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Something is killing the children tome 1 sur 7

Werther Dell'Edera (Autre)Werther Dell'Edera (Autre)
EAN : 9782381330112
136 pages
Urban Link (24/09/2020)
3.95/5   85 notes
Résumé :
Lorsque les enfants de la petite ville d'Archer's Peak se mettent à disparaître les uns après les autres - certains sans laisser la moindre trace, d'autres dans des circonstances extrêmement violentes - la peur, la colère et la suspicion envahissent l'entourage des victimes et laissent la police locale dans le plus grand désarroi. Aussi, quand le jeune James, seul témoin oculaire du massacre de ses trois camarades, sort de son mutisme pour parler de créatures terrif... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Précédemment, le même scénariste avait réalisé la série The Woods (avec Michael Dialynas) pour le même éditeur. Il est également l'auteur d'une excellente saison de la série Detective Comics et de la série Justice League Dark pour DC Comics. le présent tome contient les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2019, écrits par James Tynion IV, dessinés et encrés par Werther Dell'Edera, et mis en couleurs par Miquel Muerto. Il contient les couvertures de Dell'Edera, ainsi que les couvertures variantes réalisées par Jae Lee (avec June Chung), Jenny Grison, Ian Bertram, Marcos Martín. Il se termine avec les 5 premières pages de The Woods.

Une nuit dans la petite ville rurale d'Archer's Peak aux États-Unis, quatre copains préadolescents ou tout juste adolescents évoquent leur plus grande peur. le premier raconte la fois où il a dû faire le tour de sa maison tout nu. le second, James, évoque la fois où il était resté tout seul un soir à la maison et il avait vu une énorme chose dans les ténèbres en train de l'observer de l'autre côté de la fenêtre. Il était allé se coucher dans son lit au fond des couvertures. Au temps présent, James est interrogé par un officier en civil, dans la pièce d'interrogatoire du commissariat. Il explique qu'il a glissé sur un talus, s'est retrouvé au fond du fossé, puis a entendu ses copains hurler alors qu'il ne pouvait plus les voir. Deux semaines plus tard, Erica Slaughter, une jeune femme en débardeur blanc et pantalon maculés de sang sort des bois, une arme tranchante dans chaque main. Elle s'approche d'une jeune fille cul-de-jatte dans une cariole. Elle ouvre le sac à dos posé à côté, et prend une bouteille d'eau pour se désaltérer. Elle reçoit un appel téléphonique qui lui indique que sa prochaine mission se déroulera à Archer's Peak. James arrive au collège et il se fait interpeller par Dan Brisby et un de ses potes. Dan l'accuse d'avoir tué ses copains qui ont disparu dans la forêt, et sous-entend que c'est parce que James est un homosexuel refoulé.

Ayant fait un esclandre et s'étant battu, James se retrouve dans le bureau de John Collins, le proviseur. Ce dernier explique que la disparition de 9 enfants en 2 semaines n'est pas normal, que la seule explication rationnelle de la police serait que ce soit l'oeuvre d'un ours enragé, c'est à dire qu'ils n'ont aucune piste, et que la vie continue quand même. James explique qu'il ne souhaite pas rentrer chez lui parce que les cours de l'après-midi l'intéressent. Un bus arrive à la gare routière d'Archer's Peak : Erica Slaughter en descend et contemple le panneau d'affichage sur lequel figure l'avis de disparition d'une trentaine d'enfants. En cette fin d'après-midi, James reçoit un appel de son père lui indiquant qu'il doit rester au boulot et que James doit rentrer tout seul jusqu'à la chambre d'hôtel. Sur le parking, il est abordé par Erica Slaughter. Elle connaît son nom, elle lui montre sa cicatrice sur le côté gauche de son crâne sous ses cheveux. Elle lui dit qu'elle sait qu'il est apeuré, mais elle a besoin de savoir ce qui s'est vraiment passé cette nuit où ses copains ont disparu.

