La chronique des Bridgerton - Intégrale, tome 4

Ces 2 derniers tomes de la saga sont un peu différents des autres et c'est tant mieux. En effet, ils apportent une touche de suspense.
Tome 7
Histoire de Hyacinthe à la personnalité audacieuse et intrépide : une pointe de mystère, secret de famille et chasse au trésor, et aussi beaucoup d'humour. Ne pas manquez la demande en mariage très amusante.
Tome 8
Histoire de Grégory bien plus dramatique, le début un peu poussif, puis un certain nombre de rebondissements.
Ainsi se termine la saga des Bridgerton, une famille vraiment très sympathique.

Oyez oyez ! L'effet Bridgerton a encore frappé !
Je n'en reviens toujours pas d'avoir attendu aussi longtemps pour me lancer dans la lecture de cette saga, et pourtant... Voilà que j'approche déjà dangereusement de la fin !

Dans ce volume de l'intégrale, regroupant les tomes 7 et 8 de la série, nous rencontrons (enfin !) les deux plus jeunes enfants du clan Bridgerton : Hyacinthe et Gregory.

Si nous les avions déjà croisés au fil des volumes précédents, ils ne m'avaient pour autant pas semblé si extraordinairement prometteurs. Et pourtant, j'ai trouvé, je crois ma Bridgerton préférée en la personne de Hyacinthe !

Bien sûr, la romance avec Gareth Saint-Clair reste cousue de fil blanc, et il n'y a pas de grands chamboulements du genre par rapport aux volumes précédents. Clairement, si les opus précédents vous avaient déplus, passez votre chemin.

J'ai beaucoup aimé la chasse au trésor, perdu depuis tant d'années. Je trouve qu'il ajoute une touche de fraîcheur et de divertissement à l'intrigue.

Quel bonheur aussi de retrouver la célèbre Lady Danbury et de la voir entrer dans la famille Bridgerton !

Voilà pour ce tome 7 qui est sans doute mon préféré de la saga, avec l'histoire de Colin.

Quant au tome 8 et aux personnages de Lucy et Gregory, je suis peut-être un poil plus mitigée. J'ai trouvé Gregory superficiel - c'est d'ailleurs le premier Bridgerton mâle qui n'a clairement aucune occupation, passion dans la vie... Il est là mais son histoire est "juste" d'être tourmenté par son amour pour Lady Lucinda...

Cette dernière étant un poil obstinée à épouser la mauvaise personne pour des raisons relativement absurdes et amenées un peu comme un cheveu sur la soupe.

Bon, on est donc loin de l'énorme coup de coeur ressenti pour Hyacinthe, et c'est peut être d'ailleurs précisément cette raison qui fait que j'ai été un poil déçue à la lecture.

Pour autant je suis ravie de cette série et de ces personnages, de cette ambiance que j'affectionne particulièrement. Si les personnages du 8e sont un peu moins intéressant a mon avis, l'ambiance Regency est quant à elle est vraiment bien mise en avant dans ce tome et on aurait envie d'aller attendre une danse avec l'un de ces messieurs Bridgerton... (De préférence Colin svp !)

J'ai déjà hâte de découvrir la suite des aventures des Bridgerton ainsi que les séries annexes de Julia Quinn. Et dire qu'il y a encore moins de 6 mois, je pensais que je ne lirai jamais cette série qui avait l'air "gnangnan a souhait" 🤣

Encore un superbe roman qui donne suite à la série des Chroniques de Bridgerton. Ici ce livre regroupe les tomes 7 et 8 et se concentre sur les histoires de Hiacinthe et Gregory...

Tous deux ont bien grandit et sont maintenant âgés d'une vingtaine d'année.
Hiacinthe est un personnage pétillant, drôle, et plutôt d'humeur taquine avec le monde qui l'entoure. D'ailleurs on découvre vite qu'elle se lit d'amitié avec Lady Danbury. Quand au petit fils de celle-ci, je crois qu'il est en tout point aussi moqueur que sa grand-mère... Un trio très amusant.

Grand à Gregory, je dirai qu'il est celui qui ressemble le plus à sa mère Violet. Plus jeune que ses frères, lui, à toujours envisagé un mariage d'amour. Tout comme Violet en a toujours rêvé pour chacun de ses enfants... Les choses sont très claires pour Gregory, il épousera une femme qu'il aime. Sa personnalité est attachante. Gregory a un tempérament plus doux que celui de ses frères.

Encore un roman qui signe une magnifique plume avec cette belle saga familiale.

Hyacinthe.
C'est une histoire légère et drôle. Les deux protagonistes sont adorables. J'ai beaucoup aimé le personnage de Hyacinthe. Elle est très volontaire et déterminée, comme on peut s'y attendre des filles de la fratrie Bridgerton. Mais elle est aussi généreuse et bienveillante. Sa recherche d'un trésor perdu est prenante et nous sort de la simple romance.

