Les Annales du Disque-Monde, Tome 5 : Sourcellerie

Quand un mage défroqué devient père d'un huitième fils, les problèmes (c'est-à-dire l'apocralypse* et autres joyeusetés) ne tardent pas à arriver. Et quand Rincevent, le mage le moins doué et le plus couard du Disque est son dernier espoir, ça s'annonce plutôt mal.

Pour résumer mon avis sur ce livre, je pourrais me contenter de ça 😆 😆 😆 , d'ailleurs ça fonctionnerait pour l'ensemble de la série ^^ Parce que chaque tome est vraiment l'occasion de se tordre de rire.

Mais à côté de ça, je me dois de dire que c'est également de la fantasy bien ficelée. L'univers, tout improbable et tordu qu'il soit, fonctionne, même si le mot d'ordre de sa logique est: absurde. On est dans la parodie, mais dans la parodie intelligente. Il y a une vraie intrigue, les protagonistes ont une personnalité propre (de Rincevent, l'anti-héros de l'histoire, aux figurants, en passant par le Bagage et les endroits qu'on visite) et l'environnement est réellement décrit. La preuve qu'on peut faire un bon tome de fantasy en moins de 300 pages, n'en déplaise aux aux auteurs de pavasses.

L'humour de Pratchett, la parodie et les sarcasmes étant la cerise sur le gâteau.

Bref, on ne s'ennuie pas une minute. Un excellent opus! A recommander aux amateurs de fantasy qui n'auraient pas encore lu la série et à tous les autres 🙂

*Oui, avec un R ^^
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Dans ce cinquième épisode des annales du Disque-Monde, le huitième fils d'un huitième fils devient le sourcellier malgré lui, un petit garçon qui tient dans ses petites mains un bourdon puissant, puissant au point que la magie devient réelle. Fini les goûters arrosés, et les ronflements paisibles dans les couloirs de l'université. Que vient faire alors ce petit garçon qui a le don de vous agacer en arrivant avec ses petits mains tenant un bourdon, qui lorsqu'il vous regarde, donne l'étrange sensation de voir juste derrière vous.

La magie est chamboulée. Mais Rincevent est toujours là, il a un peu vieilli, mais lui seul, accompagné de la fille de Cohen, et de Nijel un héros débutant, peut sauver le monde.

Truffé de pépites, ce cinquième roman, bien que je l'ai trouvé un poil en dessous du niveau reste malgré tout un plaisir de lecture dans cet univers comique, héroïque et fantastique. Beaucoup d'humour et puis beaucoup de plaisir à retrouver des personnages.

A suivre bien sûr pour ces moments de lecture à l'humour qui décape.
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À fond la caisse ! Les blagues s'enchaînent, les catastrophes se suivent les unes après les autres, et Pratchett fait plus que jamais preuve de son inventivité légendaire en imaginant des scènes plus improbables les unes des autres. Mais derrière ce délire jubilatoire se cache aussi une aventure à grande échelle, où le sort du Disque-monde entier est en jeu... à cause d'un enfant, qui n'a rien demandé à personne et qui est en même temps sous l'emprise de quelque chose qui le dépasse. Ce qui donne aux personnages un peu de finesse : ils sont tous des ratés dans quelque chose ; or Thune le sourcelier excelle, et pourtant, lui est bien plus malheureux encore... S'il devait y avoir un défaut, ce serait plutôt la fin qui a une mauvaise tendance à s'étirer. En dehors de ça, bravo, il y a de l'émotion, des périples en tout genre, de l'imprévu partout. Même Rincevent n'est pas aussi lâche qu'il se plaît à croire.

Voici le cinquième tome des Annales du Disque-Monde.
Mais le troisième du cycle Rincevent.

L'univers est toujours aussi loufoque, et pour la première fois , la menace vient d'une personne.
Dans cette aventure notre Mage le plus poissard , mais aussi le plus chanceux , à savoir Rincevent doit faire face ( en fait si il peut prendre les jambes à son cou, c'est mieux) à la sourcellerie.
L'humour est très présent, ce qui nous ravie, en plus derrière tout ça, on apprend des choses.
Plus je lis de livres du Disque-Monde et plus je les aime.

J'ai aimé mais je n'ai pas grand-chose à dire dessus. Je ne lui ai pas trouvé de point faible important mais il n'a pas été un coup de coeur. Pour le moment mon préféré reste le fabuleux Maurice et ses rongeurs savants.

C'est original tout en sachant jouer sur les clichés de la Fantasy. C'est drôle sans être immature, un peu d'absurde comme j'aime. le livre est accessible aux néophytes du genre, il fait partie d'un cycle jeunesse de la saga du Disque-Monde mais peut être lu indépendamment, un plus appréciable.
Le roman est bien écrit, un bon enchaînement de faits, un excellent rythme bref il a tout pour me plaire. Je pense que si le coup de coeur n'a pas été présent c'est parce que je savais à quoi m'attendre et c'est ce que j'ai eu, de la qualité.

