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Un bon thriller, original pour moi qui n'ai pas une grande culture SF.
J'ai commencé par Libération qui se trouve à la suite du 1er récit, comme conseillé dans une critique récente, et je ne le regrette pas !!! C'est bien plus simple d'avoir en tête la chronologie et les faits importants qui cadrent le contexte du monde dans lequel l'auteur nous embarque pour ensuite se laisser aller dans l'intrigue du récit principal.
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Au départ, je pensais avoir à faire avec un thriller et ... à l'issue de ma lecture, je n'étais pas très enthousiasmée...
Pas étonnant dans ce cas que nous n'ayons pas accroché avec l'enquête puisque le but de l'auteur n'était pas d'en faire un thriller Au contraire, cette enquête policière est juste un procédé narratif utilisé par l'auteur à bon escient pour nous permettre une plongée dans le monde des hadens. En suivant nos deux héros au fil de leur avancée, nous sommes insconciemment plongé petit à petit dans ce monde inconnu. Cela explique pourquoi nous trouvions l'enquête lente : l'auteur n'essayait pas de nous faire cogiter sur QUI est le coupable mais de nous donner au travers des indices une vision d'ensemble de cette nouvelle société.
Il y a même un second procédé narratif qui apporte du piment à ce livre : nos héros ! Si on regarde bien, ils sont le contraire de leurs congénères. Shane est un haden qui est certes riche, connu mais qui fait tout pour être utile à la société et mérité sa reconnaissance. Quant à Vann, c'est une ancienne intégratrice qui à eu à subir de graves séquelles lors d'une intégration. Tous les autres personnages sont des personnes "normales", dans le sens où ils trouvent leur vie comme allant de soi.

Bref, si on replace ce livre dans la bonne catégorie (science-fiction), je le trouve vraiment très bon. La lecture est agréable, l'histoire est bien ficelée et la compréhension de cette société est très rapidement comprise par le lecteur.
En ce qui concerne les 50 dernières pages, j'ai bien aimé en fait Cela apporte un côté encore plus réaliste à l'histoire et permet également d'aborder des éléments qu'ils auraient été difficile d'intégrer dans l'histoire.
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Les enfermés de John Scalzi et une petite pépite que je vous recommande vivement.

Le monde tel que nous le connaissons a cessé d'exister suite a une pandémie.Si toute l'humanité n'a pas disparue, la maladie a provoqué de profonds changements.

En effet, l'humanité est désormais découpées en 3 catégories distinctes : les survivants, ceux qui n'ont pas été touchés par la maladie ou qui n'en gardent aucune séquelle, les Hadens, ceux qui ont subit le plus de dégâts et dont le corps ne leur permet plus aucun contact direct avec le monde extérieur (ils sont littéralement enfermés dans leur propre corps) et les intégrateurs, qui ont subis la maladies mais sans arriver au stade de l'enfermement et dont le cerveau a été modifié.

Les premiers ont financé la recherche afin de soigner les autres et d'adapter la technologie aux besoins des malades. Cela a eut pour conséquences de trouver des moyens de permettre aux Hadens de retrouver un semblant de vie grâce aux Cispé, ces espèces de robots contrôlables par les Hadens et leur permettant de « sortir » de leur corps afin d'interagir avec le monde.

Les intégrateur, grâce aux progrès technologique et aux particularités uniques de leurs cerveaux sont capables d'accueillir les Hadens dans leur cerveau et de servir ainsi d'hôtes.

Dans ce monde, le lecteur est propulsé aux côtés de deux agents du FBI, l'un étant un Haden et l'autre une ancienne intégratrice, chargés d'enquêter sur les crimes impliquant des Hadens.

Ce roman est donc une sorte d'hybride mi-thriller mi-science-fiction.

