Ah mais oui mais non, je ne suis pas d'accord moi !!!
C'est quoi cet épisode de malade qui nous fait tourner dingue ?
Nous retrouvons donc Eddie qui veut tout faire pour que Jez puisse sortir de ce commissariat alors qu'il n'a rien fait. Elle se tourne vers Mariam pour avoir de l'aide, qu'elle aura sous certaines conditions. Ces conditions pourraient se retourner contre elle, Eddie le sait mais elle est pourtant prête à tout pour que l'homme qu'elle aime soit libéré.
Si l'épisode précédent était pour moi le plus intense, celui-ci est mon pire cauchemar, et pas que le mien d'ailleurs, celui d'Eddie aussi. de plus, le fait de savoir que nous sommes presque à la fin me donne déjà un sentiment de manque, eh oui j'aime cette série moi ☺
La pauvre Eddie qui pense bien faire, va se retrouver dans une situation plus que périlleuse où elle risque de perdre tellement que j'en ai eu le souffle coupé au moment de cette fameuse phrase « Suite au prochain épisode » …
Mariam est une femme manipulatrice, sans coeur, elle sait ce qu'elle veut et met tout en oeuvre pour obtenir satisfaction. Ce n'est pas pour rien que Jez ne veut pas qu'Eddie se retrouve avec elle, il la connaît, il sait de quoi elle est capable.
Une seule chose à dire, viiiiiiiiiiiiite je veux connaître le dénouement de cette embrouille, je veux que Jez en fasse voir de toutes les couleurs à Mariam, je veux qu'Eddie se libère enfin de ses secrets, je veux … c'est déjà pas mal non ?
Comment ca vous n'avez pas encore lu un seul épisode d'Attractive bastard ! Sérieusement vous attendez quoi ? En plus avec le premier épisode vous ne risquez pas grand chose, si ce n'est de devenir accro comme moi ☺
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À l'ouverture de ce tome, tous les pions sont bien placés pour attendre avec impatience le dénouement.
Mais, on sent qu'il va encore falloir un peu s'accrocher et d'abord vérifier si les personnages sont bien cernés par la situation dans laquelle il se sont fourrés.
Et en effet, ce tome se conclu sur une note où nos héros sont acculés jusqu'au cou !
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Ce monde n’est vraiment pas celui dont je rêve !
D’un geste d’humeur proche de la rage, je jette mon portable toujours muet contre le mur. L’appareil finit par terre en trois morceaux. Saoule de larmes, je me réfugie dans ma chambre en enfouissant mon visage dans l’oreiller pour pouvoir y hurler toute la douleur de mon sentiment d’abandon.
C’est comme ça que les enfants s’endorment parfois, en pleine crise de larmes, au beau milieu de leur tristesse.
Je suis à peine maquillée. Je ne suis pas censée plaire, je suis censée être éplorée et en état de détresse. Stanley n’a pas besoin de fanfreluches pour se mettre dans tous ses états. Il n’a jamais connu d’Eddie aguicheuse et provocatrice – tout du moins, je n’ai jamais rien fait pour susciter son désir –, et ça n’est justement pas au moment de le coincer que je dois me montrer à ce point différente de celle qu’il connaît.
Il n’est pas laid, il est même plutôt séduisant pour un homme de son âge. Je l’ai déjà dit, il a un certain succès auprès des femmes. Mais ce qui lui fait vraiment plaisir, c’est séduire celles qui ne veulent pas de lui. C’est un défi à la mesure de son arrogance, de l’image qu’il a de lui, de son idée de toute-puissance. Quelque part au fond de moi, je ne peux m’empêcher de penser que son amitié avec mon père pourrait ne pas être étrangère à ce qu’il m’a fait vivre, que je suis une sorte de terre à conquérir, à remporter et à envahir.
Il m’a tellement donné d’importance cette première fois. Il disait être fier de mon talent, de mon originalité, quand ma famille n’y voyait que des caprices de gosse paresseuse. Il était tellement content qu’on puisse envisager des projets ensemble qu’il a fallu trinquer, n’est-ce pas ? Fêter ça… Pour finir, quand il m’a avoué qu’il me trouvait belle, que j’étais le bijou de ses jours et de ses rêves, je n’ai pas su dire non…
Si je commence à penser que tout le monde essaie de bouffer tout le monde – ce qui me semble malgré tout être une loi vérifiable dans le milieu de Jez et de Maryam –, je ne tenterai rien et je resterai là à larmoyer sur le sort de Jez, sur le mien et sur celui de notre histoire d’amour avortée.