Gregory.
J'ai pris un peu moins de plaisir à lire l'histoire de Gregory. C'est une histoire un peu attendue et plus classique. C'est parfois un peu délirant, ce qui met un peu de fantaisie dans l'histoire, mais je n'y ai rien trouvé de vraiment original.

Ces deux tomes, par contre, ne diffèrent pas des autres en ceci que l'écriture de l'autrice est toujours aussi addictive. Elle sait nous dépeindre des personnages vivants et réalistes auxquels on ne peut s'empêcher de s'attacher.
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Plus de 10 ans après que les amours de Daphné aient mis toute la famille en émois, voici venu le tour des deux plus jeunes: Gregory et Hyacinthe.
Et pour la première fois depuis Daphné, l'ordre des naissance ne va pas être respecté puisque l'on va découvrir l'histoire de Hyacinthe avant celle de Gregory (car, et je m'insurge devant cette injustice, une demoiselle est qualifiée de vieille fille bien plus tôt que ce qu'un homme se voit attribué le statut de vieux garçon).
Ce que j'ai le plus aimé dans l'histoire de Hyacinthe, encore plus que Garett (ce qui n'est pas peu dire), c'est l'amitié existant entre Hyacinthe et Lady Danbury, qui, avec Violet, est mon personnage préféré de la saga. J'ai beaucoup aimé les piques que se lancent les deux femmes qui sont très semblables malgré la différence d'âge. Et Garett, le petit-fils de Lady Danbury, n'est pas en reste quand il s'agit de se mesurer à sa redoutable grand-mère.
La chasse au trésor que vont mener les deux jeune gens (et surtout Hyacinthe, plus acharnée tu meurs), m'a souvent beaucoup fait rire.
Puis laissons la scène à Gregory. Ah Gregory. Pas facile d'avoir autant de différence d'âge avec ses frères. Anthony lui a bien plus servi de père père de frère aîné et Benedict et Colin s'apparenteraient pour leur part plus à des oncles.
Probablement un peu trop couvé par sa nombreuses famille, Gregory est amoureux de l'idée de l'amour. Alors quand cette idée se confronter à la réalité, ça peut faire assez mal.
Ce que j'ai préféré, dans ce tome, outre la fougue de Gregory, c'est que pour la première fois, on n'est pas complètement sur que l'histoire va bien se terminer (enfin, je me comprends, ça reste une romance).
J'étais donc très curieuse de voir comment l'auteur allait dépatouiller les personnages de la situation dans laquelle elle s'était fait un plaisir de les fourrer.
Il est bien temps de dire adieu à la famille Bridgerton. Heureusement, il reste le recueil de nouvelles: des années plus tard, pour leur dire adieu convenablement.

C'est toujours un plaisir de retrouver la famille Bridgerton. Et nous approchons de la fin de la saga puisqu'ici, nous sommes en compagnie de Hyacinthe et Grégory, les deux derniers de la fratrie.

Chaque tome de la Chronique des Bridgerton suit la même logique : c'est une romance qui se conclura par un mariage. Mais chacun possède également sa petite originalité, qui fait qu'il est différent des précédents et qu'on prend plaisir à le lire même si on sait d'avance comment ça va se terminer.

Pour Hyacinthe, c'est une chasse au trésor, qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Parce que même si ce n'est pas l'objectif principal de l'intrigue, on a envie de savoir si elle va réussir à mettre la main dessus ou pas. Pour le reste, j'ai beaucoup aimé son histoire. Ce n'est pas ma préférée sur les 8, mais le personnage de Hyacinthe est vraiment intéressant. C'est une jeune fille qui sait ce qu'elle veut et qui ne manque pas de piquant. Difficile de ne pas tomber sous son charme. Gareth, d'ailleurs, est très attachant lui aussi. J'ai aimé le voir se débattre avec son passé, sa situation qui fait que son père ne l'aime pas. Ce non amour a totalement modelé la personnalité de Gareth, et il essaye, tant qu'il peut, de se sortir de cette influence. Il a une histoire touchante.

Du côté de Grégory, l'intrigue tourne autour du sentiment amoureux en lui-même. Comment tombe-t-on amoureux ? Comment s'assurer que cela soit réciproque ? Comment savoir qu'on est réellement amoureux et pas juste un peu sous le charme ? Si j'ai beaucoup aimé le personnage de Lucinda qui est la meilleure amie qu'on pourrait avoir, j'ai, en revanche, un peu moins accroché avec Grégory. Il n'a pas l'étoffe de ses frères. Je l'ai trouvé un peu trop sûr de lui, un peu trop arrogant. Et surtout, j'ai été gênée par la façon qu'il a de ne pas « respecter » l'opinion d'Hermione. Durant la première partie de l'histoire, il sait qu'elle est amoureuse d'un autre. Pour autant, il est déterminé à la séduire, coûte que coûte. Mais bon, il se rattrape bien par la suite.