Bien que ce soit le premier livre de cet auteur, j'avoue avoir été très rapidement séduit par son style, à la fois clair et précis ( il n'hésite pas à entrer dans les détails pour nous expliquer le fonctionnement des réseaux neuronaux, des concepts de cybersécurité et ce sans nous noyer sous les informations). Par ailleurs si le ton est relativement sérieux, j'avoue avoir beaucoup apprécié les petites pointes d'humour qu'il distille avec la plus grande parcimonie.
Pour ce qui est de l'intrigue, elle est suffisamment touffue et développée pour que le lecteur lutte pour trouver le fin mot de l'histoire.

Mon unique bémol (car il en faut bien un) concerne l'absence d'un réel twist dans les dernière pages. Mais là, je chipote un peu car pour être honnête ce livre est excellent. Pour preuve : c'est un de ces livres que j'ai été incapable de lâcher du début à la fin ce qui fait que j'ai commencé sur le coups de 15h et que je l'ai terminé dans la nuit.

J'ai également beaucoup apprécié la seconde partie qui nous apporte quelques éléments sur la découverte et la propagation du virus par le biais de différents protagonistes.

Au final, un très bon roman, bien rythmé et bourré d'action dans un univers très plaisant.

J'ai hâte de lire d'autres romans de John Scalzi car ce premier est un vrai coup de coeur que je vous recommande chaudement.
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Génial! J'ai adoré ce livre entre la Science-Fiction et le polar, qui mêle la politique, les systèmes de santé, la psychologie et le suspense avec brio! L'auteur décrit très bien les évolutions sociales logiques, prévisibles et imprévisibles, lors de bouleversements.
Je l'ai lu en 2023 et il m'est difficile de ne pas faire le parallèle avec la COVID, alors que le livre a été écrit en 2014. En tout cas, l'auteur montre une très belle connaissance de la psyché humaine. Il traite également de manière tout à fait correcte (ce qui est bien trop rare) les communautés handicapées, d'une manière non stéréotypée et variée.
À la fin du livre on découvrira un gros dossier d'interview et de coupures de presse sur le développement de la maladie. C'est encore une fois, très bien écrit, crédible, logique, circonstancié.

Je suis rarement aussi enthousiaste (quoi que bon publique) et je découvre avec John Scalzi un auteur que je vais continuer à suivre (je l'avais découvert avec l'hilarant Impresario du troisième type), et si possible dans le bon ordre (j'ai lu Prise de tête, la seconde affaire de nos héros, avant ce tome qui est leur première affaire).

Amusez-vous, profitez du suspense et des nombreuses réflexions proposées, on est dans la relève d'Asimov...
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Pour résumer, les Enfermés est un roman de science-fiction / uchronie / policier à l'univers solide, très engagé et d'une redoutable intelligence. Tout ce à quoi Scalzi nous a habitué, en somme. Si j'ai regretté le côté classique de l'intrigue en elle-même, je me suis régalée avec son contenu et sa narration à forte portée signifiante. Je recommande donc volontiers ce texte, tout comme chaque roman de Scalzi lu jusqu'ici !
Lien : https://ombrebones.wordpress..
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C'est par le biais du personnage de Chris Shane (dont j'étais persuadée qu'il ne pouvait s'agir que d'un jeune homme, jusqu'à ce que j'aperçoive sur un des rabats de couverture une mention précisant que l'auteur ne connaissait pas son sexe … et effectivement, il n'y a pas d'indication à ce sujet ) que le lecteur découvre ce qu'est un « enfermé ». L'approche est particulière, cependant, car Shane a été enfermé alors qu'il (j'en reste au pronom masculin, tant pis) n'avait que deux ans, il n'y a donc pas vraiment eu d' « avant » et « après » pour lui, car il ne se souvient pas de cet avant. Shane est aussi un cas spécifique, on le comprend dès les premières pages, puisque c'est une célébrité dans son genre : enfant d'un riche sénateur, il a en effet été érigé tout petit comme symbole positif de la condition haden. Ces précisions ne sont pas sans importance car elles définissent aussi le rapport que Shane entretient avec son nouveau métier, qui ne lui est pas vital mais lui permet de quitter le cocon familial et le regard que les autres portent de prime abord sur lui.

