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La maison du soleil tome 1 sur 13
EAN : 9782811630294
200 pages
Pika Edition (18/01/2017)
3.83/5   89 notes
Résumé :
Petite, Mao passait ses journées dans la famille d’Hiro, son voisin d’en face. La vie y était joyeuse et insouciante et comblait le vide qui était en elle.
Plusieurs années ont passé… Le père de Mao s’est remarié et la jeune fille se sent étrangère sous son propre toit. Hiro, lui, vit seul dans la maison familiale depuis le décès de ses parents. Il propose alors à Mao d’emménager chez lui…
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Depuis peu, je me lance dans les Shojo, car je m'aperçois que le genre a un peu évolué et que l'on trouve des choses plus intéressantes qu'auparavant. (À moins que ce ne soit moi qui ai évolué et qui choisisse mieux mes lectures ? )

J'en ai beaucoup entendu parler sur internet, et les gens en disaient beaucoup de bien, ce qui a fini par me convaincre (oui je suis facilement influençable.)

Nous suivons la jeune Mao, une adolescente de 17 ans qui lorsqu'elle était plus jeune passait son temps dans la maison voisine dans laquelle habitait Hiro, un garçon un peu plus âgé qu'elle. Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais comme souvent dans les manga, il faut un drame. Et en guise de drame, les parents de Mao vont se séparer et peu de temps après les parents de Hiro vont subitement trouver la mort. (oui ce manga ne commence pas très joyeusement^^)

Ce qui nous conduit donc quelques années plus tard à une adolescente mal dans sa peau et un jeune adulte qui travaille d'arrache-pied pour conserver la maison de ses défunts parents. Mais les choses vont empirer pour Mao lorsque son père va se remarier avec une nouvelle femme qui a déjà un enfant, et très vite, la jeune fille ne va plus se sentir chez elle.

S'il y a quelque chose qui ressort vraiment de ce premier tome, c'est le malaise qu'éprouve Mao. Lorsqu'elle se trouve chez elle, on voit bien que son père et sa nouvelle belle-mère ne la calculent même pas ! On a le sentiment que Mao encombre plus qu'autre chose. J'ai été vraiment peiné pour elle, car au fond, elle ne demande pas grand chose, juste un peu d'amour de la part de son père. Hélas ce dernier est visiblement trop absorbé par sa nouvelle famille...

Et c'est ce qui va conduire Mao à aller vivre chez Hiro. le jeune homme va lui proposer cela d'abord pour une nuit, puis très vite, c'est même le père de Mao qui va demander à Hiro de garder sa fille chez lui, allant même jusqu'à le payer pour ça. Personnellement j'ai trouvé ce passage un peu cruel car on voit bien que le père de Mao se fiche royalement de sa fille, c'est vraiment hallucinant.

À partir de ce moment le manga se lance vraiment, et l'on va se concentrer sur la relation entre Mao et Hiro. Une relation fraternelle mais que j'ai trouvé un brin malsaine malgré tout. La barrière entre amour fraternel et amour est assez mince, et l'on voit bien que l'un comme l'autre ne sait pas trop comment s'y prendre, ne serait-ce que pour savoir ce qu'il ressent vraiment. Une belle complicité va s'installer entre eux, même s'ils doivent apprendre à vivre ensemble et ont des caractères différents, cela apportera son lot de situations amusantes ou très touchante, voire les deux en même temps.

Ce premier tome est vraiment d'une bonne qualité, les dessins n'ont rien d'exceptionnels, ils sont plutôt classiques mais ils se démarquent par une certaine chaleur mis en avant par des effets de flous vraiment bien fichus. La narration est fluide, la découpe des cases est vive et à aucun moment on ne s'arrête dans la lecture pour comprendre telle ou telle planche.

Le seul bémol, vient de l'édition de Pika. Autant le format est parfait, la couverture est sublime, elle retranscrit parfaitement le coté chaleureux du titre, autant j'ai relevé quelques coquilles vraiment désagréables. de plus, ce n'est pas la première fois que cela arrive chez Pika, j'en ai eu une énorme sur un tome de Seven Deadly Sins récemment. Je leur ai signalé, j'espère qu'ils feront le nécessaire, car ils éditent de bons manga et ce serait dommage de se louper dans la traduction ou la relecture.

Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé ce premier tome de "La maison du soleil", qui est un manga chaleureux, positif et très détendant. Un vrai Shojo tranche de vie, pile ce que je cherchais.
Lien : http://xander22.skyrock.com/..
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Taiyou no Ie est un titre qui m'a pas mal interpellée, sous plusieurs aspects. Tout d'abord, le titre : simple à lire et à comprendre (taiyou = soleil ; Ie = maison), et poétique. Puis les graphismes. Je suis tombée amoureuse des couvertures, j'aime beaucoup la douceur qui se dégage des illustrations couleurs et des traits de crayons. Il y a quelques imperfections parfois, mais ça donne du charme au manga. Les trames son bien posées, l'auteure n'en abuse pas et ne surcharge pas ses planches de détails trop fantaisistes. Et enfin, le thème du manga. Une histoire bien difficile à résumer (pour preuve mon résumé bien maladroit...), un ressenti sur lequel on n'arrive pas à mettre des mots... Ce manga n'est pas un simple shôjo, ce n'est pas juste un shojo slice of life (tranche de vie). C'est une véritable réflexion sur la famille.

L'histoire
Le manga se compose de treize tomes, et je ne les ai pas vu passer. L'histoire évolue très bien, l'auteure a su lui donner un rythme ni trop lent ni trop rapide : juste ce qu'il faut. Et surtout, elle y a insufflé tout un panel d'émotions. Je suis passée du rire aux larmes, j'ai eu envie de frapper, j'ai poussé des cris, j'ai eu les yeux ronds, j'ai fait des bonds... Pas une seule fois je ne me suis ennuyée. L'auteure sait où elle va, elle sait ce qu'elle veut nous transmettre, et elle le fait très bien. Et surtout : adieu les clichés habituels des shôjos ! Elle en joue, même, et ils sont souvent personnifiés par ce cher Daiki !
Ce que j'aime surtout, c'est que l'auteure a su concilier la romance avec l'aspect familial. C'est un pari un peu risqué, il est difficile de ne pas tomber dans la facilité au niveau de la romance lorsque deux personnages vivent ensemble dans un shôjo. Ici, tout paraît très naturel, rien n'est laissé au hasard, rien n'est superficiel.

Les personnages
Mao est le personnage principal de ce récit. Sa situation familiale est compliquée, mais surtout très fragile. Elle est assez introvertie, elle ne sait pas comment s'exprimer auprès de ses proches et trouve un échappatoire à travers un Keitai Shosetsu, un roman qu'elle écrit via son téléphone. Elle y intègre tout ce qu'elle aimerait transmettre aux autres, toutes ses peurs mais aussi ses joies. Son arrivée dans la famille de Hiro par exemple. Elle va découvrir la notion de famille à ses côtés (au point d'exulter le fait d'avoir un couvre-feu) et son personnage va évoluer tout au long du récit. Elle va s'affirmer et prendre confiance en elle, elle va redoubler d'efforts. de même pour Hiro : ce dernier aime prendre soin des autres, c'est un personnage chaleureux qui vivait jusqu'ici une existence assez terne dû à l'éloignement de sa famille. L'arrivée de Mao va changer beaucoup de choses dans son quotidien, et j'ai vraiment apprécié suivre ces évolutions.
On va aussi faire la connaissance de personnages secondaires tout aussi intéressants. Par ailleurs, une des choses que j'apprécie le plus dans ce manga, ce sont les personnages. Outre le fait qu'ils soient bien travaillés, ces personnages ne tombent pas dans le cliché du « gentil » ou du « méchant ». Ils sont tout simplement humains. Ils font de belles choses comme ils peuvent faire des erreurs. Ils font preuve de gentillesse comme ils peuvent faire preuve d'égoïsme. On peut facilement faire preuve d'empathie pour chacun d'eux (même le père de Mao m'a émue pour tout vous dire, il m'a bien fait chialer le bougre), et les émotions se succèdent pendant la lecture. Pour ma part, impossible de ne pas aimer ne serait-ce qu'un personnage, et ça c'est vraiment une première !

La romance
On est bien dans un shôjo, et si la romance est présente, ce n'est pas pour moi le point central du récit. On comprend vite que Hiro et Mao sont faits l'un pour l'autre (ce qu'ils sont mignons~ ♥), mais leur relation est bien plus profonde que ce qu'on a l'habitude de voir dans un shôjo classique. Ils se connaissent depuis l'enfance et ont une compréhension mutuelle l'un envers l'autre. Hiro comprend le besoin qu'éprouve Mao lorsqu'elle souhaite pouvoir communiquer avec son père, et Mao sait à quel point Hiro a besoin d'avoir sa famille à ses côtés. Ils se soutiennent et vont faire face à pas mal d'épreuves, toujours sous le regard de l'autre. Niveau romance, ça se développe doucement, mais on ne va pas tergiverser pendant 10 tomes autour de la question « est-ce que je l'aime ? », puisque dès le départ, Mao est très claire sur les sentiments qu'elle ressent pour Hiro. Ce n'est pas plus mal, les héroïnes indécises m'agacent, et Mao est tout sauf indécise. Elle sait ce qu'elle veut, et avance doucement mais sûrement dans ce sens. En fait, c'est une relation très pure, très douce. Je suis tombée amoureuse de ce couple et de tout ce qui l'entoure.


