(...) la volonté de lutter d'un peuple, comme celle de chaque individu, est absolument nécessaire...
Le dévouement des infirmières me remplit d'étonnement... Ces femmes possèdent indubitablement la douceur et la bienveillance des fées ou des mères. (page 330)
C’est un petit village niché au creux de la vallée, entouré de versants montagneux. La vie y est paisible et agréable. Ceux qui n’y sont jamais venus en rêvent et ceux qui y sont souhaiteraient y rester pour toujours.
(France Loisirs, p.209)
Aucun malheur ne prévient, aucune chance ne s'annonce.
Aucune haine n'est plus implacable, plus sacrée que celle d'un peuple à qui l'on a ravi sa liberté.
N'espère pas trouver que des gens bien sur terre. Le mal suit le bien comme l'ombre suit la lumière. Sans la nuit comment pourrions-nous connaître le jour ?
Le son de la cithare s'élève en même temps que sa voix grave, se mêlant au bruissement de la source et au ruissellement de l'eau dans la gouttière en bambou. La mélodie, accompagnée par le martèlement sourd et régulier des pignons des roues à eau, est inoubliable. Le temps semble s'étirer en ce lieu, une année ici équivaut à un siècle dans la plaine.
Si on doit se souvenir mille ans d'un bienfait, la rancœur doit durer au moins cent ans.
L'homme doit triompher de son malheur, de son infortune et de sa propre désespérance. Jamais il ne faut vouloir mettre de "point final", c'est valable pour une fille de treize ans ou un vieillard de quatre-vingts.
L’adage des anciens, une nouvelle fois, se vérifie. Aucun malheur ne prévient, aucune chance ne s’annonce.