AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 107 notes
5
12 avis
4
16 avis
3
6 avis
2
2 avis
1
0 avis
2009. Georges Crozat, surnommé le Mur dû à sa capacité à encaisser les coups mieux que quiconque, est flic le jour et boxeur la nuit. Un boxeur malheureusement en fin de carrière. À la fin d'un match de boxe éprouvant pour son adversaire, un certain Pakistanais, videur dans une boîte, vient le voir dans sa loge et lui propose de bosser pour un pote. Ce dernier, cocu, voudrait que Georges donne une bonne leçon à l'amant de sa femme. Un beau billet l'attend s'il exécute ce contrat... 
1957. Pascal Verini, fils d'une famille communiste nanterrienne, est appelé en juin, comme bon nombre de ses congénères. Pacifiste dans l'âme mais forte tête, une sanction disciplinaire l'envoie en Algérie, dans une ferme isolée, un DOP (Détachement Opérationnel de Protection) autrement dit un centre de torture...

Ce roman, inspiré des confidences de son papa, que l'on aura reconnu en la personne de Pascal Verini, met en scène alternativement les destins de ce dernier, un soldat affecté dans une vieille ferme, et de Georges, ce flic bien mal engagé dans ses combines. Deux destins qui vont immanquablement se croiser. Quel est donc le lien qui unit ces deux hommes que tout semble séparer ? Antonin Varenne signe ici un roman noir, âpre et puissant au scénario intelligent au cours duquel l'on fait la connaissance du Mur, du Kabyle et du Marin. Trois personnages au fort tempérament qui côtoient malheureusement bien trop souvent la violence, fut-elle infligée ou subie. Un roman fort bien documenté, que ce soit le monde de la boxe ou la guerre d'Algérie. Des histoires profondément humaines et remarquables servies par une écriture percutante et riche.
Commenter  J’apprécie          614

Cela faisait quelques années que ce livre traînait dans les profondeurs abyssales de ma PAL, et comme je cherchais pour le Challenge ABC un livre dont l'auteur avait comme première lettre un V…
J'avais déjà entendu beaucoup de bien au sujet d'Antonin Varenne, aussi à une époque je m'étais empressée d'acheter ce livre ainsi que « Trois mille chevaux-vapeur « et depuis, ces deux livres m'attendaient fort patiemment …
Bon j'en ai exhumé et lu un des deux, et je garde l'autre sous le coude pour le prochain Challenge ABC je l'avoue…
Revenons à ce polar dont le titre n'avait cependant pour moi rien d'alléchant et dont l'une des thématiques abordées me semblait être la boxe. Je dois tout de suite avouer que la boxe et moi…Jamais vu ou eu envie de voir Rocky , et en plus, j'ai été traumatisée par le très beau film de Clint Eastwood « Million Dollar Baby », donc oui, j'ai dû me forcer un petit peu pour me lancer dans cette lecture..
Et très vite, je me suis laissé prendre à cette histoire…ou plutôt à ces deux histoires qui sont séparées par plusieurs décennies…
Au début, j'ai plus été intéressée par l'histoire de pascal , soldat embarqué dans la guerre d'Algerie que par celle de Geoges, flic et boxeur à ses heures perdues…
L'évocation des heures sombres de la guerre d'Algérie a évoqué pour moi un témoignage qu'un ancien soldat m'a fait spontanément un jour, après près de 50 années de silence et de non-dit…Je n'oublierais jamais ses paroles et évidemment ce livre a été un terrible écho à ce témoignage…A un point qu'en ai oublié qu'il s'agissait d'un roman…
Une belle découverte….



Challenge ABC 2022/2023
Challenge Mauvais genres 2023
Challenge A travers l'Histoire 2023
Commenter  J’apprécie          430
Avec le mur, le Kabyle et le marin, Antonin Varenne, quelques temps après Fakirs, remet en scène des personnages aux corps et aux esprits torturés. C'est en 2009 que l'on rencontre le premier, Georges Crozat, dit le Mur, policier mais surtout boxeur en fin de course qui doit son surnom à son extraordinaire capacité à encaisser les coups. le deuxième, c'est Pascal Verini. En 1957, ce jeune ouvrier de Nanterre issu d'une famille communiste est appelé en Algérie. Affecté à un dispositif opérationnel de protection, un DOP, c'est-à-dire avant tout un centre de torture, Verini refuse de prendre part aux interrogatoires et aux corvées de bois qui s'ensuivent parfois.
Après un combat particulièrement âpre qui le laisse aussi perclus de douleur que déprimé, Crozat accepte, afin de pouvoir continuer à financer ses nuits avec des prostituées, de passer à tabac des hommes que lui désigne un commanditaire anonyme. le chemin sur lequel il s'engage alors va l'amener à croiser le chemin d'un vieil arabe et, au bout du compte, celui de Pascal Verini.

