On ne peut parler de ce livre sans énoncer le sensualisme ( voire l'érotisation) du texte. La nuit d'été ressemble vaguement aux poèmes de
Sappho. Il est difficile d'y entrer au départ, mais si on s'identifie à l'héroïne et si on arrive à se faire prendre par la magie de la nuit, on peut laisser le fantasme de l'écrivain se faire.
Néanmoins, la chute est inattendue. Un indice : pourquoi utiliser le mot "mamelle" pour seins et pas un autre mot ? Cette idée 'était venue à l'esprit d'emblée, mais le texte nous emmène dans une toute autre route pour revenir sur ce sens.