La « drôle de guerre » avait pris fin le 10 mai à 5h 35 et les hostilités ont cessé le 25 juin à 0 heure. Mais les 13, 14 et 15 mai l'ennemi avait déjà ouvert une telle brèche dans le dispositif allié qu'elle ne pouvait plus être aveuglée. Dès lors il ne pouvait s'agir d'arracher la victoire, mais de prolonger la lutte. Il n'y eut que des « parades dérisoires ». On en trouvera ici, pour la première fois, jour par jour, et armée par armée, le récit complet et objecti...
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