AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,82

sur 239 notes
5
6 avis
4
3 avis
3
3 avis
2
1 avis
1
2 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je déteste les grosses araignées velues, berk, berk, berk !
Je suis verni, Rosinski et Van Hamme m'en offrent une tripotée, et de taille vénérable. Inutile de dire que je n'ai pas plongé dans cet album comme une bombe.

Les dieux d'Asgard se sont réattribués le droit d'embêter leur cher chouchou de Thorgal à tire larigot. Cette fois, ils ont invité leurs potes de l'Olympe. J'imagine bien les deux tribus de dieux se retrouvant pour un dîner de con, et Odin mort de rire déclarer à Zeus : « On en a un, c'est un vrai champion du monde ; si vous voulez on vous le prête ».
Et hop, revoilà Thorgal séparé de sa famille hormis Louve, qui échoue sur une île cachée dans la brume où vit une tribu clairement issue de la Grèce antique, obligée d'abandonner régulièrement un des leurs à Arachnéa.

Malgré le mythe conté dans cette histoire, j'avoue ne pas avoir franchement accroché. C'est le contraste avec l'ensemble des épisodes ; celui-ci manque d'originalité. On sent bien que les dieux de l'Olympe ne jouent pas aussi bien de l'instrument Thorgal que ceux d'Asgard.
Et puis j'aime pas les araignées.
Commenter  J’apprécie          360
Thorgal est (à nouveau!) séparé de sa famille au cours d'une tempête et il échoue avec Louve sur une île mystérieuse où les habitants vouent un culte à la déesse Arachnea.

Au niveau du scénario, il n'y a pas de surprises, l'histoire sent un peu le réchauffé et reprend des mythes connus.
Au niveau du dessin, j'ai aussi trouvé qu'il y avait une légère baisse de qualité.
Ce 24eme album représente donc pour moi une déception, hormis les scènes que la petite Louve illumine de sa présence.

J'ajouterais que je ne conseille pas de lire cet album le soir avant de se coucher pour ceux qui, comme moi, ne sont pas fans des araignées !
Commenter  J’apprécie          140
Pas très inspirée, cette histoire de déesse-araignée auquel on sacrifie deux jeunes hommes chaque année (il n'aurait plus manqué que ce soient des vierges !), de malédiction millénaire et de pays en vase clos (vaguement inspiré de la Grèce antique, m'a-t-il semblé).
Une grosse impression de déjà-cent-fois-vu.
Du coup, même Rosinski est à la peine. Lui qui autrefois peignait des tempêtes en mer somptueuses, celle-ci m'a fait l'effet d'être une piscine à vagues dans un parc d'attraction.
Quant à la scène avec l'araignée sur la toile, au niveau des enchaînements et des positions dans l'espace, elle n'est ni faite ni à faire.
Bon, c'est sûr, pour les arachnophobes, sensations fortes garanties.
À la fin, j'ai essayé de sortir mon violon pour la montée au ciel des amants retrouvés après mille ans de séparation, mais il sonnait faux, du coup j'ai rigolé au lieu de pleurer.
C'est normal, chef ?
Non, j'crois pas.
PS : Muff ne s'est pas fait planter, mais il a... survécu à la noyade ! Merci qui ?
Commenter  J’apprécie          40


Lecteurs (734) Voir plus




{* *}