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Une touche de bleu tome 1 sur 5
EAN : 9782344044100
192 pages
Glénat Manga (03/02/2021)
4.08/5   84 notes
Résumé :
Ruriko a un naevus d’Ota, une tache de naissance bleutée sur le visage. De nature enjouée, elle sait très bien que cette particularité visuelle ne la définit pas, mais lorsqu’on est lycéenne, il est parfois difficile d’accepter son “défaut” physique… Aussi s’en prend-elle violemment à son professeur lorsqu’elle croit qu’il se moque de son apparence. Mais ce dernier lui avoue qu’il souffre de prosopagnosie, un trouble de la reconnaissance des visages rendant impossib... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Une touche de bleu m'a attiré de par sa magnifique couverture et son résumé des plus alléchants. Il me promettait de l'émotion. Ni une ni deux, je l'ai emprunté à la médiathèque et je ne regrette pas du tout puisque c'est un coup de coeur !

Ruriko entre en première année au lycée. Cette dernière, depuis sa naissance, a une tache bleutée assez conséquente au niveau de son oeil droit, appelé nævus d'Ota. Cette jeune fille a appris à vivre avec, soutenue par ses proches qui ne la traite pas différemment. Elle fait comme si les remarques, les gestes, les moqueries des gens ne comptaient pas, mais c'est bien tout le contraire, cela la fait souffrir et de ce fait, elle intériorise et a du mal à admettre que ça l'atteint. Tout commence à changer lorsqu'elle fait la rencontre de son prof principal en sciences, Kan. Ce dernier a lui aussi un secret qui les fera se rapprocher. Il y a bien une raison si ce dernier prend des notes sur le "physique" des personnes (professeurs et élèves) : il souffre de prosopagnosie. Tous les visages se ressemblent à ses yeux, ce qui est un handicap et ce n'est pas la tache bleutée qui lui fait voir Ruriko mais son aura bleue comme il aime à l'appeler.

J'ai trouvé ce premier tome très prometteur, prenant, bouleversant. L'histoire est terriblement touchante. Les deux personnages principaux me plaisent beaucoup. Kan et Ruriko étaient fait pour se rencontrer. Ils sont si semblables et si différents à la fois. Grâce à Kan, Ruriko se dévoile un peu plus, il y a un mal être profond chez elle caché derrière sa joie de vivre et son sourire. C'est également le cas pour Kan. Tous deux souffrent alors ils se comprennent, se soutiennent. J'ai hâte de voir l'évolution de leur relation.

On repart sur une relation professeur/élève mais alors là, je ne me suis absolument pas focalisée sur la différence d'âge qui est de quelques années, Kan est un tout jeune professeur mais après, c'est peut-être parce que la romance n'est pas du tout mise en place. Est-ce qu'il y en aura une d'ailleurs ? Peut-être pas. Mais en tout cas, rien ne me choque.

Ce manga est si joli, a su faire vibrer mon coeur. Les sujets traités sont actuels, font réfléchir sur la société, sur ses codes, sur le handicap, sur le harcèlement aussi. Deux types de handicap sont mis en avant : le handicap dit "physique" et le handicap dit "invisible". Ici, ce sont le nævus d'Ota et la prosopagnosie.

Je trouve les dessins magnifiques, rien à redire ! le chara design est sublime et les émotions parfaitement retranscrites ! Ils sont plein de fraîcheur, modernes, apportent de la douceur. C'est un ravissement pour les yeux.

En bref, ce fut un gros coup de coeur. L'histoire est belle et originale de par son sujet, les personnages sont attachants, les dessins sont délicats et somptueux. Je suis irrémédiablement sous le charme de ce manga.
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Je profite de la sortie du tome 2 ce jour, pour vous parler de ce nouveau seinen proposé au catalogue de Glénat qui a malheureusement eu l'idée plus que douteuse d'en changer la classification japonaise pour l'inclure dans sa collection "Shojo +". Je trouve ça sexiste de considérer que parce qu'il y a de la romance dans un titre, il faut le ranger dans la catégorie des oeuvres plutôt destinées à un public féminin... Mais passons, nous allons plutôt parler de l'oeuvre en elle-même.

Le titre, toujours en cours à ce jour au Japon, compte 3 tomes et est signé Nozomi Suzuki, dont c'est la première oeuvre. Il est publié au Japon dans la magazine seinen Gekkan Action. Pour autant, j'ai trouvé que l'autrice faisait preuve d'une rare maîtrise aussi bien dans le trait que dans la narration. Tout est extrêmement fluide et bien fait, même si c'est un récit fort classique dans le fond et la forme.