D'une certaine manière, James Tynion IV entame son récit en mettant en oeuvre les conventions de genre attendues, une par une. Les enfants qui discutent entre eux pour donner de la consistance à leur peur, le soir dans une pièce avec les lumières éteintes. La chasseuse de monstre, mystérieuse, qui se salit les mains, qui impressionne une enfant mutilée on ne sait pas pourquoi, qui arbore une cicatrice (la preuve de la dangerosité de ses combats). La police qui effectue son travail avec compétence, mais dont les méthodes sont totalement inadaptées. Un pauvre garçon ayant assisté à la disparition de ses copains, sans bien savoir ce qu'il s'est passé dans le détail du fait de l'obscurité. Des autochtones sur les dents ayant bien du mal à faire le deuil de leurs enfants quand les corps n'ont pas été retrouvés, méfiants vis-à-vis des étrangers, et même simplement des individus différents. Il en va différemment de la partie graphique : Werther Dell'Edera, un artiste italien ayant déjà réalisé des comics, en particulier avec Brian Azzarello et Mark Waid. Il détoure les personnages d'un trait fin, un peu cassant, pas toujours régulier, appliquant parfois des aplats de noir à la forme irrégulière, mais aussi des zones grisées au crayon. Cette façon de dessiner place ses cases entre une approche descriptive, et une interprétation simplifiée, parfois enfantine, qui laisse de la place à l'imagination du lecteur.

En regardant les personnages, le lecteur voit bien que James se situe à l'âge pivot entre l'enfance et l'adolescence du fait de sa taille, mais pour le reste il est représenté comme un adulte, que ce soit pour les expressions de visage ou les postures. Erica Slaughter est plus grande, et le lecteur lui donne environ 25 ans, avec une grande expérience du combat. L'artiste en fait une sorte d'héroïne plus grande que nature. Elle est mince, mais il est visible qu'elle est musclée, sans gonflette. Sa chevelure blonde est coiffée en une queue de cheval remontée haut sur la tête, avec une grosse mèche qui cache sa cicatrice sur le côté gauche du crâne, mais aussi son oeil gauche. le lecteur est ainsi amené à interpréter cette représentation comme la vision que peut en avoir un enfant, car il imagine mal une combattante aguerrie diminuer son champ de vision avec une telle mèche. Cette impression est renforcée par l'habitude d'Erica Slaughter de combattre avec un foulard remonté sur la bouche, imprimé avec un motif de dents acérées. Cela semble bien être l'intention également du scénariste qui a choisi un nom comme Slaughter (= massacre). Les autres personnages peuvent être très banals comme Tommy Mahoney (manager d'un diner, et grand-frère de Sophie, l'une des disparues), ou un peu bizarre dans leur apparence (l'interlocuteur d'Erica dans le Bus, la demoiselle cul-de-jatte) mais toujours plausibles (la serveuse afro-américaine avec ses cheveux roux et son anneau dans le nez).

Le lecteur remarque rapidement que Miquel Muerto réalise une mise en couleurs, avec des teintes un peu ternes, dosant avec soin les aplats unis et les tâches de couleur comme mises au pinceau pour rehausser un relief ou une ombre portée, de ci de là. Il effectue en particulier un travail impressionnant pour installer et développer la pénombre lors du combat dans le dernier épisode, tirant les dessins vers l'impressionnisme, alors que le dessinateur ne représente les parois rocheuses que de 2 ou 3 traits dans chaque case, sans intention descriptive de la texture rocheuse, d'une cohérence dans les volumes d'une planche à l'autre. de son côté, Werther Dell'Edera dose également le niveau d'informations visuelles. Ses planches peuvent aller d'une description soignée d'un environnement, à une évocation très superficielle. Au fil des séquences, le lecteur peut prendre le temps de regarder l'escalier menant à l'établissement scolaire de James, et la façade du bâtiment, le parking quasi désert mais très réaliste sur lequel Erica Slaughter aborde James, plusieurs pièces banales du grand pavillon de la famille Mahoney, la façade du bâtiment abritant le commissariat, les allés plus vraies que nature du magasin d'outillage où Slaughter achète sa tronçonneuse avec peu de dispositifs de sécurité. À l'opposé, les bois sont très génériques, sans possibilité de reconnaître l'essence des arbres, le diner de Tommy Mahoney n'a aucun élément remarquable, et la grotte est totalement irréaliste avec ses proportions gigantesques, sans fondement géologique.

La narration visuelle transporte donc le lecteur dans un environnement plausible, oscillant entre le réalisme de la banalité d'une petite ville rurale, et des lieux vagues, habités par des personnages communs et réalistes, avec une exception (Erica Slaughter). le lecteur tourne une page après l'autre découvrant une scène attendue après l'autre. Il relève quelques particularités. James Tynion IV commence à intégrer des éléments moins génériques : l'existence d'une classification des monstres en fonction de leur taille et de leur dangerosité, l'existence d'une organisation avec une hiérarchie dont elle dépend, la reconnaissance de la compétence née de l'expérience de Slaughter par le shérif Joseph Cavanaugh, et la peluche de pieuvre qui apparaît totalement décalée. du fait de ces caractéristiques sortant de l'ordinaire, l'intérêt du lecteur subsiste d'un épisode à l'autre.

