Mochi et compagnie, tome 2

J'étais un peu sceptique au début sur ce manga au dessin tout rond avec des petits êtres intra- et extraterrestes mais en le lisant avec ma fille, j'ai beaucoup apprécié leur vie avec Yûka, une collégienne timide qui craint les garçons. Chaque petite aventure qutodienne avec ses amis donnent des moments très drôles surtout avec l'innocent et gourmand Mochi. Dans ce tome, c'est au tour de la mère de Yûka d'être mis dans la confidence. Les réactions d'un adulte sont plus fortes comme c'était prévisible. Mais l'étonnement reste de courte durée. Mochi, al et Jo sont tous différents et leurs discussions donnent des réactions diverses très amusantes.
En tout cas, on aime bien ces petites bêtes (et Yûka et compagnie), on attend la suite !

En toute tendresse, ce second volume de la série Mochi et compagnie ne propose rien de bien neuf mais continue à accumuler des courts chapitres mignons et posés. Les rencontres s'accumulent avec notamment l'arrivée d'un nouveau prétendant pour le coeur de Yûka.
Un gentil petit triangle amoureux se forme et accentue l'aspect shojo de ce manga adapté aux plus jeunes.

Comme toujours, Mochi est une véritable boule de "tendressitude" et accumule aussi bien les gaffes que les actes de gentillesse. Ce petit intraterrestre est vite devenue une icône du kawaii comme en témoigne les dessins de fans exposés à la fin de ce volume. Mais Mochi ne serait rien sans ses compères al et Jo. Leurs personnalités bien définies forment un trio rempli de soutien pour la jeune Yuka.

Toujours à l'aise dans le registre du dessin kawai, Hiromu Shinozuka affine particulièrement son trait sur les personnages humains avec , par exemple, la mère de Yuka. La mignonne bonhommie des créatures s'harmonise parfaitement avec un chara-design gracieux type shojo. C'est classique mais c'est réussi et cela pose une petite ambiance des plus sereines. le scénario demeure sur le ton de la bienveillance. Entre deux gags potaches comme le lancer de Mochi, ce titre baigne dans la gentillesse émanant des personnages. Certes, c'est glucose comme dirait l'autre mais cela fait du bien de lire de temps en temps un petit titre jeunesse qui met en valeur l'altruisme.

De même, bien que Mochi soit avant tout un manga pour les kids, on peut toujours distinguer délicatement en filigrane une réalité un peu plus sérieuse, notamment à travers Yuka et son rapport avec sa famille. La mère lui met un peu de pression dans ses études alors que le père est une figure absente (en raison de son travail) du foyer familial.
Derrière ces simples sketches de bienveillance, ce second volume se révèle ainsi plus profond par moment.
L'intrigue générale avance cependant à pas de fourmis mais la conclusion de ce second tome promet une rencontre décisive avec l'arrivée d'un personnage-clé dans la vie de notre chère petite boule d'intraterrestre.
Encore une fois, cette série est juste idéale pour un jeune lectorat.

Le premier tome a été un coup de coeur monumental. C'était un manga qui me tentait beaucoup et mon seul regret fut de l'avoir commencé bien trop tard à mon goût. Maintenant c'est chose faite et j'ai dévoré le second tome. Et ça confirme parfaitement bien mon coup de coeur. Non vraiment, ce manga est juste incroyable. de plus, je trouve que je le lis au moment où j'en ai le plus besoin. Je n'aurais pas pu choisir meilleur moment pour le lire comme ça. C'est le genre de manga qui fait chaud au coeur, qui remplit mon coeur d'amour, une vraie guimauve et franchement ça fait beaucoup trop de bien ce genre de manga.

J'ai adoré retrouver Yûka, Mochi, al et Joe. On les retrouve donc tous ensemble vivant en parfaite harmonie. Enfin, pas tout à fait à vrai dire. En effet, leur quotidien est devenu bien mouvementée du coup et ça provoque chez Yûka, un stress important, d'autant plus que le comportement de Mochi y est pour beaucoup. Mochi laisse trainer ses affaires, ne fait pas le ménage etc.. al a donc une merveilleuse idée, elle a crée une machine qui leur permet de rentrer dans les rêves de Yûka. Comme ça ils pourront déterminer avec précision ce qui dérange Yûka.