Ces deux tomes n'ont pas été mes préférés parmi tous. Il est difficile de faire un classement, mais je crois qu'Anthony et Bénédict se battent pour la première place. Il n'empêche que j'ai quand même beaucoup apprécié ma lecture et que c'est une famille que je quitte avec regrets.

J'ai adoré le tome sur Hyacinthe. J'y retrouve ce qu'il manquait dans le tome de Éloïse : des réparties, une femme qui ne se laisse pas faire et un brin de naïveté. Hyacinthe est un personnage qu'on ne voit pas beaucoup dans les autres tomes ni dans la série mais pour moi c'est la Bridgerton que je préfère.
Garet est très attendrissant. Il a vécu des choses horribles de la part de son père et on n'a qu'un seule envie, c'est que la vie lui donne ce qu'il mérite. En plus de nos deux héros, on retrouve Lady Danbury, fidèle à elle-même et ça c'est le petit piment de l'histoire (en dehors des scènes interdites aux enfants bien sûr). Si un jour, je deviens vieille, je veux devenir comme elle ! 🤣

L'histoire change grâce à cette histoire de journal et les actions de nos héros suite à sa lecture. C'était de bons moments bien drôles qui ont permis d'avoir des scènes rien qu'entre eux d'eux qui sont franchement des pépites. J'ai beaucoup aimé l'alchimie entre ces deux-là.

J'ai moins accroché à l'histoire de Gregory enfin au début. J'ai eu du mal avec son caractère. Il me semblait trop arrogant, trop sur de lui limite imbu de lui-même. Avec le temps, heureusement, on découvre que ce n'est qu'une impression et qu'il est très attentionné et bienveillant. Lucy est douce et adorable. Tout de suite on s'attache à elle, qui n'est perçu que comme quelqu'un de banal alors qu'on a tout a gagner de la connaître.

Leur histoire commence tout doucement mais finit comme les feux d'artifices, en explosant tout sur leur passage et cela j'ai adoré. On lit la dernière partie d'une traite tellement on veut savoir. Et j'ai beaucoup ri avec l'épilogue.

Cette fois, nous lisons les histoires de Hyacinthe et de Grégory, les deux derniers de la fratrie. Haycinthe se rapproche du neveu de Lady Dambury alors que Grégory s'oriente vers Lucinda, l'ami de celle qui représente son idéal féminin... Des histoires hautes en couleur, des rencontres passionnantes et des mariages rocambolesques!

Deux derniers tomes que j'avais hâte de découvrir pour rencontrer d'autres personnages de la famille des Bridgerton, même si je vais avoir du mal à les quitter...

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L'histoire est celle de la cadette des Bridgerton, Hyacinthe, qui n'attire pas les foules pour se marier. Mais un jour, elle va faire la rencontre de Gareth Saint-Clair, un aristocrate à la réputation sulfureuse. Elle va alors l'aider à traduire un journal intime en italien...

Dés les premières pages, j'ai su que j'allais moins apprécié ma lecture, car je trouvais l'histoire beaucoup moins romantiques que les autres. J'ai eu du mal avec l'intrigue comme avec les personnages. Néanmoins, j'ai apprécié retrouver l'univers des Bridgerton que j'apprécie toujours autant. Cependant, l'histoire entre Hyacinthe et Gareth ne va pas me marquer.

La fin est juste attendue comme dans tous les autres tomes. Mais cela ne va pas m'empêcher de me jeter sur le huitième tome.

Du côté des personnages, Hyacinthe est assez commune, un peu trop sincère, un peu trop vieille fille... Mais heureusement, elle va tomber sur Gareth, qui va lui ressentir des choses qu'elle n'avait jamais ressenti. J'ai eu du mal à m'attacher à Hyacinthe. Elle est rebelle, même un peu trop pour moi. Je la trouve un peu pénible et cela m'a empêché de m'attacher vraiment à elle.

Avec elle, on fait la connaissance de Gareth Saint-Clair, un aristocrate à la réputation sulfureuse. Il ressemble à des personnages que l'on a déjà pu voir. Mais comme pour Hyacinthe, je ne me suis pas attachée à lui, car il m'a énormément agacé... Et malheureusement, cela m'a un peu bloqué dans ma lecture...

Un septième tome en dessous des autres pour moi, même si cela a toujours été un plaisir de retrouver la famille Bridgerton.

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L'histoire est celle de Gregory, le benjamin des Bridgerton, qui attend le "grand amour" comme ces frères et soeurs. Il croit l'avoir trouvé en la personne de lady Hermione Watson, qui a déjà le coeur pris. Mais Lucinda Abertnathy va lui proposer son aide pour la conquérir...

