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Les Royaumes Oubliés - La Légende de... tome 2 sur 13

Yann Chican (Traducteur)
EAN : 9782811201630
405 pages
Milady (21/08/2009)
4.21/5   312 notes
Résumé :
Drizzt a quitté Menzoberranzan, sa ville natale, pour gagner les régions sauvages de l'Outre-terre. C'est le début pour lui d'une vie d'errance et de traque. Car Drizzt doit devenir un chasseur s'il veut prendre le dessus sur les créatures qui rôdent dans les profondeurs. Il peut heureusement compter sur l'aide de Guenhwyvar, sa fidèle panthère magique. Mais le jeune elfe noir n'est pas seulement confronté à la sauvagerie de contrées hostiles, il doit aussi faire fa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
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Dritzz ce héros.


Second tome de la première trilogie des royaumes oubliés. L'elfe noir.
Dritzz s'est exilé loin de sa cité et de sa famille qu'il a renié. Vivant comme chasseur ermite depuis 10 ans avec la seule présence de sa panthère astrale. Sa santé mentale en jeu, Dritzz va faire le pari, sur sa vie, du contact avec un autre peuple.


Plus qu'un roman de fantasy d'aventure,un livre d'aventure dont vous êtes le héros… Dritzz tire à chaque fois la bonne combinaison de dés pour trouver alliés et solutions à chaque étape de son périple.
Un bestiaire impressionnant va passer ou trépasser sous ses cimeterres.
C'est indéniablement violent, mais comme je l'ai dit dans la critique du premier tome, cela manque de cette noirceur qui aurait pu faire de la série une oeuvre majeure ou culte (pour moi).
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Dans ce second volet de la trilogie initiale de Drizzt, notre elfe noir, renégat de sa (pas si) bonne ville de Menzoberranzan a décidé de vivre dans le monde souterrain, très à l'écart de sa môman et de ses soeurs, toutes adeptes hardcore de la reine-araignée, qui n'est pas non plus très sympathoche...

Il va faire de multiples rencontres, ce qui va lui permettre de résister dans la chasse à l'homme dont il est la cible.

R.A. Salvatore possède une imagination puissante et multiforme. Il parvient à renouveler une grande partie du "bestiaire" de la fantasy, avec notamment des gnomes qui vivent selon des valeurs de respect qui ont tant manqué à Drizzt. Mais d'autres formes de vie, tout à fait fascinantes et parfois répugnantes, sont aussi au programme.

J'ai apprécié ce roman. Je lirai au moins le troisième qui forme un tout, je crois, avec les deux précédents.
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Voila 10 ans que Drizzt a fui Menzoberranzan et renié la Reine Araignée. Il a trouvé refuge en Ombre-Terre mais la solitude le ronge ; ses rares contacts avec Guenwhyvar, son amie d'un autre plan, ne suffisent plus, il est en train de devenir un monstre sans coeur, un chasseur impitoyable.
Mais lorsque l'elfe noir surprendra une expédition svirfnebeline et la traquera jusqu'à la cité de Blingdenpierre, l'heure du choix aura sonné.
Ce que Drizzt ignore, c'est que la Maison Do'Urden va faire appel au plus grand don de Lolth afin d'envoyer Zaknafein, son défunt père devenu un zombie sans pitié par le biais du Zin-Carla, traquer le renégat qu'il est devenu en éliminant tout sur son passage.

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Quel tome bien rempli ! Là encore, impossible d'arrêter ma lecture, de décrocher de cet univers et des aventures de Drizzt, de ses compagnons ou des drows maléfiques de Menzoberranzan.
Car la structure en parallèle proposée par R. A. Salvatore nous montre les deux tableaux séparés avec les liens qui les unissent. D'un côté, Drizzt va chercher et trouver des amis, de l'autre, Malice et son cadavre ambulant vont tout faire pour regagner les faveurs de Lolth.