J'ai eu un énorme coup de coeur pour ce manga (et je crois bien que ça sera mon plus gros coup de coeur de 2016). Il m'a bouleversée, retournée sous bien des aspects. Je me suis très attachée au personnage de Mao, et je dois dire que je suis assez faible face aux drames familiaux. Et je suis moi aussi tombée amoureuse de Hiro. de leur couple. de leur famille. du manga en fait. Cette « maison du soleil » m'a accueillie pendant ma lecture, et c'est avec plaisir que je m'y replongerais.
Je vous conseille fortement ce manga. Que vous aimiez les shôjos ou non, les messages qu'il véhicule sont destinés à tout un chacun.
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Commençons par le commencement « La maison du soleil » est un shôjo manga sorti aux éditions Pika et créé par TAAMO dont nous n'avions pas encore eu de manga licenciés en Europe (ou alors j'ai réussi à les rater, mais je ne pense pas)

Durant son enfance, Mao passait énormément de temps chez les Nakamura car la joie et l'animation s'y trouvant étaient tout le contraire de chez elle. Là-bas, elle se sentait heureuse malgré son quotidien pour le moins compliqué. L'histoire en elle-même ne révolutionnera pas le genre je pense -mais difficile d'en être certaine après un tome – mais reste assez mignonne et touchante.

Les personnages que l'on découvre dans ce volume sont principalement Mao (Mayo *fuit*) et Hiro, deux amis d'enfance qui finiront, suite à quelques événements, par vivre ensemble. de ce fait, vous comprenez vite que nous nous trouvons plutôt dans la tranche de vie qu'autre chose pour ce shôjo. Tranches de vie que j'ai plutôt appréciées grâce aux changements de point de vue. Après tout, nous sommes de temps en temps du côté de Mao et à d'autre moment du côté d'Hiro ce qui nous permet de savoir ce qu'il se passe de chaque côté ou de connaître des informations inconnues de l'autre personnage.

Voir le duo, qui n'a tout de même pas eu une vie facile, évoluer au fil des pages et avancer petit à petit au contact de l'autre. Les sentiments, les relations avec d'autres personnes, tout cela nous apparait petit à petit au fil des pages et le quotidien de Mao et Hiro se pare de rayons solaires lorsqu'ils peuvent être ensembles. Eux qui connaissaient la solitude, découvrent ce que cela fait de vivre avec quelqu'un d'autre, d'être réellement en contact avec cet être. A côté de nos deux protagonistes apparaissent, petit à petit, d'autres personnages, des camarades de classe ou des collègues. Eux aussi se rapprochent d'Hiro et Mao ou semblent montrer une certaine distance avec les personnages principaux. de ce fait, nous nous demandons tout de même comment évoluera la suite et si les diverses relations existant déjà changeront.

Les dessins sont assez doux, je dois juste avouer qu'au début j'avais un peu de mal avec les yeux de Mao mais au fil des pages et du temps on s'y habitue finalement assez rapidement. Ils sont vraiment dans le ton du manga et nous transportent également dans le quotidien de Mao et Hiro. J'aime beaucoup les teintes de la couverture, elles attirent l'oeil et restent, pourtant, assez douces. Pour ce qui est de la traduction réalisée par Claire Olivier, elle colle parfaitement aux différents personnages, à leurs caractères et rien qu'à leur façon de parler il est facile de reconnaître qui est en train de discuter. Les dialogues étaient vraiment agréables à lire et à découvrir au fil des pages ♥

