Ce livre est plein d'humour , c'est la suite de Percy Jackson et il est a lire pour les passionés de mythologie grec.
« Que les fans de Percy Jackson se rassurent : ce premier volume est une aventure haletante, qui nous replonge dans un univers moderne de chaos mythologique. » Publishers Weekly
-La beauté, continua Aphrodite, c'est savoir trouver ce qui te va, c'est qui est ton genre. Pour être parfaite, il faut se sentir alaise, ne pas essayer d'être quelque chose qu'on est pas. C'est particulièrement difficile pour une déesse, car nous pouvons changer si facilement.
p.377.
- Je croyais que les satyres aimaient la nature, risqua Piper.
- J’adore la nature, bon sang ! s’emporta Hedge. La nature, c’est des grosses bêtes qui bouffent les petites ! Et quand vous êtes un satyre comme moi - non grand, dirons-nous - vous prenez un gros gourdin et vous ne laissez personne vous marcher sur les pieds. C’est ça, la nature !
p.368.
Jason parait les coups, les esquivait. Lit’ sembla surpris, au bout de quelques instants, qu’il soit toujours en vie.
- Qu’est-ce que c’est que ce style ? grommela-t-il. Tu ne te bats pas comme un Grec.
- L’entraînement de la légion, rétorqua Jason, sans trop savoir d’où il tenait ça. C’est romain.
- Romain ? (Lit’ se fendit de nouveau et Jason fit dévier la lame de son épée.) C’est quoi, « romain » ?
- Flash info, dit Jason. Pendant que tu étais mort, Rome a vaincu la Grèce et fondé le plus grand empire de tous les temps.
- Impossible. J’en ai jamais entendu parler.
Elle cherche un de nos pensionnaires qui a disparu il y a trois jours expliqua Butch
Qui ça ?
Son copain. Un type qui s'appelle Percy Jackson
Aphrodite, c'est la quête de l'amour et de la beauté. Il s'agit d'être aimant, de répandre la beauté
-Un type qui s’appelle Percy Jackson
-That's the symbol of Vulcan, isn't it? [...]
-Vulcan? Leo demanded. I don't even like Star Trek. [...]
I'm not a Vulcan!
-Come on Mr. Spock, I'll explain everything.
– Hum…, fît Clovis.
– Quoi ? Ça signifie quelque chose ? demanda Jason.
– Hum…, répéta Clovis, et Jason se rendit compte que cette fois-ci il ronflait.
– Clovis ! ! ! hurla-t-il.
– Quoi, qu’est-ce qu’il y a ? (Il battit des paupières.) On parlait d’oreillers, c’est ça ? Ah non, des dieux. Je me souviens. Grecs et romains. Bien sûr, ça pourrait être important.