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On va découvrir l'histoire récent du Cambodge, ce pays situé en Asie du Sud-est coincé entre la Chine et le Vietnam quand ce dernier fut entraîné malgré lui dans la guerre du Vietnam. le Vietnam est quand même le seul pays au monde à avoir défait 3 des 5 membres du Conseil permanent de l'ONU (France puis Etats-Unis puis Chine). Mieux vaut les avoir avec soi que contre soi !

C'est assez compliqué à suivre mais je vais schématiser en disant que ce pays a été envahi par les forces communistes qui souhaitaient étendre leur emprise sur toute la région de l'Asie du Sud-Est. Les américains ont d'ailleurs payé un lourd tribut avec la guerre du Vietnam et ils ont abandonné le sud du Vietnam à leur triste sort comme ils ont abandonné également le Cambodge et plus récemment l'Afghanistan. Cette grande puissance s'était pourtant engagé à défendre les idéaux et les promesses de liberté et de démocratie...

Malheureusement, pour le Cambodge, les khmers rouges qui se sont installés au pouvoir ont tué des millions de gens dont le père de l'auteur de la BD qui n'avait que 13 ans le 17 avril 1975 quand la capitale Phnom Penh est tombée. Ce fut le début d'une purge sans précédent qui a duré des années. On parle de génocide de tout un peuple. Ceci ne sera pas montré dans la BD qui n'évoque que la chute.

C'est évidemment emprunt d'émotion face à ce terrible drame qui sépare les familles bienheureuses. Il faut dire que ce pays pacifique n'était pas préparé à une telle déferlante de violence.

L'auteur semble condamné les accusations portées contre les américains sur des bombardements massifs alors que l'ennemi communiste a fait la même chose à son peuple dans l'indifférence générale de l'opinion publique internationale. Bref, on se rend compte que le soutien américain était primordial afin de pouvoir résister à l'envahisseur. A noter que les français et leur collaboration avec l'ennemi seront également fustigés.

Bref, tout cela n'est pas simple et c'est toujours bien d'avoir un autre regard sur l'histoire qui diffère singulièrement avec une BD que j'ai lu récemment à savoir « Song ». On peut s'intéresser à cet ouvrage qui constitue un travail de mémoire sur l'histoire tragique et récente du Cambodge.