On rencontrera, dans le désordre, un groupe de mercenaires drows prompt à changer de camp (même pendant la bataille), une cité gnomesque aux moeurs revigorantes, un rituel maléfique fort en surprises, des monstres divers et variés (dont les fameuses corbies kamikaze), des amis attachants et des ennemis détestables (saletés de poulpes mentalistes !), un zombie implacable aux soubresauts d'âme salvateurs jouant le rôle de nettoyeur (prenez-ça saletés tentaculaires !), et j'en passe.
Côté ambiance générale, c'est assez froid et fataliste quoi que réchauffé par de belles rencontres et de grandes surprises. L'amitié et la force de la fidélité façonnent Drizzt dans ce deuxième tome que je n'ai pas relu sans une certaine appréhension tant il m'avait attristé la première fois. Certains pleurent à la mort de Gavroche ou Valjean, moi je désespère du sort (c'est le cas de le dire) réservé au pauvre Caqueteur, pech transformé en porte-crocs ne pouvant être que le témoin impuissant de l'évolution de sa situation et de la perte de contrôle qu'elle engendre. Ça a un petit côté dégénérescence mentale inéluctable qui fait froid dans le dos. Bâtard de sorcier aux accents germaniques !

En résumé, une suite grandiose
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Englouti en un rien de temps ! Addictif, le Drizzt !

Je l'ai cependant trouvé un poil (pas grand chose, hein) moins bien que le 1, car Drizzt y est moins "fin", si j'ose dire, et j'ai davantage senti le "jdr" derrière le livre, avec de l'action pour l'action sans trop de raisons derrière. Bon après les monstres et les ennemis sont nombreux dans l'Outreterre, donc c'est aussi la normalité dans un monde aussi dangereux.
D'autant que Drizzt doit y survivre seul, après son exil volontaire. Seul ? Non. Sa panthère de compagnie l'aide à survivre. Mais la solitude, le second compagnon d'exil de Drizzt, et finalement le personnage le plus important pendant un moment au début du livre, pèse lourd dans la balance de la vie, et, très logiquement, Drizzt finit par ne plus la supporter et rechercher des compagnons, n'importe lesquels.

Il finira par en trouver, chez le peuple des gnomes qui a lui aussi des cités en Outreterre. Les personnages sont toujours aussi bons, surtout Caqueteur et Belwar. Leur psychologie n'est pas si superficielle et leurs actes parlent pour eux. Il sont vraiment bien dépeints, très attachants.

Côté "affreux", la famille Do'Urden fait toujours dans le lourd, surtout Malice, avec la complicité de Lolth, sa "reine araignée" qui est vraiment une saleté ! Et la compagnie de mercenaires dont je peine à me rappeler le nom (son chef, notamment) est formidable dans la duplicité au pays des traîtres professionnels !

La fin est excellente, j'ai vraiment adoré, malgré la tristesse qu'on peut ressentir.

Bref, tome 3, me voilààààààààààààà ! :D

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Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10
Développement des personnages : 10/10
Style de l'écriture : 10/10
Rendu de l'histoire : 8/10
Total 37/40 Babelio 5/5

Suite des aventures de Drizzt Do'Urden. Je me souviens qu'a l'époque où les livres sont sorti (donc pas la réédition de Bragelonne) , chaque sortie était attendue comme une sorte d'événements pour mon groupe de JRGN. On parlait pendants des mois de ce qui allait arriver dans le prochain tome voir le prochain cycle de l'elfe noir. A la base ces premiers volume s'appelaient la Trilogie de L'elfe noir et non pas la légende de Drizzt. L'elfe noir aux yeux lavandes est devenu en quelques temps plus célèbre et reconnu que Dark Vador parmi notre groupe de rôliste. La carte Magic de Drizzt était d'ailleurs vendu plus chère que celle du Jedi noir.

Ce second tome est la suite parfaite au premier, même si dix années se sont écoulées. Les temps forts de ce roman, toujours aussi intelligemment écrit, sont l'affrontement avec Dinin et Briza ainsi que le retour de Zanakein. Mais il y a aussi sa relation d'amitié avec Belwar le gnome. le roman n'est pas seulement une histoire de fantasy, il y a aussi beaucoup de réflexion sur notre société à travers Drizzt.

