Cette biographie de
Maria Riva sur sa mère dépeint la réalité sur le personnage
Marlène Dietrich.
Lors de sa sortie, ce pavé de 862 pages fut un scandale à sa sortie, particulièrement chez les fans de
Marléne Dietrich qui n'acceptaient pas le livre de
Maria Riva, l'unique enfant de la Berlinoise. Aujourd'hui comme hier, cela n'a pas changé des fans de Lili Marlène ne sont pas d'accord avec l'Enfant. Oui car au début,
Maria Riva expliquait comment était née sa mère (très intéressant), elle est la deuxième fille d'un militaire (l'uniforme durant la Second Guerre mondiale lui sied bien), dont certains biographes pensent que son père était mort de la syphilis, car marié, il trompait sa jeune femme dans des bordels ? Dans la biographie sur sa mère,
Maria Riva pense que son grand-père était mort lors de la Première Guerre mondiale dut aux lettres que son épouse recevait.
Ensuite
Marléne Diétrich fait son éducation dans la musique…
Certes le livre est un pavé, mais celui-ci existe aussi en deux parties dans le livre poche.
Il y a des choses que je ne connaissais pas de
Marlène Dietrich, sa haine et sa jalousie chez certaines actrices dont le talent est bien plus développé. On ne peut pas se mentir à soi-même, elle avait beaucoup d'amants et d'amantes, certaines biographies disaient que son plus gras amour est Jean Gabin, dans celle de
Maria Riva, elle expliquait que Gabin amoureux fou d'elle lors de son passage aux Etats-Unis, Lili Marlène voulait le transformé comme elle en Américain.
Maria Riva défendait Gabin, qu'elle trouvait toujours chez lui, un homme simple.
Les admirateurs de
Marlène Dietrich disaient que le livre de
Maria Riva est caricatural (lol), car il trouvait que sa fille cherchait plus les défauts que les qualités de sa mère. C'est faux, soit, ils n'ont pas lu le livre, soit, ils n'acceptent Pas la vérité ?
Contrairement aux deux autres bios sur leur mère légendaire,
Bette Davis et Joan Crawford, les deux filles aînées déshéritées par leurs défuntes mères,
Maria Riva admire sa mère qu'elle aime, puisqu'elle l'aidait jusqu'à sa morte ; elle va devenir même son infirmière. Elle n'éprouve pas vraiment de haine pour sa mère, elle explique sincèrement qu'elle aurait voulu avoir une vraie mère. Pendant 12 ans de son enfant,
Maria Riva a souffert par une mère étouffante, l'appelant "L'Enfant" comme si c'était une étrangère. Un père absent (Rudolph Sieber), souvent parti à l'étranger de préférence Paris et une mère préfèrent la vie mondaine des cabarets. La Blonde Vénus de son mentor Joseph von Sternberg est son mini-biopic.
Un livre dur, notamment les cent dernières pages mais réaliste sur une femme aux paillettes adulées par des fans naïfs, voir extrémiste qui en réalité était humaine et pas facile.