'humour qui a appris à se débrouiller dans la vie. Depuis que leur père a plus ou moins quitté le foyer, il se dispute régulièrement avec sa mère, une femme rebelle et pleine de tempérament qui a tendance à boire un peu trop souvent. Quant à son grand frère, Chris, il travaille comme designer graphiste pour une revue qui ne se vend pas, est constamment fauché, vit en ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (57) Voir plus Ajouter une critique
3,5

sur 135 notes
Francis, un jeune anglais de 15 ans, a pour monde son grand frère original et une mère très présente. Son univers change lorsqu'il apprend sa leucémie et rencontre Ambre.

De la découverte de sa maladie à son hospitalisation et ses espoirs nous suivons le jeune homme dans ses préoccupations d'adolescent : famille, sentiment, musique, relation au corps, film...

Le récit est divisé en trois parties. La première évoque le long chemin vers le terrible diagnostique et présente le personnage principal et son environnement. Puis c'est le récit de la vie quotidienne à l'hôpital et la vie avec la maladie pour compagne.

Enfin, c'est l'espoir avec la sortie du milieu hospitalier et le retour à la maison. Pour toujours ?

Un livre qui fait suite au succès rencontré par "Nos étoiles contraires" mais qui se différencie par une approche plus clinique de la Leucémie et un environnement différent puisque l'auteur nous transporte dans un univers très british.

Il y a de nombreuses références à des séries télévisées et aussi une place importante laissée aux habits, au thé et aux conventions.

Les personnages jonglent en permanence avec la nécessité de rassurer leurs proches et leur sentiment d'appartenir à une autre dimension.

Les relations de Francis et d'Ambre avec leur famille est ce qui est selon moi le mien rendu. Nous sentons la tension entre le besoin de continuer à assurer le quotidien et le sentiment de vivre peut-être le dernier jour. Intéressant.

Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Quand j'ai reçu Sans prévenir de Matthew Crow (à paraître chez Gallimard le 15 janvier 2015), j'ai été agréablement surprise. Si on m'avait dit, tu veux lire (encore) un livre sur le cancer ? Naturellement, j'aurai dit « bof à voir … », et pourtant dès que je l'ai vu, dès que j'ai lu la lettre de l'auteur, j'ai eu envie de me plonger dedans. le temps de finir mon livre précédent et j'étais aux côtés de Francis.

Nous suivons donc Francis Wootton, jeune adolescent de quinze ans, qui vit une vie plutôt ordinaire, ado renfermé, peu d'amis mais que cela ne gêne pas plus que cela. Jusqu'au jour où il est victime de nombreuses migraines, après plusieurs examens médicaux, le diagnostic est posé : leucémie aigüe lymphoblastique. Loin de perdre son sens de l'humour et de l'ironie, Francis nous entraîne dans les hôpitaux et particulièrement dans le service pour adolescents.

« Une chose encore me tracassait : l'atmosphère du service semblait tellement décontractée que c'en était inquiétant. Tout le monde se présentait par son prénom, sauf peut-être un médecin de temps en temps, je n'aimais pas beaucoup ça. […] La situation telle que je l'observai dans le service me mettait mal à l'aise et me rendait méfiant quant au professionnalisme du personnel. » (page 85)
Ce qui m'a beaucoup plu dans ce roman, c'est le fait de voir Francis, malade donc d'une leucémie, se montrer courageux, même si on peut penser qu'il est inconscient par moment. le voir par exemple s'inquiéter de perdre une année au lycée ou pire, de perdre ses cheveux (et encore pire ses poils), provoque des scènes pleines d'humour. Sa relation avec son frère, Chris, est très émouvante également, on voit qu'ils s'aiment et qu'ils se chamaillent. On peut également apercevoir le côté « famille inquiète » en observant Chris et leur mère. On voit qu'ils essaient de faire de leur mieux pour se montrer courageux pour ne pas l'inquiéter, mais on les aperçoit craquer aussi de temps en temps.

La relation entre Ambre et Francis est également très intéressante. Dès le début, on sait ce qu'il se passera entre eux, c'est annoncé dès la quatrième de couverture. Pourtant ce n'est pas ce qui nous intéresse le plus, le plus émouvant c'est de voir comment ils se construisent, s'apprivoisent entre leurs deux maladies. Comment quand l'un est bien, l'autre ne l'est pas forcément. Se seraient-ils aimés dans d'autres conditions ? Leurs relations face aux deux autres adolescents présents dans le service sont également plein d'humour, d'émotions. Ambre est une jeune fille à part, elle n'a pas peur du regard des autres, elle assume totalement ce qu'elle, dit les choses sans se soucier de faire mal aux autres. Par ce caractère fort, on s'attache à elle, on voudrait la connaître davantage mais nous ne la voyons que par le regard de Francis. La famille d'Ambre est également à part … Sa mère nous fait régulièrement lever les yeux au ciel, quand elle emmène des cristaux pour entourer Ambre afin que cela la guérisse. Elle a un côté très « gentille dingue », qui permet de dédramatiser certains moments, et qui, mise en opposition avec la mère de Francis, nous donne la possibilité de voir plusieurs façons de réagir à la maladie d'un proche.