Le seul bémol dans cette version réédité, c'est le travail bâclé du traducteur. Déjà le mot Adamantine (l'acier des elfe noir) est remplacé par adamantium. Euh pardon mais l'adamantium c'est pas dans Wolverine ? Si, si mais de toute évidence le traducteur c'est fou comme l'an 40. Il va même jusqu'à remplacer Ombre-terre par Outreterre ce qu dénature complètement l'univers établi à l'origine. Car Outre voulant dire dans le sens (littéraire entendu) autre, on sort complètement du contexte de l'auteur, puisque ça n'est pas une autre terre mais bien un monde de ténèbres d'où la logique de Ombre-terre. Mais comme Bragelonne aime dénaturer tout ce qu'ils touchent allons-y ! Après tout qui a lu la première version? Autre faute remarqué dans leur traduction à deux balles Mithril devient Mitrhal, pourquoi pas mistral tant qu'on y est ! Il est clair que les traducteusr de chez Bragelonne sont loin très loin du niveau de Michèle Zachayus. On dirait plus qu'ils sont parti de la version française en changeant deux trois mots plutôt que de partir de la version anglaise (pourquoi se fatiguer après tout). J'en ai tellement eu mal aux yeux je je suis revenu à ma bonne vieille version papier de Fleuve noir plutôt que de poursuivre cette version numérique de piètre qualité. Mais comme le soucis vient du travail de fond de la maison d'édition et non de l'auteur je ne lui en tient pas rigueur dans ma note.

La fin avec le maître de Drizzt est d'ailleurs un pure bijou de beauté. L'elfe noir reste pour moi un des personnages les plus humain et le plus complet de toute la littérature fantastique. Je conseil toutefois aux néophytes de lire plutôt la version de Fleuve noir qui reste pus fidèle à la vison de l'auteur.
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Il n’avait pas fini sa phrase que celui-ci détalait déjà dans le passage que le drow lui avait indiqué un peu plus tôt. Sa tribu, faisant preuve d’une loyauté sans faille, se précipita à sa suite, les plus rapides lui passant même devant.
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Plaisanter d’une tragédie vaut mieux que vivre enlisé dans la culpabilité d’un incident dont personne n’est responsable.
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La flamme de l’âme ne peut s’éteindre qu’avec la mort. Et un royaume peuplé de cadavres n’est d’aucune utilité à un despote.
L’âme est résistante, indomptable. Chez certains elle survivra jusqu’à la chute de l’oppresseur.
Où était l’âme de Zaknafein, mon père, lorsqu’il a essayé de me détruire ? Où était la mienne, durant mon séjour dans l’Outreterre, quand le chasseur que j’étais devenu aveuglait mon cœur et guidait mes armes souvent contre ma volonté ?
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L’âme. Dans toutes les langues de tous les royaumes, à la surface comme
dans l’Outreterre, ce mot est synonyme de force et de détermination.
C’est la force du héros, la résistance de la mère et l’armure du pauvre
hère. Nul ne peut la briser, nul ne peut la détruire. En cela je veux
croire.
Drizzt Do’Urden.
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Qu'importait. Jour et nuit ne faisaient qu'un; oui, tous les jours n'étaient qu'un dans la nuit du chasseur. Drizzt se hissa par l'étroite ouverture et rampa de longues minutes vers le faisceau de lumière, devant lui. Ce mince rai dû à des moisissures phosphorescentes aurait dû être une source d'inconfort pour un elfe noir; Drizzt, lui, se sentit rassuré. Ses yeux lavande le rendaient différent de ses frères.
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Video de R. A. Salvatore (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de R. A. Salvatore
Booktrailer du livre fantasy "Gauntlgrym", tome 1 du cycle "Neverwinter" de R.A. Salvatore.
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