Le bonheur qui nous arrive, on le croit éternel et puis on s’aperçoit un jour qu’il n’est rien d’autre que le silence passager du malheur.
La politique est supposée être le deuxième plus vieux métier du monde.
Les discours ne servent à rien. Les Arabes raffolent des discours, et nous voyons où ils les ont menés.
Un homme a surtout le choix. Laisse faire la vie. Elle sait mieux que nous ce qui est juste ou non.
On n’est beau que dans ce que l’on éveille chez l’autre. On n’est vivant, vraiment, que parce que celui qui vous aime vous rend vivant. Une fois l’amour éteint, que reste-t-il ? Une pièce sombre, quelques meubles, un désert.
On ne refait pas l’Histoire.
Souffrir ne me fait pas peur. En revanche, souffrir pour une cause, une vraie, parce que l’autre vous manque, parce qu’on a mal, tellement on l’aime ; parce que plus il est présent, plus on se sent frustré, parce qu’on le désire plus, encore et toujours plus. Souffrir parce que l’autre est dans la détresse et que l’on n’arrive pas à soulager son chagrin ; souffrir tellement on est heureux. Oui. Cent fois oui. Mais souffrir parce que quelqu’un vous envoie balader dès que quelque chose l’a agacé. Non. Mille fois non.
L’Histoire ne retient généralement de la vie des grands hommes et des peuples que les heures de gloire ou d’épreuves. Elle omet les petits événements et les circonstances obscures dans lesquelles ont mûri les décisions héroïques ou bien celles qui ont miné le courage et conduit à des attitudes déplorables.
Quand un homme s’ennuie, il a besoin d’être stimulé. Mais, quand une femme s’ennuie, elle a besoin d’être retenue.
L’écriture autorise toutes les libertés et les impudeurs.