Il y a eu beaucoup de liens faits avec Nos étoiles contraires, mais il faut les différencier car s'ils ont un thème en commun (le cancer), c'est un des seuls points communs. Et pour tout dire, il y a des tonnes de romans qui parlent du cancer, on ne peut pas tous les mettre dans le même panier. La maladie est traitée d'une autre façon, elle est plus analysée, plus clinique et les relations entre les personnages sont différemment traitées également.

Sans prévenir est une jolie découverte, un livre qui m'a émue, qui m'a fait beaucoup rire aussi (ce qu'il est important de noter dans un livre sur le cancer) et qui m'a touchée. Une très belle façon de commencer l'année 2015 pour les lectures.
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Sans prévenir de Matthew Crow. (Genre : Jeunesse, Contemporain).

Editions : Gallimard
Prix : 11,90€ (Partenariat)
Année de parution française : 2015 (Sortie le 15 janvier)
Année de parution originale : 2013
Titre version originale : In Bloom.

.Résumé : A quinze ans, Francis Wootton est passionné de vieux films, de musique rock et de lectures romantiques. Mais avant tout, il ne se prend pas au sérieux. Pas plus que les excentricités de sa mère et la désinvolture de son adulte de frère. Lorsqu'on lui diagnostique une leucémie, ses priorités changent. Il y a l'horreur d'être retardé d'une année au lycée, la menace d'une calvitie imminente, la nécessité de retrouver sa plus belle chemise au cas où une pop star lui rendrait visite pour une photo… Mais il n'imaginait pas rencontrer Ambre, son caractère de chien, son humour féroce, sa vulnérabilité désarmante et irrésistible.

.Mon avis : Lors de la réception du roman, je l'ai mis en haut de ma pile à lire sans savoir de quoi il parlait. Et puis dans un élan de curiosité, j'ai regardé la 4ème de couverture et j'ai vu la phrase « vous avez aimé ‘Nos Etoiles Contraires'. » J'ai de suite eu envie de le lire pour faire le comparatif. Quand une maison met en parallèle deux bouquins, c'est obligatoire de comparer. En sachant, que « Nos Etoiles Contraires » avait été un gros coup de coeur… j'en attendais beaucoup. La couverture est celle de la VO que je trouve adéquat. Malheureusement, si la fin du livre m'a plu, le début m'a laissé de marbre.

.Alors que John Green nous plonge directement dans la vie d'une personne ayant le cancer, Matthew Crow ne le fait pas. Il va falloir une vingtaine de pages pour que Francis apprenne sa leucémie. Même si le début est différent, la présentation des personnages de « Sans prévenir » est intéressante. L'auteure développe les relations de la famille Wootton et il nous les rend sympathique. C'est donc un bon début.

.Les personnages cependant, m'ont laissé un peu indifférent. C'est peut-être par leur jeune âge ou alors par le fait qu'ils soient un peu gamins. Je ne saurai expliquer pourquoi, mais je ne me suis pas plus attaché à eux jusqu'à un évènement qui arrivera tard dans le livre. Francis est apparu effacé derrière sa famille, puis derrière Ambre. Je n'ai pas du tout aimé qu'il la suive à la trace comme ça, sans avoir de caractère. Ses sentiments envers Ambre ne m'ont pas paru réalistes. On ne peut pas tomber amoureux comme ça, sans connaître la personne. Et il s'avère qu'Ambre est une jeune fille abjecte qui critique tout sur tout. Même si elle se forge une carapace derrière ce caractère de feu, ce n'est pas un personnage qui m'a plu. Francis est intéressant mais pas assez travaillé. J'aurai aimé en apprendre plus sur ses relations familiales et amicales. Les personnages auraient dû être la force de ce livre, mais jusqu'à la moitié, ça dessert le roman.