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L'âme au bord des cheveux, titre énigmatique auquel on peut trouver une certaine poésie, mais qui, en langue Khmère, signifie "mort de peur".
Tout de suite, la sensation n'est plus la même.
Que sait-on de la peur quand on n'a pas vécu d'événements dramatiques ?
Dans ce magnifique album, Séra, nous décrit celle qui le hante depuis le 17 avril 1975.
Le jour où sa vie, celle de ses parents, de sa famille et de nombreuses autres, basculent.
La chute de Phnom Penh.
Le Cambodge à feu et à sang.
Lui, échappera à la conscription, évitant l'incorporation dans l'armée khmère, grâce un passeport français qu'il doit autant à la nationalité de sa mère qu'à la chance du dernier espoir.
Personne ne sort indemne d'une guerre, qui plus est, fratricide.
Cet album est un cri.
Sorte d'exorcisme, que l'auteur s'impose, par devoir de mémoire ou pour tenter de se soulager de ce poids qui l'opprime depuis son adolescence.
Tout s'est passé si vite, personne n'y croyait, c'était impensable.
Un mauvais rêve qui dure depuis plus de 45 ans pour l'artiste qu'il est devenu.
Serait-il le même homme s'il n'y avait pas eu ce 17 avril ?
Séra nous offre son regard, sur l'événement, ceux qui l'ont fait et sur la géopolitique de l'époque.
Il pointe d'un doigt accusateur, les belligérants et la complicité, drapée d'hypocrisie, de pays comme les États-Unis ou la France.
Il montre toute la violence de ces jours de folie qui virent le Cambodge sombrer dans le chaos.
On comprend ses blessures.
Séra, enfant de la France et enfant du Cambodge, peut-être plus encore.
Parce que c'est là que sont ses racines, c'est là que repose son père et que ce sont les souvenirs de ce pays qui le hantent.
Un vrai coup de coeur pour cet album, humain, puissant et émouvant.
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L'âme au bord des cheveux , le titre de cet album graphique signifie être mort de peur .
L'histoire autobiographique de Sera , auteur franco- cambodgien nous donnera la clé de ce titre énigmatique .
Deuxième enfant d'un couple mixte , de père cambodgien et de mère française , il va être aux premières loges de la tragédie de la guerre fratricide des khmers rouges .
L'auteur raconte la guerre , qui montre toujours nos instincts les plus bas , la cruauté des hommes et puis toutes ces vies embarquées dans la tourmente .
Un jour , un seul , et Sera passe de l'enfance à l'âge adulte sans transition comme tous les enfants qui vivent en période de guerre .
Ce livre est aussi un hommage au couple de ses parents , un couple solide , amoureux , sa mère a à peine 18 ans quand elle rencontre son futur mari et part pour le Cambodge pour le meilleur et le pire , heureusement personne ne connaît à l'avance le déroulé de l'Histoire .
C'est aussi un récit très documenté qui explique la situation politique de l'époque , la cruauté des vainqueurs .
Une lecture qui ne laisse pas indifférent , très émue après cette très belle découverte .
Merci à # NetGalley et aux éditions Delcourt .
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L'âme au bord des cheveux, c'est l'expression khmère équivalant à "mort de peur". Séra, à travers cet album, retrace l'histoire de sa famille et du pays où il est né, le Cambodge et dont il a vu le pire. D'abord avec l'insouciance de la jeunesse, aveugle à ce qui l'entoure, avant de prendre une leçon de vie des plus difficile. Il raconte sa famille, sa ville, ses amis, ceux dont il n'a plus jamais entendu parlé, le chemin vers l'exil des plus difficile.
Les dessins qui racontent toute cette histoire sont magnifiques, rempli de détails et d'une grande finesse.
L'album est complété d'une bibliographie pour approfondir notre connaissance de cette guerre et de cette page de l'Histoire.
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Séra n'a pas connu le génocide cambodgien, mais il en a vécu les prémices. Fils d'un intellectuel et haut fonctionnaire cambodgien, il vit avec ses parents à Phnom Penh. le 17 avril 1975, jour de la prise de la ville par les Khmers rouges, il se réfugie avec ses parents à l'ambassade de France.  Avec tous les étrangers, il est expulsé vers la frontière thaïlandaise à la fin du mois d'avril. Mais son père, Cambodgien, est contraint de quitter le refuge de l'édifice diplomatique pour se livrer aux révolutionnaires. Il meurt quelques semaines plus tard. Depuis ce printemps 1975, Séra vit ce qu'il décrit comme un conflit, né du déracinement imposé par les remous de l'histoire. Ce conflit trouve son terrain d'action dans le rapport à la parole. Un combat qu'il doit mener tous les jours, contre lui-même et contre les autres. Silence collectif, d'abord : dans la morale traditionnelle du Cambodge, la culture du silence est prépondérante. Silence intime ensuite, l'artiste rappelle souvent la réticence qu'il a toujours éprouvée face à la démarche autobiographique, qu'il reconnaissait comme très intéressante, mais dans laquelle il voyait aussi une forme d'obscénité. 


L'oeuvre dessinée de Séra constitue donc une forme de reconquête de la parole, un travail sur la mémoire consacré à une tragédie. Un crime contre l'humanité face auquel d'autres se sont réfugiés dans les silences coupables. Ainsi l'auteur rappelle-t-il dans ses interviews que les crimes contre l'humanité qui ont été perpétrés par les Khmers Rouges au Cambodge se sont déroulés dans un silence absolu de la part de la communauté internationale, et ont été soutenus et applaudis par nombre de journalistes et d'intellectuels de la gauche française des années 70. Deux éléments très différents ont décidé Séra à rompre ces silences et à construire une oeuvre qui donnerait à son tour la parole à tous les protagonistes de la tragédie cambodgienne. Un film, pour commencer, pour commencer.  Sorti en 1989, "Site 2", parfois sous-titré "Aux abords des frontières", est un documentaire franco-allemand réalisé par Rithy Panh. le long métrage porte le nom d'un camp de réfugiés cambodgiens situé en Thaïlande, près de la frontière entre les deux pays. Il constitue pour le dessinateur de BD un premier déclic. le second est une déclaration de Maitre Vergès dans Paris-Match. L'avocat déclarait en substance, que les Khmers rouges n'étaient pas criminels, mais des révolutionnaires idéalistes. Des mots difficilement supportables pour celui dont le père a été tué par ceux qui avaient pour slogan : "L'élimination des ennemis n'est pas la conséquence de la révolution, c'est son essence même." Et pour ces révolutionnaires admirés par une partie de l'intelligentsia française, les ennemis étaient légion. 

Ainsi Séra commence-t-il la création d'une oeuvre consacré à la mémoire des massacres perpétrés par les Khmers Rouges et par l'Angkar ; littéralement « L'Organisation », surnom du Parti communiste cambodgien. Une entreprise artistique qui se déploie à ce jour dans albums : Première ébauche en 1987 : c'est chez Futuropolis que sort le premier album de Séra sur le Cambodge ; vient ensuite  Impasse et rouge, initialement édité chez Rackham, en 1995 ; L'Eau et la Terre, sort chez Delcourt en 2005 ; puis Lendemains de cendres, en 2007 chez le même éditeur ; Concombres amers, ensuite, en  2018 chez Marabout. Et cette année, L'âme au bord des cheveux, édité par Delcourt. Cet album constitue le faîte de l'édifice du souvenir érigé par le dessinateur, le premier à adopter la forme de l'autobiographie.