Il y a une grande nouveauté dans ce second tome. Non seulement on découvrir la maman de Yuka. Jusque là on ne voyait que Yûka et ses amis. Mais la grande nouveauté c'est que non seulement on la voit mais désormais elle est au courant pour Mochi, al et Joe. Bien qu'au début elle réagit assez mal puisqu'elle pense avoir des hallucinations mais elle s'y fait et accepte parfaitement les trois petits amis de Yûka mais à la condition qu'elle ne néglige pas l'école. Ce qui va d'ailleurs amener Yûka à avoir un professeur particulier, un professeur qu'elle connait très bien mais elle s'en serait bien passer… J'ai hâte de découvrir la suite

Les dessins sont toujours aussi beaux. Les traits sont fin, c'est épurée ce qui rend vraiment le manga graphiquement parlant d'une beauté incroyable. C'est vraiment bien dessinée et c'est un vrai plaisir de se plonger dans ce manga. Comme je le dis plus haut, c'est un manga absolument beaucoup trop mignon. C'est un manga jeunesse, certes mais sincèrement lire du jeunesse de temps en temps ça fait du bien non?
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Dans ce deuxième tome l'humour est au rendez-vous.

Nous allons faire connaissance avec un nouveau personnage et un petit oiseau qui aime un peu traumatisé Mochi (beaucoup trop mignons ces deux-là) !

Mochi, Joe et al sont toujours aussi mignons et tendres avec Yûka (surtout Joe qui l'aime un peu beaucoup, les petites pensées qu'il a pour elle sont trop cuuuute -> comme par exemple avec les fleurs).

L'histoire reste originale et avance à un bon rythme. Les dessins eux restent aérés et jolis, les situations sont bien représentées.

Et cette fin qui nous laisse comme ça avec Mochi .. urff !

Je comprends tout à fait que ce manga a été élu meilleur manga jeunesse au Japon. C'est encore un gros coup de coeur et j'ai beaucoup trop hâte de poursuivre l'aventure !

La bande d'amis a pris ses aises avec Yûka. Elle est toujours là pour eux avec le sourire et la bonne humeur. Mochi prend trop ces aises et oublie de faire le nécessaire. Leur amie n'ose rien dire mais cela l'épuise. al a crée une invention pour entrer dans les rêves des autres. Qu'elle ne sera pas leur surprise quand ils vont découvrir ce que leur hébergeuse pense à un individu en particulier. Il faut agir et vite pour changer la donne. Rien de tel pour créer toute une série de rebondissements plus amusants les uns des autres. On s'attache à ces créatures imaginaires assez mignonnes et toujours bienveillantes. Dans ce tome, un nouveau personnage fait son apparition avec la mère de Yûka. On l'avait déjà vu auparavant rapidement car elle est très sévère avec sa fille. Seule sa réussite scolaire est importante. Pour cela, elle l'a pousse toujours à bout. Il faut rappeler que dans la culture japonaise la réussite commence par l'école pour espérer un bon travail pour ensuite une bonne situation. le travail il n'y a que ça de vraie. Hiromu Shinozuka le montre aussi à travers son héroïne car elle passe beaucoup de temps à l'école, à étudier, à faire le ménage, la cuisine, la couture... Pour son jeune âge, elle possède de très nombreuses compétences. On lui en demande toujours plus. Elle sait qu'elle devra toujours se surpasser dans sa vie jusqu'à épuisement. Son père n'est jamais présent pour cause de raisons professionnelles. Sa mère pourra t'elle jouer un autre rôle? Les compagnons pourront-ils donner une nouvelle impulsion à l'équilibre familiale? Bien que cela soit une série jeunesse, le mangaka aborde un aspect plus terre à terre de la vie réelle qui n'est pas forcément joyeuse. le bonheur est possible quand on s'est bien s'entouré. La suite donne envie d'être découverte. Une bulle délicate de bonté qui fait du bien au moral qu'importe son âge.
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