L'enquête démarre presque immédiatement (juste après deux pages de présentation du syndrome Haden en guise de préambule). le récit, tout en nous permettant d'appréhender ce que la société est devenue avec l'apparition des cispés dans la vie quotidienne, est mené de manière très efficace et je l'ai lu avec plaisir. Il déborde le cadre de la résolution d'un simple crime pour s'ouvrir sur des problématiques plus larges qui touchent justement à la manière dont est envisagée la place des hadens.
Shane en est le narrateur, à la première personne, ce qui lui confère une tonalité très spontanée, avec quelques pointes d'humour. L'ensemble revêt pourtant, et ce malgré les références régulières au corps de Shane, dans la nacelle où il est conservé, et son implication physique par le biais de son cispé (qui va en voir de dures) un côté désincarné assez troublant : on n'a pas l'habitude d'un héros dont les possibilités d'interactions avec les personnages qui l'entourent sont ainsi restreintes. Et ce n'est pas l'Agora, espace virtuel où se retrouvent les Hadens, qui peut compenser. Ceci étant, le personnage de Shane suscite la sympathie (je dirais même l'empathie) et on s'intéresse non seulement à l'enquête mais à lui personnellement.

« Les enfermés » est suivi d'un second texte (de 70 pages) intitulé « Libération – Une histoire orale du syndrome d'Haden », dont j'ignorais qu'il avait été écrit avant le roman proprement dit. Je l'ai abordé sans enthousiasme, craignant de m'y ennuyer mais cette chronique socio-historique, ponctuée de témoignages de divers spécialistes ou autorités, s'est avérée dynamique et passionnante.
Lien : https://surmesbrizees.wordpr..
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Pour Chris Shane, son premier jour au FBI commence par l'atterrissage d'une causeuse sur le toit d'une voiture, causeuse jetée du sixième étage. C'est à cette occasion qu'il rencontre sa collègue et supérieure hiérarchique l'agent Vann. Cette affaire leur revient de droit car outre la causeuse, un intégrateur aurait commis un meurtre dans l'appartement où se trouvait le canapé. Et l'agent Vann a pour mission de résoudre les crimes impliquant les Hadens.

C'est donc dans ce contexte que nous découvrons ce "nouveau" monde, vingt-cinq ans après l'apparition d'un virus extrêmement contagieux et mortel qui a décimé plus de quatre cents millions d'hommes et de femmes sur la planète. Ce virus a également "enfermé" plusieurs centaines de milliers de personnes, parfaitement conscientes mais incapables d'esquisser le moindre geste, prisonnières de leur corps, ce sont les Hadens. Grâce aux nouvelles technologies, les Hadens peuvent se mouvoir par l'intermédiaire d'androïdes qu'ils contrôlent à distance et interagir avec le monde extérieur.

D'autres victimes du virus ne sont pas restées "enfermées", leur cerveau a subi quelques modifications qui font d'elles des intégrateurs, c'est-à-dire des personnes en pleine possession de leurs moyens, susceptibles de servir d'hébergement aux Hadens.

Et j'ai oublié de vous dire, Shane est un Haden et Vann une ancienne intégratrice...

Les premières pages sont un peu difficiles à intégrer, beaucoup de nouveaux concepts à visualiser, il n'est pas évident de s'immerger dans ce futur. John Scalzi, nous emmène très loin, les éléments sont savamment distillés les uns après les autres et en quelques pages tout s'éclaire !

Court, vif, rythmé, ce roman est un délice... et l'auteur mène bien sa barque, à aucun moment nous ne sommes perdus, à chercher qui est qui, qui parle par l'intermédiaire de qui, un intégrateur, un Haden, un androïde ou tout simplement un homme épargné par le virus. du grand art !