Un beau conte qui a su me faire faire des rêves assez drôles.

Je pourrais pratiquement mettre l'intégralité des annales du disque monde tellement j'adore cette oeuvre, je vais me contenter de l'un de mes titres favoris, car parmi les nombreux personnages évoluant dans cet univers, l'université de l'invisible fait partie de mes rendez-vous préférés avec Ankh Morpork.
Si vous aimez lire et rire ou rire en lisant (c'est selon), alors il faut faire connaissance avec l'oeuvre de Terry Pratchett.
Je ne compte plus les fois où j'ai éclaté de rire dans le train sous les regards surpris d'autres voyageurs qui se contorsionnaient pour savoir ce que je pouvais bien lire.
Je pense sincèrement que ces annales du disque monde devraient être reconnues d'utilité publique, les sujets abordés sont toujours d'actualité et traités le plus souvent de façon satyrique, bref, vous l'aurez compris, je suis fan (inconditionnel).

Rincevent, « dont la mère s'est enfuie avant sa naissance » est le héros glorieux de cet épisode. Pour les fans, c'est une fête (et une surprise de taille !)

L'écriture est ciselée, rien n'est laissé au hasard. le déroulement de la phrase amène à un bon mot, à une réplique qui s'insère parfaitement dans les rouages. Seul Terry Pratchett peut se permettre des phrases telles que : “Seul le bruit étouffé de leurs éclaboussures troublait le cholestérol de silence qui étreignait le coeur de la cité” (110) sans être ridicule.

À la question du traducteur posée en page 243 : « D'ailleurs, vous imagineriez des cavalières de l'Apocralypse ? », je me permettrai de répondre, mais oui, mais oui, mon cher Patrick Couton, pourquoi les filles ne pourraient-elles pas aussi monter sur leurs grands chevaux ?

Du Terry Pratchett pur jus, flamboyant, brillant et jubilatoire.
Lien : http://versautrechose.fr/blo..

Cinquième tome,

Sourcellerie est le cinquième tome de la fantastique saga des Annales du Disque-Monde de Terry Pratchett.

Un cinquième volume, tout aussi excellent. Un livre sympathique, qui nous permet de retrouver notre mage loufoque et fuyard, Rincevent.

La Sourcellerie est de retour. La magie la plus puissante que le Disque-Monde est connu. le huitième fils d'un huitième fils est né et Rincevent va se retrouver au coeur de cette mésaventure malgré lui. Il se verra attribuer une mission, sauver sa peau et la magie commune. Il sera à nouveau accompagné de son fidèle Bagage ainsi que de nouveaux compagnons.

Une aventure épique, drôle qui nous permet de voyager à travers le Disque-Monde.

Bonne lecture.

Attention, ce tome-ci présente beaucoup plus d'action que les précédents! L'apocralypse est proche!Beaucoup plus rythmé que les précédents, ce tome-ci nous montre que Rincevent même s'il est trouillard cache bien son jeu, car il saura déjouer de nombreux obstacles! On fera également la connaissance de Conina, la fille de Cohen le Barbare. C'est une jeune femme très belle mais qui a un penchant pour la violence. Oh bien sûr, elle tente de changer, mais c'est dans ses gênes. Nijel, le jeune héros est aussi un personnage attachant. le fait qu'il ait sans cesse recours à son manuel du super barbare est très hilarant. Manuel écrit par Cohen le barbare lui-même! Bref ce cinquième tome est très bien. L'humour, quoique moins présent, se fait chaque fois de la même manière. Il s'incruste dans un moment quasi dramatique! Je vous laisse découvrir ce cinquième volet de la série la plus déjanté en fantasy!
Lien : http://louvinette.over-blog...

Thune n'est pas un sorcier, c'est le huitième fils, d'un huitième fils, d'un huitième fils, un sourcelier donc, un jeune homme utilisant la magie originelle. Aidé par son père plus ou moins réincarné en bâton (pour faire simple), il souhaite devenir Archichancelier. Il débarque donc à l'Université de l'Invisible d'Ankh-Morpork pour y faire quelques chamboulements. Notre ami Rincevent, contrecarre les plans du jeune sourcelier en mettant le chapeau de l'Archichancelier à l'abri, non pas par choix mais plutôt parce que, comme d'habitude, l'aventure vient à lui. Il rencontrera entre autres, la belle Conina, fille du célèbre Cohen le Barbare, qui aurait souhaité devenir coiffeuse mais qui massacre à tour de bras de façon implacable et Nijel le Destructeur, apprenti héros débutant se référant régulièrement à son manuel.

Je suppose que quelqu'un qui n'a jamais lu de livre de Terry Pratchet, considère ce petit résumé comme particulièrement incompréhensible. Pourtant tout est là. Comme les autres tomes des annales du disque-monde, un pur régal.