.Le rythme est bon. Même si les chapitres sont parfois longs, il se passe beaucoup de choses. Cela entraîne le lecteur à tourner les pages et à découvrir si l'histoire sera meilleure. Les personnages passent des moments simples de la vie de tous les jours. Des moments qu'on connaît tous et que la maladie rend encore plus important. L'intrigue est bien menée même si elle est parfois tirée par les cheveux. C'est un roman qui se lit vite, mais il n'arrive pas à la cheville de « Nos Etoiles Contraires. »

.Ce que je regrette affreusement avec ce livre, c'est qu'on oublie totalement que notre personnage principal a une leucémie. C'est tellement dommage d'avoir écarté ce fait. Alors oui, il va à l'hôpital et il prend des cachets. Ensuite, il rentre chez lui pour se reposer. Si la douleur est bien retransmise au lecteur, c'est l'environnement hospitalier, les traitements, la maladie qui n'est pas assez exploité. Après la moitié du livre, j'ai cependant été touché. Touché par les personnages, touché par ce qu'on me racontait, touché par l'intrigue qu'on voit arriver sans pouvoir y échapper. Et j'aurai tellement aimé que la première partie soit aussi touchante que la première. Que l'auteur prenne plus de temps, qu'il installe l'histoire d'amour. Et surtout qu'il aille plus dans la simplicité avec ses personnages.

.L'écriture de Matthew Crow n'est pas extraordinaire comme celle de John Green. Il n'y a pas de petites phrases qui vous font chavirer le coeur ou qui vous parle. Il écrit simplement et va droit au but. Cela enlève un certain charme au récit. La fin et surtout l'épilogue sont très touchants. Ce qui m'a le plus plu dans le bouquin c'est ça… cette fin qui fait passer des messages. Bravo à l'auteur pour ça. On ne peut donc pas comparer « Sans prévenir » à « Nos Etoiles Contraires. » A vous de voir si vous voulez tenter, mais le début manque de réalisme alors que la fin est hyper touchante.

.Ma note : 7/10.
Lien : http://enjoybooksaddict.blog..
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Comme souvent, ce qui m'a décidé à me procurer ce livre ce ne sont pas les critiques mais tout bêtement sa couverture ! Encore une fois je fais preuve de faiblesse, j'en suis bien consciente. Bon, je me suis tout de même renseigné en lisant la quatrième de couverture (oui quand même, ça m'arrive parfois ...). J'aime bien la couverture de ce livre qui l'illustre bien, en plus elle a un effet "gomme" qui la rend toute douce. Il ne m'en faut pas plus !

A quinze ans, Francis Wootton est passionné de vieux films, de musique rock et de lectures romantiques. Mais avant tout, il ne se prend pas au sérieux. Pas plus que les excentricités de sa mère et la désinvolture de son adulte de frère.
Lorsqu'on lui diagnostique une leucémie, ses priorités changent. Il y a l'horreur d'être retardé d'une année au lycée, la menace d'une calvitie imminente, la nécessite de retrouver sa plus belle chemise au cas ou une pop star lui rendrait visite pour une photo...
Mais il n'imaginait pas rencontrer Ambre, son caractère de chien son humour féroce, sa vulnérabilité désarmante et irrésistible.

La quatrième de couverture me donnait très envie de découvrir l'histoire de Francis mais j'ai lu à plusieurs reprises que ce livre ressemblait plus ou moins à "Nos étoiles contraires". Ca m'avait bien refroidi parce que je dois être une des rares à ne pas avoir aimé le bouquin de John Green. Mais, comme d'habitude, la curiosité a été plus forte que moi et j'ai décidé de me lancer !...

A mon avis, "Sans prévenir" n'a rien à voir avec le livre de John Green ! Je l'ai aimé ! (alors que l'autre m'avait laissé de marbre). Nous suivons donc Francis qui a une quinzaine d'années et qui vit en Grande-Bretagne avec sa mère et son frère depuis que leur père a décidé d'aller voir ailleurs ... La vie est plutôt paisible jusqu'au jour où les médecins diagnostiquent une leucémie à Francis. Commencent alors le traitement et les séjours à l'hôpital. Francis fait la rencontre d'autres jeunes malades parmi lesquelles se trouve Ambre dont il tombe amoureux.

Alors pourquoi ai-je aimé ce livre ? D'abord parce que Francis est un personnage très sympathique auquel on s'attache très facilement. On a peur pour lui, on rit avec lui et parfois on lui collerait volontiers quelques baffes tant ses actes sont crétins. Ce sont simplement ceux d'un ado de 15 ans ...! J'ai eu un peu plus de mal avec Ambre parce que c'est un peu la rebelle de base, un brin grande gueule et provocatrice ... un peu tout ce que je ne supporte pas. Mais malgré ça, elle a des côtés hyper touchants.

J'ai aimé aussi parce qu'on oublie régulièrement que Francis et Ambre sont malades, lorsque la leucémie leur laisse un peu de répit mais rapidement, ils sont repris dans la spirale de la fatigue, la maladie, les médicaments, l'hôpital ... Tout est hyper réaliste, ici pas de voyage aux Pays-Bas à la rencontre d'un auteur frapadingue. En fait, tout le récit nous raconte le quotidien d'une famille qui serait tout ce qu'il y a de plus classique si la leucémie n'était pas venue frapper à la porte. Bien entendu, la fin m'a beaucoup touché. Je n'ai pas versé de larmichette mais ça ne m'arrive pratiquement jamais alors ce n'est pas un signe pour juger de la qualité du livre.

