Plutôt que de s'attacher comme de coutume aux paysages, aux marines et aux jardins de Claude Monet, Richard Thomson propose, dans une approche particulièrement novatrice, de s'intéresser à ses représentations de bâtiments et à leurs environnement. Si certains d'entre eux constituent avant tout des éléments de la composition, d'autres créent un contraste saisissant entre la régularité de l'architecture et les fantaisies de la nature ou suggèrent même parfois par leur seul existence, une présence humaine.