Le meurtre

Le meurtre est l'une des quatres nouvelles de ce recueil mettant en avant, je cite de mémoire la quatrième de couverture, des femmes fortes dans un monde dur et âpre dominé par les hommes. John Steinbeck nous décrit le monde rural de la Californie de l'entre-deux guerres, avec tout ce qu'il a de plus noir et difficile, le dénominateur commun dans ce recueil étant la Femme dans ce qu'elle a de plus venimeux, de plus influent, de plus dangereux.

Moi qui aime le format de la nouvelle, j'avoue ne pas avoir été transportée par ce recueil, ne comprenant pas où l'auteur voulait en venir. Oserais-je même dire que je me suis ennuyée à la lecture de la dernière nouvelle? Oui, j'ose.

Le talent de John Steinbeck n'est certainement plus à démontrer mais pour une première pour moi, ce fut une grosse déception. Peut-être que le roman lui convient mieux? Je tenterai l'expérience pour me faire une idée plus précise.


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J'ai lu ce recueil il y a quelques mois et force est de constater que je ne m'en souviens pas beaucoup. Vaguement, quelques histoires basées sur des femmes. Ce dont je me souviens par contre, c'est du grand ennui que ces histoires ont provoqué en moi. Les conclusions étaient vides de sens, et je ne voyais pas bien où j'étais sensée en venir. Je ne vois pas le but de ces histoires et aucune ne m'a divertie.

Ce court livre rassemble 4 nouvelles (le harnais, le meurtre, le serpent et la fuite) issues du recueil "La grande vallée".
Il constitue pour moi une "entrée" dans l'univers de Steinbeck car c'est le 1er livre que je lis de cet auteur.
J'en retiens une grande qualité de narration avec un savoir-faire incontestable pour maintenir tension, suspens et tenir le lecteur en haleine.
Toutefois, j'ai été un peu déçue car -malgré cette grande qualité de narration- j'ai trouvé les chutes de ces 4 nouvelles incomplètes, comme s'il manquait le fin mot de l'histoire.
Je ne vais pas en rester là avec Steinbeck car "Les naufragés de l'autocar" m'attendent...

J'ai commencé cette lecture avec enthousiasme et j'ai vite déchanté.

Le meurtre est un recueil de quatre nouvelles de John Steinbeck, se voulant quatre portraits de femmes.

Il y a effectivement quatre femmes dans ces nouvelles, mais dont le personnage n'est finalement jamais au premier plan. Je ne dit pas cela par considération féministe, seulement par absence de cohérence entre la quatrième de couverture et le contenu de ce livre.

Si ce recueil est assez apprécié, il n'a pas trouvé son public auprès de moi. Je n'ai trouvé de sens à aucune des quatre nouvelles, je suis peut-être trop terre à terre, mais même en cherchant, je n'ai trouvé aucune métaphore, aucune morale à ces petites histoires très spéciales. Un livre qui ne m'a pas du tout envouté dès la première nouvelle. J'ai pourtant laissé une chance à chacune pour ne pas louper LA nouvelle qui me ferait changer d'avis... et je ne l'ai pas trouvée.

On reste sur une déception de mon point de vue...