Pour ce premier tome, La maison du soleil nous fait découvrir le quotidien de Mao et Hiro de manière assez douce et ce malgré tout ce qu'ils ont pu vivre auparavant. Un quotidien assez simple en soi étant donné que Mao est lycéenne et qu'Hiro travaille, mais le fait est que les voir apprécier de petites choses pouvant être considérées comme banales par beaucoup de gens fait un bien fou. Qui ne s'est jamais dit que manger en compagnie de quelqu'un était bien mieux que d'être seul dans un coin ? D'ailleurs, je suis bien d'accord avec la petite phrase présente au-dessus du résumé – et de la petite maison – se trouvant sur la quatrième de couverture qui est : « Une romance poétique où l'optimisme apaise les blessures de l'âme » parce que c'est réellement le cas. L'optimisme peut changer tellement de choses dans une vie et souvent par petites touches au début. La maison du soleil le prouve assez bien et je me demande ce que nous réservera la suite de cette série en 13 tomes. Ce qui est certain c'est que l'optimisme présent dans l'histoire fait du bien au moral, un peu comme lorsque le soleil brille, et que ma curiosité me poussera à tenter le tome 2 !
Lien : https://otaklive.wordpress.c..
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Histoire lente et somme toute peu intéressante, même pour des adolescentes. C'est l'histoire de Mao qui n'a jamais été vraiment bien chez elle (parents absents, famille dysfonctionnelle puis famille reconstituée) et qui passait son enfance chez des amis à proximité. Les parents de cette famille sont morts dans un accident et pendant plusieurs années, elle n'a pas de nouvelles des enfants. Puis, adolescente, elle rencontre le frère le plus vieux qui a maintenant 24 ans et qui demeure seul dans la maison familiale de son enfance. Il lui offre de l'héberger puisqu'elle n'a pas vraiment de chez-soi. Elle accepte et commence une cohabitation un peu cahoteuse, un peu étrange et en-dehors des règles sociales habituelles. le jeune homme fait à la fois office de figure maternelle, paternelle et fraternelle, mais en même temps Mao se demande si elle ne ressent pas plus que cela pour lui.
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Le défi de la mangaka était de dessiner une jeune fille qui se comporte comme un collégien prépubère et un jeune homme qui se comporte comme une maman. Pourquoi pas un mélange de genre ? Cependant, c'est trop artificiel pour convaincre le lectorat.

Par ailleurs, la naïveté du propos m'a littéralement repoussé alors que les thèmes sont sérieux entre des parents démissionnaires et une famille recomposée. Je veux bien un excès d'optimisme afin d'apaiser les tourments de l'âme mais c'est abusif en l'occurrence.
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critiques presse (1)
Bedeo
20 janvier 2017
Un manga qui mérite l’attention de tous les amateurs de ce genre et de shôjo en particulier.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
- La petite fille de la maison d'en face est bizarre. Elle mange toute seule au temple.
- La prochaine fois que tu la vois, invite-là à la maison.
- D'accord!

J'ai rencontré Mao juste après le déménagement. Je l'ai invitée!
"une petite fille qui se retient de pleurer". Voilà la première impression qu'elle m'a laissée.

- Je m'appelle Mao, ça s'écrit avec les caractères de la vérité et du poisson.
- Mayo ?
- Mao !
- Pourquoi tu manges au temple ?
- Parce qu'il y a dieu là-bas. J'y vais pour qu'il ne se sente pas seul.
- Hein ? et tes parents ?
- Ils travaillent dur pour moi, alors ils ne rentrent pas souvent. Ils sont admirables.
- A table !
- Hein ?
- Tu viens manger, Mao ?
- Euh, qu..pourquoi ?
- Comment ça, pourquoi ?
- Parce que c'est bon !

Après ça, c'est comme si Mao s'était installée chez nous. Et elle a fini par devenir comme un membre de la famille.
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J'aimerais tant qu'on rie de nouveau tous ensemble dans cette maison.
C'est pour ça que même si mes parents étaient morts et qu'on était tous séparés...
même si c'était dur d'aller à l'école tout en devant travailler...
Je n'aurais abandonné cette maison pour rien au monde.
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« À l'époque, cet endroit était une maison remplie de magie – un endroit où vous finissiez par sourire, même si vous pleuriez. Assurément, un invisible sorcier devait avoir vécu ici. C'est ce que je pensais. » - Mao

[traduction perso]
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Hiro *Ce jour-là, en pleine nuit... Mao est retournée chez son père avec un gros sac. Les choses se sont passées si naturellement que j'ai eu l'impression que c'était ma petite sœur qui rentrait vraiment à la maison. Son père m'a donné une enveloppe en disant "C'est pour ce mois-ci" et on est partis. J'avais même perdu l'envie de m'énerver.*

Hiro : Bienvenue chez toi, Mayo.
Mao : C'est "Mao" ! Je suis à la maison.
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Mao : Mes parents ont dit qu'ils allaient divorcer. Ils m'ont demandé de choisir avec qui je voulais vivre... Qui que je choisisse, on n'habitera plus ici.
Hiro : Mmh... Si tu peux pas choisir, t'as qu'à venir chez moi.
Commenter  J’apprécie          10

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