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4,02

sur 1219 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Très courte chronique parce que je n'en peux plus. J'attendais autre chose de ce livre avec ce bandeau racoleur.

Un père, universitaire, astrobiologiste, se retrouve seul à élever son fils après le décès accidentel de sa femme. Robin, huit ans et demi, a des soucis en classe, et à la maison même si dans le roman on n'assiste jamais à une de ces « crises ». On comprend qu'il peut hurler des heures… les diagnostics sont différents : autisme, déficit de l'attention, hyperactivité, Asperger, dépression… le père lutte pour garder son fils dans le circuit scolaire normal américain, et se bat pied à pied pour qu'aucun traitement ne soit donné à Robin, parce qu'il est contre, sa femme Aly, mère de l'enfant, était contre, surtout dans cette période de l'enfance où le cerveau se forme.

La seule chose qui intéresse l'enfant c'est de savoir s'il y a de la vie sur d'autres planètes. Comment on peut le savoir. Comment peut se définir la vie sur une planête comme Mars, Mercure, et toutes celles qu'on découvre presque tous les jours. Robin pose des questions sans arrêt, même la nuit, réfléchit longuement à la réponse de son père, et note dans un calepin. Il arrive à poser des questions auxquelles même son père ne peut répondre, même s'il cherche lui aussi. le soir, Robin réclame une planète. Alors son père invente une planete, sa formation, sa chimie, son « écosystème », il invente ou il pioche dans ses souvenirs de lecture d'un de ses plus de trois mille livres de SF.

Entre le travail à l'université sur les planètes qu'on pourrait étudier, selon ses prévisions, les articles à publier et la recherche de financements pour un telescope pour leur laboratoire, tout le livre se passe sur la vie des planètes, ou celle des plantes et des animaux et leur sauvetage : Aly était connue jusqu'au Sénat et au Capitole pour être à la tête d'associations pour le bien être animal. Alors entre la biochimie et l'astrobiologie, je me suis retrouvée plantée dans un livre, certes de vulgarisation, mais un livre qui parle de sciences. Et l'histoire de Robin que l'on trouve, en pointillés. Je déteste tout ce qui est scientifique, déjà, le gros blocage scientifique/littéraire.

En pointillés, donc, le père se rapproche d'un ami de sa femme, neuroquelquechose (me demandez pas,pitié) qui fait des recherches sur les émotions dans le cerveau, il les visualise avec un appareil d'IRM. Il accepte de faire une séance avec Robin, pour qu'il apprenne a gérer un peu ses émotions et actions.

Voilà. J'ai fait de gros efforts pour essayer de comprendre des théories, les postulats, les théories, et aussi essayé de trouver du plaisir à lire ce bouquin dont les sciences sont la base et la trame. C'est loupé.

Pour conclure, ce livre ne me va pas. du tout. Je ne suis pas sidérée. Je vous préviens, c'est « Des fleurs pour Algernon », (Que j'ai adoré il y a plus de trente ans) mais ça ne vaut pas un pet de souris.

Je ne mets pas de notes mais je m'auto-félicite d'avoir survécu à cette lecture.
Lien : https://melieetleslivres.fr/..
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J'ai lu laborieusement ce conte dramatique qui veut nous démontrer à quel point l'homme est malfaisant pour le monde végétal et animal…
Assommée par le flot de données scientifiques trop pointues pour m'intéresser,
dérangée par la relation père-fils à la fois émouvante et dangereuse de toute puissance,
gênée par la figure d'idole attribuée à la mère,…
Un roman qui ne m'a pas émue et que je referme très perplexe…
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J'ai bloqué rapidement : le style d'écriture me déplaît, on ne s'adresse pas à son fils par un "mon pote" dans la vie, (un exemple parmi tant d'autres) sauf peut être dans les abominables sous-titres d'une série coréenne de Netflix (lol), les images poétiques sont assenées avec application et lourdeur (la Voie Lactée resplendissante malgré la pleine lune, un peu exagéré, même en altitude en montagne protégée de la pollution lumineuse)... et en ce qui concerne les inclusions de "savoir scientifique" je me souvient d'avoir sauté les pages encyclopédiques de Jules Verne dans son "20 000 lieues sous les mers", et les six variétés d'arbres ou les trente variétés de salamandres n'intéressent personne en dehors des doctorants du Jardin des Plantes, je préfère le souvenir de celle découverte en remontant de nuit un ruisseau de montagne, à la lampe de poche, il y a 65 ans ....
Enfin, le style militant genre 68 est périmé malgré la mode "green-woke"
Désolé mais non pour moi.
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