La chronique des Bridgerton - Intégrale, tome 4

Ce n'était rien. Elle n'était rien.
Non, il était injuste. c'était quelqu'un, et même quelqu'un de bien. Mais elle n'était pas pour lui.

- Je suis en train de dire que je n'étais amoureux d'elles. Et que je vous aime tant que je ne sais pas si je supporterais que mes sentiments ne soient pas réciproques.

Du reste, la patience n'est-elle pas une vertu ?

Mais la marque d'un esprit avancé, enchaîna la vieille dame, c'est sa capacité à s'adapter à de circonstances changeantes
Lady Danbury

Je n'ai pas la moindre patiente pour cette nouvelle mode de s'ennuyer [...] Depuis quand est-ce un crime de s'intéresser à ce qui se passe ?
Lady Danbury

Il se trame toujours quelque chose d'important, ma chère. Sinon, faites comme si c'était le cas, vous apprécierez davantage la vie
Lady Danbury

En cet instant, Hyacinthe découvrit que certaines décisions se prenaient en un éclair. Que l'on savait certaines choses, même si l'on était incapable de les expliquer.
Parce qu'elle sut, sans l'ombre d'un doute, qu'elle allait épouser cet homme.

- Dès cet instant, je vous ai chérie. J'aime tous mes enfants, mais vous...
Elle chercha le regard de Hyacinthe.
- Vous m'avez sauvée.

Avec un petit rire, il approcha les lèvres de son oreille. Il avait fait l’effort de mémoriser quelques mots d’italien. Il en murmura un à son épouse.
- Gareth ! glapit-elle.
- Oui, Gareth ou non, Gareth ?
Elle ne put s’empêcher de soupirer.
- Encore, Gareth.

La plupart penseraient qu’elle était folle. Quelques-uns, qu’elle était amoureuse. Les plus rusés diraient les deux.