Album après album, Séra donne toute sa mesure à la démarche artistique qui le guide depuis 1987  : redonner corps à l'histoire par un un profond travail sur l'image. Contrairement à la Guerre du Vietnam, le conflit cambodgien a été peu documenté, peu d'ouvrages de photo ont été publiés sur cette guerre et sur les massacres qui l'ont suivie. C'est le phénomène de l'image manquante, qui inspiré à Rithy Panh un de ses plus grands films. Pour combler ce vide, le dessinateur se consacre à la recherche de documents visuels, des photos d'agences de presse oubliées et qui réapparaissent ces dernières années sur les réseaux sociaux. Il  collecte des milliers d'images, qui constituent avec le temps la trame de son imaginaire artistique, la matière première de cet édifice du souvenir. Afin que le lecteur ne subisse aucune rupture dans la continuité visuelle des images, Séra se réapproprie les documents par le dessin. La photographie devient ainsi la matière d'une mosaïque, une matière qui coïncide dans sa nature fragmentaire avec la nature diététique des albums. Il en va ainsi de l'album L'Eau et la Terre qui recueille une mosaïque de témoignages, y compris ceux de Khmers rouges. L'album mêle photographies d'archives et souvenirs qui obsèdent l'auteur depuis 1977. Ce jeu kaléidoscopique induit un ensemble de contraintes qui donnent au travail de Séra une facture unique.  
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En 1969 les américains bombardent le Cambodge pour protéger le repli de leurs troupes .Le prince Sihanouk ne proteste pas et sera démis de ses fonctions: la république Khmère est proclamée, et entre dans la guerre du Vietnam. Séra évoque les propos de Gérard de Villiers( l'auteur des aventures de SAS est en repérage à Phnom Penh pour Roulette cambodgienne.) De Villiers dénonce la corruption.
Un combat fratricide entre les troupes gouvernementales et les Khmers rouges (communistes) fait de nombreuses victimes. Un autre écrivain écrit (Cambodge, année zéro) mais Séra le trouve trop détaché et peu empathique avec les réfugiés.
"La déstabilisation de tout le Sud-Est asiatique provient de la volonté du Nord-Vietnam de réunir sous son égide, le nord et le sud du Vietnam.Pour remplir cet objectif, les dirigeants communistes du Nord poussent non seulement leur peuple au sacrifice, mais entraînent dans la guerre toute une génération d'hommes et de femmes des pays voisins: Laos et Cambodge. Les Khmers rouges vont exercer leur emprise idéologique sur la population." Les français sont sommés de quitter le pays.L'Amérique également.
Viennent ensuite des propos plus intimes de l'auteur: son père cambodgien et sa mère française. Il a un grand-frère et une petite soeur et une bonne à laquelle il était très attaché.
Le 17 Avril 1975, les khmers rouges prennent Phnom Penh, la capitale. Violence, évacuation de force...des réfugiés à l'ambassade de France sont livrés à leurs bourreaux. le Cambodge devient Kampuchéa. le nom de Pol Pot apparaît actif dans l'évacuation des villes; on parlera de lui plus tard dans L Histoire...
C'est un génocide et une tentative d'annihiler la culture khmère millénaire.
Avoir l'âme au bord des cheveux est une expression khmère qui signifie être mort de peur. C'est ce que ressentait l'auteur qui n'était alors qu'un jeune adolescent mais tous partageaient ce sentiment.
Outre ses souvenirs personnels l'auteur s'est documenté et cite ses sources au cours de la BD.
Je ne sais pas trop d'où me vient une certaine frustration; j'ai été souvent perdue dans ma lecture et j'ai l'impression de ne pas en savoir plus en lisant la BD (genre auquel je ne suis pas très habituée.