Franchement, j'ai beaucoup aimé ma lecture, surtout que j'ai été surprise tout le long de l'histoire. Il faut dire qu'elle est très différente des autres que j'ai déjà pu lire. Et cela m'a vraiment fait plaisir de découvrir du coup cette nouvelle histoire, même si je suis triste de quitter les Bridgerton. Heureusement, il y aura encore la série qui va me permettre de retrouver cet univers.

La fin m'a vraiment surprise ! Je ne m'attendais pas à cela, mais je l'ai vu venir à partir de la moitié de ma lecture. Et j'ai été plutôt contente du dénouement.

S'agissant des personnages, Gregory est un homme vraiment mignon, qui fera tout pour la femme qui aime. Très rêveur, très agréable, très mignon, il reste déterminé pour trouver l'amour et pour faire sa vie avec elle. Tu l'auras compris, j'ai beaucoup aimé ce personnage, très différent des autres Bridgerton que l'on a pu rencontré.

A côté de lui, on découvre lady Hermione Watson, qui est une femme avec le coeur déjà pris. Elle ne souhaite pas blesser Gregory, mais elle veut aussi faire sa vie. On découvre aussi Lucinda Abertnathy, qui va rester fidèle à sa volonté d'aider Gregory, même si elle va commencer à ressentir quelque chose pour ce dernier. Les deux personnages féminins sont vraiment appréciables et je me suis attachée à chacune d'elles.

Un huitième tome à la hauteur de mes attentes concernant Gregory que l'on découvre beaucoup plus dans cette histoire.

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Concernant la plume de l'auteure, elle m'a permise de passer un merveilleux moment de lecture. Et j'ai déjà hâte de lire ses prochains romans.

En général, un septième tome un peu en dessous des autres, mais un huitième tome à la hauteur de mes attentes ! Je suis juste triste de quitter les Bridgerton.
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Cette fois, ça y est ! J'ai suivi, avec une certaine passion je l'admets, les aventures de toute la fratrie Bridgerton et j'ai quitté, avec regret de l'avoue, Hyacinthe et Gregory ce week-end. La magie de Julia Quinn a encore opéré dès les premières phrases : le ton, l'ambiance, les caractères des personnages, tout est là pour nous faire passer encore un très bon moment de lecture.

Ici, ce que j'ai apprécié immédiatement c'est que Gregory et Hyacinthe sont de totales découvertes pour les lecteurs qui les ont connus très jeunes lors des premiers tomes. Ils sont un peu à l'écart du reste de la fratrie mais constituent un duo détonnant et très plaisant. de plus ou moins loin, Violet et Anthony veillent et guident les cadets sur le chemin du bonheur.

Dans ces deux histoires, un élément nouveau commun : la question de l'origine et de la naissance. Gareth Saint-Clair doit composer avec un père détestable qui le méprise sans qu'il sache pourquoi, et quand il le comprend enfin, cela remet en question toutes ses perspectives. Lucinda Abernathy, orpheline, est à la merci de son tuteur, son oncle qui, officiellement, ne lui veut que du bien, mais ne se préoccupe que de sa propre sécurité. Si les deux Bridgerton cherchent, à l'instar de leurs frères et soeurs, le véritable amour, ils devront composer avec de nouvelles données : jusqu'à quel point sont-ils prêts à se sacrifier ?

J'ai aimé, chez Hyacinthe, retrouver la fougue et la révolte que l'on devinait chez Eloïse, mais qui n'étaient finalement pas complètement exploitées dans le volume qui lui était dévolu. Hyacinthe, plus indépendante, très peu à cheval sur les convenances, va aller plus loin que ses soeurs avant elle et va même mener une enquête digne d'Indiana Jones. C'est exactement ce que j'attendais de sa soeur aînée et ce fut un délice de découvrir sa répartie, sa passion et sa maladresse.

Gregory, éternel romantique, est touchant par son désir de trouver sa place dans la fratrie et de s'accomplir dans l'amour alors qu'il en ignore encore tout. C'est finalement, de tous les frères Bridgerton, celui qui m'a le plus émue…et qui m'a le plus fait rire. Sa relation avec Lucy est vive, électrique, reposant sur la provocation et le défi. J'ai aimé aussi qu'il y ait un rôle pour Kate, la vicomtesse Bridgerton, mise de côté depuis sa romance avec le frère aîné. Elle est fine, amusante et loyale.

Et voilà, Bridgerton, c'est fini. 3000 pages d'intrigues amoureuses et familiales dans une Angleterre corsetée et guindée, et pas une seule page d'ennui. Aucun regret. Je ne sais pas si les réalisateurs de la série parviendront aussi bien que Julia Quinn à maintenir l'intérêt du lecteur à travers ces huit destinées. Chapeau bas l'artiste !