Loin de révolutionner le genre, la mangaka propose une tranche de vie se déroulant dans un lycée japonais où l'on sent vite poindre de tendres sentiments entre une lycéenne et son professeur. L'originalité vient de la caractérisation des personnages, Ruriko est dotée depuis sa naissance d'une grande tache bleue qui lui mange une partie du visage, tandis que Monsieur Kanda, lui, souffre d'une maladie/un syndrome l'empêchant de distinguer les visages des gens, qui pour lui se ressemblent tous... de là va naître une très belle histoire sur la différence.

J'ai d'emblée été séduite par l'héroïne. Loin de se laisser accabler par sa différence, elle a pris le parti de vivre avec, quitte à forcer sans cesse le trait pour ne pas gêner les autres. Elle fait preuve de beaucoup de maturité et de caractère. Elle m'a souvent fait de la peine et en même temps je l'ai admirée. L'autrice met en scène des réactions très juste de la part de ceux qui sont confrontés à elle et à sa particularité. Oui, c'est normal d'être surpris. Oui, on peut avoir une réaction étrange la première fois. Je ne pense pas qu'il faille le nier, le cacher ou s'attendre à autre chose, c'est humain. Là où c'est intéressant, c'est de voir comment les autres vont ensuite se comporter : rester moqueur, rester gêné, rester à l'écart, ou juste l'accepter comme n'importe qui d'autre. Pour le moment, la mangaka ne développe pas encore trop ça mais j'aimerais bien.

Face à elle, Monsieur Kanda souffre d'un trouble que je ne connaissais absolument pas, la prosopagnosie qui l'empêche de différencier les visages les uns des autres, et dans un métier comme le sien où aussi bien ses élèves (vive l'uniforme) que ses collègues s'habillent pareil, dur dur de différencier les gens. Mais là aussi, nous sommes face à un héros qui ne souhaite pas être pris en pitié et qui va chercher des astuces pour vivre normalement, quitte à se faire aider par une élève ;)

Une belle dynamique s'installe rapidement, Ruriko aidant régulièrement son prof en le sortant de l'embarras. L'autrice a accès son histoire sur des personnages très positifs malgré ce qu'ils vivent ou ont vécu. Elle ne culpabilise pas du tout ceux qui réagissent mal à leur contact. En revanche, elle montre bien les effets dévastateurs que cela peut avoir sur eux. J'ai d'ailleurs vraiment apprécié qu'elle montre un peu la vie de famille de Ruriko où ses parents en voulant faire comme si de rien n'était sont parfois un peu maladroits. J'ai également été marquée par le passage où elle nous présente l'école pour décrocheurs où a été Ruriko, ça m'a rappelé un peu Cat Street de Yoko Kamio, et ça m'a serré le coeur.

Cependant ce premier tome est fort classique dans la mise en scène. Il y a d'abord la présentation et la rencontre des personnages d'une façon un peu déjà vue et revue. On les voit ensuite progressivement faire connaissance sous le regard parfois jaloux des autres, élèves et professeurs, mais c'est assez lisse. L'aspérité arrive seulement vraiment à la moitié du tome quand on découvre le passé de l'héroïne et qu'elle commence à montrer des sentiments pour son professeurs dont elle se sent de plus en plus proche. On a déjà vu des histoires entre prof et élève, j'en ai aimé certaines et d'autres m'ont dérangée. Ici, je suis plutôt dans la première catégorie. J'aime parce que je suis touchée par ce qui les rapproche, je sens beaucoup de douceur entre eux, je pense qu'ils peuvent se faire beaucoup de bien l'un à l'autre. Après j'aurais peut-être aimé qu'on reste plus sur une relation platonique plutôt que de tomber dans une classique romance, mais peut-être que j'aurais une bonne surprise par la suite.

Du côté des dessins, c'est une belle surprise pour une première oeuvre. Certes il y a quelques cases perfectibles, je pense notamment à celles où l'héroïne fait sport où on sent un peu de maladresse, mais dans l'ensemble c'est très réussi. La mangaka a vraiment donné un joli design aux personnages. J'aime en particulier la meilleure amie de l'héroïne qui a un petit look qui me rappelle celui des meilleurs amies des héroïnes de Cat Street et Moving Forward, peut-être des inspirations pour l'autrice ? le découpage est clair et bien rythmé. Franchement ça se lit très très bien.