Le degré d'appréciation du lecteur pour cette histoire dépend fortement du nombre d'histoires de ce genre qu'il a déjà lues auparavant. S'il s'agit d'une de ses premières expositions au genre, il va apprécier l'utilisation des conventions, les dessins entre description réaliste et zones d'ombre propices à abriter des monstres tapis dans le noir, ainsi que la chasseuse de monstres charismatique et mystérieuse. S'il a déjà lu plusieurs histoires de ce type, il ne peut qu'observer que James Tynion IV semble s'appliquer pour incorporer les scènes attendues, et que les éléments originaux ne sont ni assez nombreux, ni assez forts.
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Le thème est assez court et reste très classique. le comics traite d'une vague de disparition d'enfants dans la petite ville d'Archer's Peack.
Un jeune adolescent du nom de James survit a un massacre où il est le seul témoin oculaire de ce qui s'est passé. Malheureusement, personne ne veut le croire car il parle de créatures terrifiantes vivants dans les ombres. Une mystérieuse héroïne du nom Erica Slaughter arrive en ville au même moment.

Au niveau du scénario et des dessins proposés, je pense clairement à un mélange d'une vague qui mélange comics, manga, bande dessinée franco-belge ainsi qu'un story board cinématographique. Cela se ressent sur le plan scénaristique mais également visuel ce qui va créer une patte qui définira « SAKTC ». Certaines planches sont bien séparées comme dans une BD franco-belge
tandis que sur d'autres, nous sommes plus proches d'un comics par l'agencement original mais gardant un naturel dans la lecture.

De nombreuses influences scénaristiques évidentes sont à souligner. le concept de monstruosité est clairement affilié au livre “Ça » de Stephen King. L'insouciance de l'enfance qui plonge dans l'âge adulte bien trop vite, une créature visible seulement par les enfants et adolescents,…
Je dirais que je me suis retrouvé également dans l'esprit des « teenage movies » : adolescents qui combattent des monstres mais les adultes ne comprennent pas la menace sous-jacente. Une quête où seulement les jeunes peuvent comprendre la menace face à un monde adulte trop embourbé dans sa complexité,…

L'héroïne est badass et très mystérieuse. C'est un savant mélange entre Kill Bill de Tarantino, Ghost in the Shell, Nikita (de Besson) et le visuel de kakashi-SASUKE de Naruto. Elle est affilié à un ordre mystérieux dont la politique englobe des enjeux complexes.

C'est une bonne porte d'entrée dans l'univers des comics et le livre ne m'a pas laissé indifférent sans pour autant me faire sauter au plafond. Plaisant et jouant sur ma nostalgie culturelle. Je ne pense pas que cela soit une lecture essentielle dans une bibliothèque malgré ses bonnes idées et une intrigue classique qui a déjà fait ses preuves dans d'autres oeuvres.

Something kill the children : Tome 1 : Roman graphique sorti en VF, paru le 25 septembre 2020, collection Urban Link, section jeunesse. 136 pages. Reprends le épisodes 1 à 5 de la version US.

Boom Studio ! , septembre 2019, comics nominé au Eisner award en 2020 pour la meilleure nouvelle série.
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Il y a longtemps que je ne m'étais pas lancé dans un nouveau comics … J'en lis peu, mis j'avoue que j'aime bien de temps en temps ! Celui-là m'a fait de l'oeil, et quand j'ai vu l'offre à 10€ pour les 2 premiers tomes je n'ai pas hésité !

De quoi ça parle ? « Lorsque les enfants de la petite ville d'Archer's Peak se mettent à disparaître les uns après les autres - certains sans laisser la moindre trace, d'autres dans des circonstances extrêmement violentes - la peur, la colère et la suspicion envahissent l'entourage des victimes et laissent la police locale dans le plus grand désarroi. Aussi, quand le jeune James, seul témoin oculaire du massacre de ses trois camarades, sort de son mutisme pour parler de créatures terrifiantes vivant dans la pénombre, le coupable semble tout trouvé. Son seul espoir viendra d'une étrange inconnue, Erica Slaughter, tueuse de monstres capable de voir l'impensable, ce que l'inconscient des adultes ont depuis longtemps préférer occulter.»
C'est un comics assez sombre, c'est ce que j'apprécie en général donc je n'ai pas été déçue ! Il y a du sang, les pages sont assez sombres on comprend assez vite où on est !
C'est un premier tome donc on est dans la mise en place de l'univers, j'ai bien aimé les personnages ! Erica qui a ce petit côté Buffy qui forcément m'a emballé. James m'a bien plus aussi mais j'attends d'en découvrir plus à son sujet !
Ce premier tome est une bonne ouverture, j'ai clairement envie d'en savoir plus !
Petit bémol pour moi, la mise en page n'est pas super clair et peu complexe à prendre en main, certaine planches se lisent sur la longueur d'autre de façon normal … J'ai eu quelques déconvenues !

