Ce roman d’une étrangeté absolue (traduit en français peu après sa parution – Gallimard, 1936) était introuvable depuis près d’un demi-siècle.
Chronique des très riches lueures de la campagne anglaise, chronique surtout d’une aristocratie « cavalière » à la recherche de sa virilité perdue, il proclame la fin d’un monde – auquel la Grande Guerre servira de catafalque.
Tristesse et beauté se donnent ici la main, dans un trouble tournoiement d’ambiguïté...
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