Même si Glénat m'a un peu braquée avec le changement d'étiquette de la série, je ressors conquise de ma lecture. C'est un joli classique revisité : une romance prof-élève, mais avec un angle de vue qui me plaît et me touche : des héros avec une forme de handicap, visible ou non. L'autrice propose un vrai voyage vers l'acceptation des différences.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Ruriko lycéenne en première a une tache de naissance bleue sur le visage, elle a plus ou moins, au fil du temps, appris à vivre avec. Il y a eu bien sûr des haut et des bas, y compris dans sa scolarité, mais elle a bien avancé. Son parti pris ? Quand un regard, une réflexion entendue par hasard sur son naevus la déstabilise ou la peine, faire semblant que tout va bien, voire même en rire.
Les choses changent quand elle découvre le cahier de note du nouveau professeur, arrivé en début d'année, qui prend des notes sur tous les élèves sauf elle. Elle prend le taureau par les cornes et lui demande des explications, pensant que sa tache le dégoute tellement qu'il n'arrive même pas à la noter dans son carnet. On apprend que lui aussi a une maladie de naissance, il ne reconnait pas les visages, d'où les notes. La tache bleue de Ruriko lui apparait plutôt comme une belle aura. Débute ainsi une relation prof / élève qui mettra les sentiments et les certitudes de Ruriko à rude épreuve.
Je lis rarement des shojo, trop d'expériences beaucoup trop sucrées et sirupeuses, aux dessins répétitifs et sans grand intérêt. C'est donc un plaisir quand j'en trouve un qui me parle à la fois dans les dessins, dans l'histoire et dans les thèmes abordés.
Les dessins sont assez classiques, mais le travail sur les expressions du visage de Ruriko est excellent. Ça tombe bien c'est le point de départ et un des enjeux son visage.
L'histoire est pour le moment classique aussi, mais c'est un tome d'introduction et il fait bien le job. Les personnages et les personnalités se dessinent et tout fait sens. Bon on peut reconnaitre une petite facilité scénaristique, mais comme elle sert à affiner la caractérisation du professeur, c'est excusable. L'introduction d'un nouveau personnage à la fin du tome donne une idée de l'orientation possible pour la suite (quadrilatère amoureux ?) et je dis pourquoi pas si c'est bien fait.
Pour finir j'aime beaucoup la façon de traiter tout en douceur l'un des thèmes principaux qui est l'acceptation de soi, comment vivre au quotidien le regard des autres et surmonter un handicap non visible. L'autre étant la naissance des sentiments bien sûr.
Un très bon premier tome pour moi donc et je suis partant pour la suite.
Merci à Babelio et à Glenat de m'avoir permis de découvrir ce titre dans le cadre de la masse critique graphique.

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Moi qui de base n'est pas vraiment fan des shojos, je dois avouer que ces derniers temps je me laisse de plus en plus tenter par ce genre de mangas. Après, je reste exigeante et je ne veux pas tomber dans une histoire d'amour hyper cliché ou je ne sais quoi. Disons que j'essaye de choisir soigneusement les titres qui ont le potentiel pour me plaire. Et clairement Une touche de bleu frôle le coup de coeur! Ce premier tome m'a littéralement conquise et j'ai hâte de me précipiter pour lire la suite! C'est une histoire que je trouve particulièrement belle et surtout remplie d'émotions.

On va suivre le personnage de Ruriko, qui vient d'arriver en première. Ruriko a une particularité sur le visage, en effet elle a un naevus d'Ota, c'est à dire une tâche bleue autour de son oeil. Elle a toujours fait comme si cette tâche n'existait pas, comme si cette tâche ne la dérangeait pas. Un jour, alors qu'un nouveau professeur arrive dans le lycée, elle finit par lire les notes qu'il écrit sur tous les élèves dans un carnet. Il note précisément des notes détaillées, des détails sur chaque élève. Sauf que lorsqu'elle découvre qu'il n'a strictement rien écrit sur elle, ça la touche énormément. Elle va donc le confronter pour lui demander pourquoi. Et c'est à ce moment là que Mr Kanda lui explique alors le secret qu'il garde pour lui.

Ce qui m'a le plus plu dans cette histoire c'est toute l'émotion qui se dégage. On parle de sujets assez for,t de différences, du regard des autres, de l'acceptation de soi mais aussi du handicap qui soit visible ou invisible. etc. Rien que pour ça, ce manga mérite d'être lu. J'aime beaucoup aimé le personnage de Ruriko. Elle agit comme si elle s'en fichait de sa particularité, comme si ça ne l'atteignait pas le moins du monde alors qu'en vérité c'est tout le contraire. Elle se donne une contenance alors que sa tâche la complexe tellement. Elle est si touchante. le personnage de Mr Kanda est incroyable lui aussi et la particularité qu'il a ne doit vraiment pas être facile à vivre. Et il va découvrir un soutien avec Ruriko. Il a pu lui avouer son secret et depuis, on voit qu'il est un peu soulagé d'avoir pu le partager avec quelqu'un. Il n'hésite pas à demander l'aide de Ruriko. Ces deux là sont extrêmement touchants, on sent qu'ils ont tous les deux énormément souffert durant leur passé. Impossible de ne pas s'attacher à ces personnages ou encore à l'histoire.