Note 8/10
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Chouette premier tome pour une série d'horreur plutôt prometteuse et basée sur un shéma plutôt classique :
des enfants disparaissent puis on les retrouve horriblement mutilés.
Une chasseuse arrive et part en quête de la créature démoniaque qui s'en prend aux enfants.
L'histoire est sympathique, la narration est fluide, le dessin est bien dans le thème.
C'est assez sympa et j'ai hâte de découvrir la suite
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Quand le kiff, ce sont les disparitions et meurtres d'enfants.

Ça ne révolutionne pas le genre horrifique, mais c'est sacrément prenant et diablement efficace, les deux premiers tomes lus se dévorent en donnant envie de découvrir la suite pleine de promesses. C'est rythmé et bourré d'action, on est pris dedans.

C'est aussi un peu plus gore que ce à quoi je m'attendais : beaucoup de sang qui gicle, de membres arrachés et de tripes à l'air, essentiellement d'enfants. Parce que oui, quelque chose tue bien les enfants, et c'est pas jojo à voir. Mais qu'est-ce que c'est bien.

Le dessin est un peu plus en dents de scie pour moi, certes efficace la plupart du temps mais plus brouillon à certains moments et pas toujours très inspiré niveau design (les monstres restent très classiques dans leur apparence).

Mais ça reste une excellente découverte dont je ne compte pas manquer la suite.
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critiques presse (4)
ActuaBD
18 avril 2022
Le dessin est très réussi, mais pas forcément explosif car dans une gamme de couleurs plutôt terne. Il se démarque néanmoins par son sens du rythme implacable.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
ActuaBD
11 août 2021
Il en résulte une des meilleures BD d’horreur du moment, pour l’instant encore très formatée, mais dont il nous tarde d’apprécier la suite.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
LesComics
15 mars 2021
Un mélange d’action et de thriller horreur du plus belle effet ! Un récit intriguant et qui promet de très bons moments de lecture ! On a véritablement hâte d’etre au second volet afin de confirmer cette bonne impression !
Lire la critique sur le site : LesComics
Sceneario
03 novembre 2020
Un premier volume qui confirme tout le bien que l'on peut penser de ce label d'Urban, un album petit format qu'il est agréable d'emporter avec soi, dans un coin !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Croire et savoir, ce n’est pas du tout le même chose. Tu es assez vieux pour savoir qu’il n’y a pas de monstres en ce bas monde. Mais tu n’y crois pas. Pas vraiment. Il te suffit d’entendre un bruit dans la forêt ou de voir une ombre aux contours bizarres, et la peur t’envahît.
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-Après, vous vous doutez que j'ai aussi des modèles bas de gamme. Celles là vous les lâchez et elles ne s'arrêteront pas avant de vous avoir tranché la jambe ou je ne sais quoi. [...]
- Je peux voir les modèles bas de gamme ?
- Pardon ?
- Ceux qui continuent de tourner et de trancher comme s'ils n'en faisaient qu'à leur tête. [...] Je voudrais la plus puissante. Celle qui ne se bloquera pas même si elle mord dans quelque chose d'inhabituel. Qui continuera de trancher quoi qu'il arrive.
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J'y croyais pas, moi, aux monstres !
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Videos de James Tynion IV (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de James Tynion IV
1,2,3 BD ! Chez les libraires ! vous présente les BD coups de coeurs de Vincent et la librairie Sanzot à Paris. - Anne Bonny de Matteo Mastragostino et Alessandro Ranghiasci à la boîte à bulles - The Nice House On The Lake #2 Scénario: James Tynion IV ; Dessins: Martinez Alvaro Édité par: Urban Comics - Evol par KANEKO Atsushi, édité par Delcourt / Tonkam 1,2,3 BD c'est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture. #GALERIE #BD #POPCULTURE #BANDEDESSINEE #COMICBOOKS #9EMEART Retrouvez 1,2,3 BD ! Chez les libraires! sur : https://www.youtube.com/TraitpourtraitBD https://www.facebook.com/TraitpourTraitBD https://www.instagram.com/traitpourtraitbd/ https://twitter.com/TPTBD
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