L'écriture de Matthew Crow est fluide, très sympa et très facile à lire. On avance à une vitesse folle, j'ai vraiment passé un très bon moment de lecture. Je ne regrette pas d'avoir craqué sur ce bouquin. Ce ne sera pas un coup de coeur mais une belle histoire que j'ai beaucoup apprécié.
Commenter  J’apprécie          40
Tout d'abord, je remercie les éditions Gallimard jeunesse - on lit plus fort pour l'envoi de ce livre. Malheureusement, ce roman ne m'a pas plu, il n'a pas réussi a m'émouvoir. Pour la petite histoire, je l'ai commencé tout de suite après "Et soudain tout change" de Gilles Legardinier qui traite aussi d'un(e) ado(e) malade et ce roman m'avait beaucoup ému et fait rire en même temps et je pense qu' ensuite j'ai mis la barre un peu haute. Sans prévenir n'a donc pas été a la hauteur.

Francis et sa famille ne sont absolument pas attachant et beaucoup trop farfelu pour moi. L'écriture de l'auteur est agréable.

C'est un roman qui se lit vite mais que j'oublierai tout aussi vite. Il plaira sans doute aux adolescents mais je pense être trop "vieille" pour être touché. Dommage. Je vous invite quand même a découvrir ce livre et a vous faire votre propre opinion.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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critiques presse (2)
Ricochet
22 avril 2015
Triste, drôle, émouvant : les qualificatifs seront nombreux, et on retiendra que le jeune Matthew Crow n’a pas voulu faire un ouvrage sur le cancer.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Actualitte
21 avril 2015
Une lecture sans peine, un bel équilibre de tristesse et de plaisir, de gravité et d'espoir.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
L'une des premières choses qu'on apprend, c'est que les gens meurent. Plus tard, on commence à apprendre pourquoi. ça commence par la question de la vieillesse. C'est encore acceptable, c'est une chose que tout le monde finit par supporter, le plat du jour au grand buffet de l'immortalité. On nous apprend que les gens mènent de longues et heureuses vies. Et puis qu'ils se fatiguent. Et alors ils s'arrêtent, ils s'endorment, pour toujours. C'est pourquoi les grands-parents sont tellement utiles. Pour la plupart d'entre nous, la première mort, c'est celle de gens qu'on s'est toujours attendu à voir mourir. Celle à laquelle nous avons été préparés dès le premier jour.
Et puis, on en apprend un peu plus. Les armes à feu. La guerre. La maladie.
Le cancer.
Les grands mots. Les mots qui font mal. Les mots qui n'ont jamais une fin heureuse.
Et maintenant c'était mon tour.
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- Tu sais ce qu'il y a de mieux avec les étoiles ?
- C'est quoi ?
- Elles sont mortes mais on peut quand même les voir. Quand on regarde le ciel, on regarde des millions de souvenirs, des millions de versions différentes de quelque chose qui était là avant. Et ce n'est même pas romantique, c'est de la sience.
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L'une des première chose qu'on apprend, c'est que les gens meurent. Plus tard, on commence à apprendre pourquoi. Ca commence par la question de la vieillesse. C'est encore acceptable, c'est une chose que tout le monde finit par supporter, le plat du jour au grand buffet de l'immortalité. On nous apprend que les gens mènent de longues et heureuses vies. Et puis qu'ils se fatiguent. Et alors, ils s'arrêtent, ils s'endorment, pour toujours. C'est pourquoi les grand-parents sont tellement utiles. Pour la plupart d'entre nous, la premiére mort, c'est celle de gens qu'on s'est toujours attendu à voir mourir. Celle à laquelle nous avons été préparés des le premier jour.

Et puis, on en apprend plus.
Les armes à feu. La guerre.
La maladie
Le cancer

Les grands mots. Les mots qui font mal. Les mots qui n'ont jamais de fin heureuse.
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Ambre était faite pour la vie, pour la couleur et le mouvement. Ce n'était pas une fille née pour l'objectif d'un appareil photo. Rien ne pouvait la capturer, telle qu'elle était, jamais immobile ni figée. Sans ses couleurs, elle est brisée, une image pâlie qui ne pourrait pas être restaurée.
Commenter  J’apprécie          80
C'était un peu comme la semaine étrange entre Noël et le Jour de l'an, où il vient de se passer quelque chose, et où il va bientôt se passer quelque chose, mais entre les deux, il n'y a rien d'autre à faire que rester là à attendre et à rêvasser.
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