Le silence presque total de la critique, quant aux dessins de Franz Kafka et à l'intérêt qu'il porte, (dans son journal), aux arts visuels, théâtre, cinéma, peinture, est à l'origine de ce travail.
Sa volonté testamentaire de vouer toute son oeuvre après sa mort à la destruction, autant que les difficultés projetées sur son héritage par un vœu aussi radical, expliquent vraisemblablement que cet aspect de sa création soit demeuré dans l'om...
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