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L'âme au bord des cheveux veut dire "Mort de peur", en khmer et là on comprend mieux à quoi se rapporte ce récit bouleversant. C'est celui de Séra, l'auteur et de sa propre la famille, ce jour où, le 17 avril 1975, Phnom Penh est tombée aux mains des Khmers rouges. Avec une mère française et un père cambodgien, il a été élevé avec cette double culture, loin de la politique mais ce jour-là, tout a changé. Il revient sur cette histoire compliquée où les intérêts et les batailles entre les grandes puissances notamment américaines et françaises ont fait beaucoup de dégâts. Même si, lui, évitera l'incorporation dans l'armée khmère, grâce un passeport français qu'il doit autant à la nationalité de sa mère qu'à la chance du dernier espoir, il reste marqué par ce qu'il a vu : cette violence, cette boucherie et cette guerre fratricide entre deux peuples "amis". Cela se ressent dans les dessins et les crayonnés, comme si cette oeuvre lui servait d'exutoire afin exorciser ce traumatisme ! #LÂmeauborddescheveux #NetGalleyFrance
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Après plusieurs BD déjà consacrées au Génocide cambodgien perpétré par les Khmers Rouges, Séra, de son vrai nom Phoussera Ing, né d'un père cambodgien et d'une mère française, revient dans L'âme au bord des cheveux sur la prise de Phnom Penh par les Khmers Rouges en avril 1975.

Le récit est fortement lié à l'histoire personnelle de Séra qui a vécu ces événements qui ont précédé le début des massacres et du génocide. On retrouve l'auteur enfant pris au piège par la victoire des communistes de Pol Pot, et devant se réfugier avec ses parents dans l'enceinte de l'ambassade française.
Ces jours d'extrême tension, qui se termineront dramatiquement pour des centaines d'habitants de la capitale, sont brillamment racontés par un Séra qui livre des planches splendides, au nombre de cases réduit, alliant réalisme et émotion dans chacun de ses dessins.

La première partie de l'album revient sur les éléments qui ont conduit à la prise de pouvoir khmère, et le contexte plus large de la décolonisation de l'ex Indochine.

Brillant, indispensable, superbe, la liste des qualificatifs pouvant être utilisée pour L'âme au bord des cheveux peut être poursuivie à l'infini.
Séra réussit le tour de force de raconter et de mettre les images sur l'horreur et l'indicible, faisant oeuvre de mémoire mais aussi d'histoire tant l'ouvrage est sourcé et rigoureux.
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Séra, 13 ans, jeune représentant franco-cambodgien de la jeunesse dorée de Phnom-Penh, se trouve emporté par la vague révolutionnaire Khmer-rouge qui balaie le pays. C'est cette peur extrême, exprimée par l'expression khmer qui donne son titre au livre que relate l'auteur 40 ans plus tard.

17 avril 1975 : les Khmers rouges envahissent la capitale. Français et Américains quittent le pays en abandonnant leurs supplétifs autochtones.

Avril 1975 : Séra se souvient...

Tels de sublimes constructions « Photoshop », Séra dispose les « calques » de sa mémoire sur les planches d'un carnet de souvenirs. À grand renfort de documentations intégrées dans le fil d'un récit chronologique, de divines cases aux couleurs sages et douces que peuvent zébrer ponctuellement quelques tâches vives, captent le réalisme de photographies d'époque. de nombreuses incrustations appliquées en aplat de couleur vive et unie donnent vie à ce kaléidoscope narratif. Tel un album photo familial, documents d'archives, couvertures de revues d'époque illustrent les évènements traversés. La finesse du dessin semble retranscrire une sorte de fragilité des impressions mémorielles.

Tout en magnifiant les souffrances du peuple Cambodgien, le graphisme porte en lui l'élégance et la pureté de l'art Khmer. Les visages graves des personnages de la bd semblent s'extirper des façades des temples d'Angkor. du chaos nait la beauté.

Aucun dialogue dans ce témoignage historique. Les personnages ne sont que témoins d'une Histoire qui les dépasse. La souffrance décrite n'est pas la leur. C'est la désolation sublimée du Cambodge dans le monstre d'un Kampuchéa proclamé. La vision journalistique de son auteur est déroulée sous les cases en caractères typographiques.

Quel dommage que la couverture de ce recueil soit si insipide au regard de la qualité de son contenu !

Cette bd restera longtemps à ma portée de main.
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Auteur franco-cambodgien, Séra est né au Cambodge d'une mère française et d'un jeune étudiant cambodgien en formation à Paris. Enfant, il a traversé les jours les plus sombres de l'histoire cambodgienne.
Après plusieurs ouvrages consacrés au Cambodge, il fait face à l'indicible et concilie aujourd'hui histoire familiale et histoire avec un grand H.

C'est ainsi qu'Aznavour côtoie Henry Kissinger ou que la rencontre de ses parents sur une plage de Nice contrebalance les tragiques Une de Time.

Alternant souvenirs de famille et savoir encyclopédique, "l'âme au bord des cheveux" entretient la mémoire des victimes des khmers rouges.

Le récit est fouillé, étayé d'une solide documentation; le dessin vient le soutenir, tout à la fois réaliste et d'une grande finesse. Séra passe au delà des cases pour de superbes planches.

L'ensemble fait mouche, éveillant curiosité et émotions. Un album sensible et utile.
Lien : https://nahe-lit.blogspot.co..
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