Contre la dictature académique de la pensée unique et la rigidité rigoriste des normes religieuses qui entendent précisément nous enlever le droit de péter ou de rêver en rond, je revendique la liberté de peindre le fatras de ce monde. La face cachée de nos misères, de nos petits arrangements avec la morale, l’hygiène et le bon goût, pour faire bonne figure et passer pour des êtres civilisés.