Pour résumer, nous avons ici un roman mi-thriller, mi polar dans un futur proche, mêlant anticipation, trans(post)humanisme et cyberpunk. le tout permettant la réflexion sur des sujets d'actualité comme l'accès aux soins, la mainmise sur la santé par les multinationales, la vie face et avec le handicap, l'acceptation des différences... Ce roman bourré d'humour est un roman humain, un hymne à la liberté.

A la fin du roman, un petit texte supplémentaire nous plonge dans l'Histoire du syndrome d'Haden, de l'apparition de l'épidémie au monde tel qu'il est un quart de siècle plus tard. Ce texte est une succession d'interviews des différents protagonistes, médecins, malades, chercheurs, journalistes, politiciens et personnels de la Maison Blanche. Ce texte enrichit le background et nous permet de mieux comprendre le début de l'intrigue.

Bref, un vrai coup de cœur pour ce livre passionnant de bout en bout.
Lien : http://les-lectures-du-maki...
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Je n'ai vraiment pas fait exprès de commencer ce bouquin en plein confinement pour cause de Coronavirus... (j'vous jure !)
Il était dans ma PAL, je l'ai pris au hasard, et en lisant lisant le résumé, je me suis dit "ah bah tiens... !!!".
Bon, bien évidemment, on en n'est pas rendu là hein ! Mais j'avoue que je n'aurais peut-être pas eu la même sensation si je l'avais lu quelques mois auparavant.
La situation pandémique de l'histoire est poussée à l'extrême. Mais tout s'imbrique bien, et la toute fin du livre, celle qui explique comment tout est arrivé et qui est donc indépendante de l'histoire et de l'enquête policière en elle-même, rajoute un côté encore plus réaliste à l'atmosphère du livre. Vraiment bien vu !!!
En plus d'une bonne intrigue, d'une base solide niveau explications techniques, et de personnages diversifiés et attachants, il faut rajouter que je ne me lasse pas de la plume de Scalzi ! Sa manière de donner vie à ses personnages me fascine. Ça fluidifie complètement la lecture, et l'imaginaire autour des scènes décrites se développe comme par magie. C'est précis, réaliste et ça va droit au but !
Un excellent bouquin à lire pendant le confinement donc ! ^^ (faut bien sourire un peu de mon choix de lecture complètement aléatoire qui tape dans le mille ! XD)
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Pour commencer, précisons que ce volume est constitué de deux parties :

Les enfermés, le roman proprement dit ;
Libération, une histoire orale du syndrome d'Haden, un ensemble de petits textes, se voulant des extraits d'interview, retraçant toute l'histoire de ce syndrome et comment on en est arrivé à la société décrite dans le roman.

J'ai, quelque part dans les méandres de la toile, que l'auteur souhaitait que le lecteur commence par Libération, une histoire orale du syndrome d'Haden pour mieux s'imprégner du contexte. Aucune information ne transparait dans ce bouquin sur ce point. Mais il est vrai que, puisque ce deuxième texte peut être lu comme un prologue du roman, c'est logique. Pour ma part, j'ai même fini par zapper un certain nombre de passages vu le peu d'intérêt que j'ai trouvé à cette « histoire du syndrome ». le roman ne gagne rien à la présence de ces 77 pages et je pense que leur présence en début de volume aurait rebuter plus d'un lecteur.

