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3,62

sur 97 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Shy est troublé, incompris et en difficulté,
j'ai essayé, j'ai lutter jusqu'à la derniere page.
Mais j'ai perdu tout intérêt pour cette lecture.
Je n'ai ressenti aucun lien pour Shy, ses luttes, et ses problèmes.
Max Porter à un style plutôt lyrique et poétique qui ne colle pas trop avec ce style de roman.
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Il y a parfois des livres qui me tombent des mains. Pourtant, ça commençait bien avec ce joli bandeau et les divers compliments inscrits dessus par de grands auteurs. J'ai préféré les mots de Mariana Enriquez (notre part de nuit, les dangers de fumer au lit).
Heureusement qu'il y avait un petit résumé sur la première page à rabat, car, même après avoir relu certains passages, il faut vraiment savoir que l'École de la Dernière Chance est en fait une résidence prenant en charge des mineurs délinquants. Tout est mélangé : le discours de la psychologue, le monologue interne de Shy, son passé à la maison, ou alors, son présent, lorsqu'il tente de se suicider en s'enfonçant dans une mare, avec un sac rempli de cailloux.
Ce n'est pas le premier auteur qui met en place un tel procédé. Ici, l'oeuvre est trop courte afin d'avoir de l'empathie pour le personnage principal qui s'emmêle lui-même les pinceaux dans ses diverses pensées.
Par contre, les Éditions du sous-sol ont mis en place un livre avec une belle charte graphique. Les pages sont solides et très agréables en main. Les différentes épaisseurs de texte souhaitées par Max Potter sont respectées au mot près. On remarque même qu'il est parfois coupé en plein milieu... pour mieux le retrouver finalement à l'arrière de la page. Ce fut une expérience, et puis... c'est tout.
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Shy a 15 ans, c'est un adolescent violent qui est regroupé avec d'autres dans une vaste demeure où les éducateurs sont en nombre renforcé.
La langue est syncopée, le roman déstructuré à l'image de la pensée de Shy, rendue confuse par ses accès de colère et de violence, et ses cauchemars récurrents. Son flux de pensées alterne avec la parole d'autres personnes de son entourage passé ou présent.
Cette forme très particulière m'a perdue, surtout dans la première moitié où j'ai vraiment peiné à me faire une idée des intentions de l'auteur. En lâchant prise, je me suis un peu plus laissée mener par la seconde partie, tout en restant assez loin du personnage.
Il reste un court roman très fort mais dont la violence, à l'image de ces vies dévastées, était peut-être trop sublimée pour réellement me toucher. Ou bien ce n'était pas le bon moment…
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