Je continue de me régaler avec cette série. Ce volume bien équilibré contient huit épisodes variés et riches en émotions.
Dans le premier épisode, Akihiro refuse de prendre sa maman au téléphone, et puis, grâce à une ruse de mamie, il répond. Il pourra la retrouver entre deux trains, soit... douze minutes. Que faire en douze minutes ? Nanri se prend pour Kurosawa et fait répéter la scène des retrouvailles. Cette tête à claques de Tanuma joue la mère...
Dans un autre épisode, nous faisons connaissance avec le terrible et patibulaire M.Jinari, l'homme de service de l'école. Tout le monde le craint même l'instituteur qui est un peu lunaire. M.Jinari a retrouvé d'anciennes copies de nos deux cancres préférés transformées en boulettes...
Dans l'épisode suivant, un typhon menace Saga, les cultures maraîchères et les rizières. C'est l'occasion pour nous de faire plus ample connaissance avec Nanri et sa famille de paysans, très rude mais aussi très généreuse.
Dans un autre épisode, Akihiro s'improvise professeur de maths. Il est très fort en maths grâce à une méthode très personnelle. Il veut aider un copain à échapper à "l'école du boulier". Enfin dans le dernier épisode, Mamie et Akihiro doivent résister à la tentation...
Demain, en vérité je vous le dis les amis, je retourne à la bibli faire le plein de Sacrée mamie" !
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Dans ce volume, un bref épisode dans lequel Akihiro revoit sa maman un court instant...
La sacrée Mamie va travailler deux jours dans une famille riche et "dresse" un petit garçon pourri gâté (et sa mère^^).
J'ai beaucoup aimé le personnage du concierge de l'école qui veille sur les enfants à sa manière.
L'épisode du typhon est une nouvelle occasion de montrer la solidarité et la générosité des villageois. On découvre un peu plus la famille de paysans de Nanri.
Et enfin on apprend comment Akihiro est bon en calcul alors qu'il n'est pas studieux.
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Aussi bon que les précédents
Tout est dit : si vous avez aimé les tomes précédents, ce n°8 vous plaira. On y retrouve certains personnages secondaires déjà rencontrés ("monsieur le voleur", le père de Nanri, la cliente malhonnête qui faisait penser Akihiro à sa mère...) L'instituteur, quant à lui, est de plus en plus caricatural malheureusement, mais un nouveau personnage intéressant apparaît à l'école : l'homme qui assure l'entretien des locaux (l'intendant ?) et qui révèle une personnalité un peu plus complexe : ce personnage devrait plaire aux lecteurs adultes de la série, je pense.
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Série toujours aussi intéressante. Les personnages sont savoureux ainsi que les situations. On ne s'ennuie pas et il n'y a pas de répétitions. On sent le vécu et le ton est vraiment juste. Et la grand-mère finit par baisser la garde dans le dernier épisode !
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Une de mes séries de manga préférées, si ce n'est MA série de manga préférée.
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Quand on manque d'argent, le plus important, c'est d'être riche à l'intérieur.
- Pourquoi ce soupir, Osano ?
- Ce n'est pas un soupir. Je souffle de l'air en repensant à quelque chose.
- C'est "ça" qu'on appelle un soupir, non ?
- Ah oui... peut-être... (p.30)
Mamie avait raison. La vraie pauvreté, ce n'est pas manquer d'argent mais de coeur.
Nous avons supporté cette épreuve suffisamment longtemps ! les dieux fermeront les yeux !
La vraie pauvreté ce n'est pas manquer d'argent, mais de coeur !