Sur le rabat de la quatrième de couverture, l'éditeur à écrit ces mots : Un vibrant plaidoyer pour la dignité des handicapés et l'égalité des sexes. Effectivement. Une bonne partie des personnages principaux sont des handicapés (et pas qu'un peu) et les différences de sexe ne se ressentent que dans l'usage des pronoms masculins et féminins. Mais de là à présenter cette oeuvre comme un vibrant plaidoyer... Et que dire de la remarque suivante ? Un tour de force littéraire : John Scalzy imagine, comme dans Deus in machina, un personnage dont lui-même ne connait pas le sexe. Bon, d'accord, l'auteur réussi à ne jamais utiliser pour ce personnage les pronoms il ou elle. Ni à utiliser des adjectifs qui l'obligerait à donner un genre à son personnage. Alors soyons clairs : que l'auteur écrive tout un roman sans attribuer un genre à son personnage n'est pas vraiment un exploit. Mais réussir à ne jamais laisser transparaitre un choix au niveau du choix des mots en est un... sans doute moins remarquable que La disparition de Georges Perec.

Qu'en est-il du roman ? C'est une bonne enquête policière. La situation d'« enfermés » du personnage principal donne à ce roman un petit côté cyberpunk [1] plutôt agréable. L'histoire tient la route, même si j'ai trouvé la mise en place un peu lente et la fin proportionnellement trop rapide. le côté « fils à papa » du héros (à moins qu'il ne s'agisse d'une héroïne) rend certaines actions un peu trop faciles. J'ai cassé mon « cispé » (robot utilisé par les « enfermés » pour se déplacer dans le monde) ? Pas grave. J'en rachète un. le bas de gamme ? Non ! Faute pas déconner. Car le héros change 4 fois de moyen de locomotion. Sans compter les emprunts officiels nécessités par son enquête. Par ailleurs, ce sont plus des soupçons que des preuves qui l'amènent à faire tomber le grand méchant de l'histoire.

En bref : Très bon roman. À lire... mais vous pouvez zapper le supplément. ;)
Lien : http://livres.gloubik.info/s..
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Un virus très virulent : Quatre cents millions de morts, quarante millions de personnes handicapées. Un monde à genoux. 25 ans plus tard, un progrès scientifique majeur menant à une transhumanité posant quelques questions à nos sociétés. Et d'ailleurs, voulons nous faire société ?

Un divertissement critique mené tambour battant.

Sur les recommandations avisées de Pyjam et de charloo, j'ai commencé ma lecture par la seconde partie « Libération : Une histoire orale du syndrome d'Haden ».
Cette partie rend hommage et est conçue comme le roman World War Z : Une histoire orale de la guerre des zombies. Une pluralité d'intervenants relate l'apparition, la découverte et les conséquences du virus sur le monde.
Commencer par la fin est logique au vue de la conclusion de cette partie, le récit Les enfermés pouvant être une des histoires contées par un journaliste. Et cela permet de mieux comprendre le roman.
Ce livre dans le livre est mon vrai coup de coeur

John Scalzi y dénonce la mainmise de l'accès aux soins par les grandes multinationales pharmaceutiques, de l'égoïsme des politiques, les discriminations envers les minorités, l'éthique bafouée (les essais sur les prisonniers)
L'auteur nous narre la bêtise humaine dans toute sa splendeur, faisant que le monde créé est tout à fait plausible.

Comme déjà dit par Apophis, le livre m'a fait penser à la série Real humans (que je vous conseille fortement si vous avez aimé les réflexions de l'auteur).

Quelques bémols selon moi sur le récit Les enfermés : certaines explications cassant le rythme du récit; une enquête un peu légère, des personnages assez binaires. Rien de très grave.

Au final, ce roman comporte une pincée d'humour, des interrogations pertinentes sur l'éthique autour de l'homme augmentée, agrémentés d'un regard sociétal égalitaire et inclusif sur les minorités, quel qu'elles soient (handicap, ethniques, de genre, le désir d'enfant et la parentalité chez les personnes handicapées...). Une réflexion sur la surveillance des communications.
Un bon divertissement qui permet de poser quelques réflexions sur la société. C'est assez rare pour se laisser tenter.

Un ebook à 11€ sans Drm, merci aux éditions L'atalante de jouer le jeu du numérique.
Lien : http://lechiencritique.blogs..
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