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3,55

sur 1759 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Bon, je reste sur ma faim, une heure de lecture, 100 pages, c'est un peu court pour les messages contenus dans le récit. Pour moi, ce livre manque de dimension et de profondeur. Il ne me plonge pas dans la méditation ! Dommage, car les thèmes abordés dans le contexte de la pratique du sumo constituaient un beau sujet. Comment s'épanouir et se réaliser, alors que l'on est un adolescent écorché par la vie ? Eric Emmanuel Schmitt nous dit que le travail sur le corps et l'esprit est une voie qui forge la personnalité, nous mène à la tolérance, à l'acceptation de soi et des autres. Par ailleurs, la spiritualité, la philosophie zen et le bouddhisme nous conduisent à la maitrise de soi et, la pratique assidue constitue une voie de libération vers le bonheur. Mais tout ça est abrupt et condensé.
Pour moi, c'est un gentil survol de « beaux canyons de philosophie de vie », de cet auteur j'ai connu mieux !
Je terminerai par une belle pensée du récit : « A l'envers des nuages, il y a un ciel » à méditer en l'occurrence.
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Peu de messages dans ce texte court qui manque, pour moi, totalement de profondeur et de psychologie.

Les notions abordées (zen, lien corps-esprit, acceptation de soi, spiritualité…) le sont trop prestement pour que j'en prenne un réel plaisir.

Toute cette accumulation de poncifs philosophico-spirituels me fatiguent chez cet auteur.

Voilà, je l'ai dit !
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Jun, 15 ans, traîne ses basques désoeuvrée dans les rues de Tokyo. Shomintsu, un maître Sumo, lui dit voir "le gros en lui" et lui propose d'assister à un tournoi de Sumo. Très revèche dans un premier temps, l'adolescent finit par bénéficier de la sagesse de cet ainé original. L'espoir renaîtra-t-il de cet enseignement ?

D'habitude, je suis rapidement emportée par Eric Emmanuel Schmitt. Malheureusement, ça n'a pas du tout été le cas ici. Heureusement que le roman est très court car je ne l'aurai pas terminé sans cela. Il aurait pu s'inscrire dans un recueil de nouvelles autour de la spiritualité, mais l'histoire ne méritait pas un livre à elle seule, il me semble.
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Je ne suis pas fan des romans philosophiques mais comme je ne lis jamais les 4e de couv, il m'arrive d'en lire...
Ça ne sera pas encore ce livre qui me fera changer d'avis sur ce genre de roman. Je trouve que ces morales simplistes et évidentes n'apportent pas grand chose. Enfin, j'imagine que ça peut être un message porteur d'espoir pour certain...

En tout cas je me suis fait une "morale du jour" toute seule comme une grande : Au même titre que l'habit ne fait pas le moine, le titre ne fait pas le livre !
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Je ne supporte pas dire ça mais la vérité est bien là c'est un Schmitt. C'est moche je sais. le livre se lit simplement, un peu de philosophie, un peu (beaucoup) de gentillesse et d'amour...Un Schmitt est une bonne recette que l'on peut réaliser les yeux fermer (ohh c'est beau ça!).
Voilà
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Le sumo qui ne pouvait pas grossir est un récit qui s'inscrit dans la lignée des contes philosophiques d'Eric-Emmanuel Schmitt, le Cycle de l'Invisible.
Dans le sumo qui ne pouvait pas grossir, Eric-Emmanuel Schmitt promène son lecteur dans les rues de Tokyo dans les pas d'un adolescent perdu vivant au gré du vent. Jun a rompu le lien qui l'unissait à sa famille. Sa rencontre avec Shomintsu l'aidera à avancer et à voir l'avenir différemment.
Shomintsu possède une école de sumotoris et y invite le jeune Jun, lequel acceptera et grandira peu à peu en prenant conscience de qui il est.
J'ai découvert l'univers d'Eric-Emmanuel Schmitt il y quelques années maintenant avec le roman intitulé La Part de l'Autre, un véritable chef-d'oeuvre, un roman que j'aurais adoré écrire... J'ai continué à lire ses publications régulièrement : Oscar et la Dame rose (mes larmes n'ont cessé de couler sur ce texte) et Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran m'ont bouleversée. Néanmoins, je suis plus sceptique concernant cet ouvrage. La lecture est agréable mais il manque une pointe de sensibilité. Je suis quelque peu déçue mais espère que les prochains seront plus inattendus.
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Un peu déçue par ce "roman" qui aurait pu (et aurait mérité) d'être plus développé... surtout vu son prix en librairie (vive les bibliothèques !).

Au final c'est une nouvelle jolie et fluide, mais j'en suis ressortie en ayant l'impression d'avoir lu un synopsis, une mise en bouche plus qu'un récit complet.

Eric-Emmanuel Schmitt peut faire bien mieux :)
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Cette petite histoire, commence lentement, pour se terminer dans un rythme trop accéléré. La rencontre entre les deux protagonistes, avant la décision de Jun d'acquiescer, prend environ le tiers des pages. Et ensuite, tous les évènements se succèdent, et finissent par devenir une espèce de conte de Disney, ou tout finit magiquement bien.
Or, ces histoires d'initiation, de transformation personnelle et soudaine, et les fins sucrées, me paraissent bien irréelles, et je me demande, quel serait le but du roman? S'agit-il d'un conte pour enfants? d'une histoire de morale? ou de motivation? quell que soit ce but, serait-il crédible?

Personellement, ce petit roman a failli, à un moment, me toucher, mais la problématique dans laquelle j'ai cru me reconnaitre, a pris un tout autre chemin.
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Un jeune garçon voudrait devenir sumo mais son physique fluet ne le permet pas.
Il décide donc de grossir, plus facile à dire qu'à faire...
En parallèle, un état d'esprit, comment s'accepter et passer outre ses problèmes qui semblent être à l'origine de son blocage.
Pas transcendant ! On fait mieux chez Schmitt...
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"Jun" est un adolescent SDF qui, pour survivre, vend des bricoles dans les rues de Tokyo. Régulièrement, il est abordé par un maître de sumo,et ce dernier lui répète inlassablement qu'il décèle un "gros" en lui. "Jun" qui est "maigre, long" et tellement "plat" qu'on aurait dit qu'il "avai(t) été conçu en deux dimensions" ne prêtait guère attention aux paroles de ce monsieur. Puis un jour où il est copieusement battu par un policier, il décide de rejoindre le vieil homme et assiste ainsi pour la première fois à un combat de sumo.

"Le sumo qui ne pouvait pas grossir" est un conte philosophique où E.E.Schmitt évoque la spiritualité, le dépassement de soi, la quête d'identité et l'amour.
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