L'intrigue est profonde et transmet un message qu'il est important de souligner. Un handicap peut être visible mais aussi invisible. Et c'est dur de se faire comprendre par les autres lorsque ce n'est pas visible à l'oeil. Je suis moi même atteinte d'handicap invisible et croyez moi c'est difficile de se faire comprendre des autres. Tant que ça ne se voit pas, les gens pensent que tout va parfaitement bien pour vous. Sauf que ce n'est pas le cas. On a du mal à être vraiment compris puisque ça ne se voit pas ce n'est pas possible pour les autres. Ne jugez pas quelqu'un sans connaître vraiment la personne, c'est blessant de se sentir incompris des autres. Pour en revenir à ce manga, ce premier tome a vraiment frôlé le coup de coeur et j'ai vraiment hâte de me plonger dans la suite. Surtout quand je vois comment ce premier tome se termine.. On a qu'une envie se jeter sur la suite!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
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J'ai toujours aimé les histoires qui mettent en lumière des personnages un peu différents, que ce soit parce qu'ils possèdent une personnalité qui sort de l'ordinaire ou une caractéristique physique particulière. Ce manga avec pour une héroïne une jeune fille ayant une tâche de naissance bleue sur le visage m'a donc intriguée.

Pour être honnête, je n'ai pas été emballée par ce premier tome. Pour commencer, j'ai trouvé que les dessins manquaient de modernité. Pour un manga sorti en 2021, il possède un style un peu vieillot à mon goût. Par ailleurs, la mangaka choisit de faire de nombreux gros-plans sur les visages de ses personnages. Étant donné la particularité de ses deux personnages principaux (une tâche de naissance faciale pour Ruriko et la prosopagnosie de Kanda), cela peut sembler légitime, mais utilisé à outrance, cela devient lassant.

Pour ce qui est de l'intrigue, j'ai été déçue par la façon dont elle est menée. Pourquoi révéler dès le début la particularité de Kanada ?! Il aurait été tellement plus intéressant de progressivement nous faire deviner sa "maladie". Ensuite, je n'aime pas la direction que prend la relation entre Ruriko et Kanada. Une intrigue amoureuse entre un professeur (aussi jeune et séduisant soit-il) et une élève ? Très peu pour moi ! Ce n'est pas mon fantasme et cela me pose question par rapport au lectorat de ce manga. Reste à voir si la mangaka va vraiment chercher à installer des sentiments amoureux entre eux...
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critiques presse (3)
BDZoom
25 février 2021
« Une touche de bleu » est un manga extrêmement réaliste qui nous amène, avec sensibilité, à nous intéresser à des personnages hors normes : un sujet complexe magistralement mis en scène de la manière la plus simple qui soit. Une bonne méthode pour dédramatiser ces troubles que l’on ne comprend pas forcément, car assez rare.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Sceneario
25 février 2021

C’est une bien jolie histoire que nous offre Nozomi Suzuki. Il s’agit d’un shojo très prometteur qu’il faut surveiller de près. Et vous n’aurez pas à attendre trop longtemps pour lire la suite, elle paraitra le 17 mars !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BoDoi
05 février 2021
Doté d’un trait fin plutôt charmant, le manga n’évite pas quelques poses caricaturales et un abus de gros plans. Mais c’est aussi le genre qui veut ça, et on ne peut pas dire que Nozomi Suzuki
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Quand les gens remarquent ma tache, ils détournent tout de suite le regard... Ils font comme s'ils n'avaient rien vu, rien remarqué. Mais c'est faux. Non seulement ils l'ont vue, mais ils se sentent mal à l'aise. Ils se demandent quelle attitude adopter vis-à-vis de moi.
Cela dit, celle qui ment le plus, c'est moi. Je déteste toujours autant les photos. Moi, je passe mon temps à me mentir à moi-même, à faire comme si mon visage se limitait à mon profil gauche !
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- Si tu repenses au passé c'est parce que la blessure est encore vive.
- Qu'elle blessure ?
- Celle de ton coeur !
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Sur mon visage... j'ai une sorte de tache de naissance bleue... qu'on appelle un "Naevus d'ota"...
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