Constitué de deux grandes parties, une première mettant en scène, chacun à leur époque, Crozat après son combat contre le jeune Gabin, et l'appelé Verini en poste au DOP Rabelais et une seconde qui voit les deux hommes se croiser, voire se confronter, un demi-siècle après le retour de Verini, le mur, le Kabyle et le marin est un roman noir d'une facture plutôt classique et qui laisse assez peu de place au suspense puisque la rencontre semble immuable et que les motivations du commanditaire de Crozat, pour obscures qu'elles soient au départ, on tôt fait de commencer à émerger.
Ce qui fait de ce roman un livre à part, outre le sens aigu que possède l'auteur d'une narration efficace qui apparaît dès l'impressionnante première scène qui propulse le lecteur sur le ring avec Crozat, c'est la délicatesse dont sait faire preuve Antonin Varenne lorsqu'il s'agit d'aborder l'intime, particulièrement s'agissant des sentiments de l'appelé Verini, et de le confronter à l'Histoire. Une Histoire dont Varenne montre comment elle ne cesse de ressurgir malgré le soin avec lequel on cherche – et ce « on » s'applique autant à l'État qu'aux hommes qui ont vécue la guerre d'Algérie sur le terrain et participé à l'Histoire – à l'oublier, à l'enterrer.

En les menant d'un ring de Juvisy ou du DOP Rabelais jusqu'à un ultime road trip intergénérationnel oscillant entre drame et humour et à la possibilité d'une vengeance, Antonin Varenne offre à ces personnages la possibilité d'un apaisement qu'ils saisiront peut-être. Ce faisant, il livre un roman tout en nuances qui sait sonner juste, tenir le lecteur et même le pousser à réfléchir. Ça n'est pas le cas de tous les romans et cela vaut donc le coup d'être relevé.

Lien : http://www.encoredunoir.com/..
Commenter  J’apprécie          130
George Crozat, dit le Mur, est un flic du commissariat du 14e. C'est à la boxe qu'il doit son surnom. Il n'est pas sans savoir qu'il livre ses derniers combats. Lorsqu'on lui offre de l'argent pour aller tabasser un homme qui aurait été infidèle, il accepte sans hésiter cette rémunération qui lui permettra d'aller voir Mireille (deux seuls personnages féminins dans ce roman et elles sont des prostituées…), et surtout sans se demander qui peut bien être derrière tout cela. En alternance, la narration nous transporte en Algérie, entre 1957 et 1958, où Pascal Verini est envoyé pour deux ans au DOP Rabelais (DOP pour Dispositif opérationnel de protection), un centre de torture, une expérience éprouvante à laquelle il tente tant bien que mal de s'opposer. Les deux histoires vont évidemment finir pas se rejoindre. Je ressors mitigée de cette histoire pleine de testostérone et de gueules amochées, racontée dans un style direct et efficace cependant, qui se passe sur fond de salles de boxe et de guerre d'Algérie. J'ai trouvé intéressante la partie historique et le lien avec le père de l'auteur. J'aurais aimé que le personnage de George, très ancré dans le présent, soit plus développé; il n'y a pas beaucoup de mise en contexte pour ses comportements délinquants, pour sa morale élastique. Lu dans le contexte du prix Quai du polar reçu en 2012.
Commenter  J’apprécie          120
Dès le premier chapitre, dès les premières pages, c'est le mot viril qui me vient à la bouche pour qualifier ce livre. D'emblée, nous voilà catapultée sur le ring avec George dans le rôle du cogneur. L'ambiance, l'écriture, tout est brut, rugueux, âpre. L'univers est masculin ; pas de place pour les femmes dans ce livre…celle du bordel mise à part. Les deux premiers tiers du roman verront s'alterner les époques et les personnages.
De nos jours, C'est George, dit le mur, petit flic sur la fin, boxeur amateur par ailleurs que nous apprenons à connaitre. Non content de cogner, ou de se faire cogner, il se fait quelques billets en exécutant quelques contrats. Jusqu'au jour où….
En 1958, nous sommes en Algérie, Varini échoue dans un centre de renseignements où l'on ne mégote pas sur la torture qu'il refuse. Deux ans…. Deux ans qu'il lui faudra faire !!! Rachid, le kabyle, lui est prisonnier. On y retrouve les « cocos », les salauds
A ce stade, c'est un peu la confusion, on ne sait pas trop comment l'auteur va s'en sortir.
Nous retrouvons, le mur, aux souvenirs perdus, Rachid le kabyle, et le marin…. Chacun en route vers Marseille qui pour se retrouver, ou se venger.
Si j'ai aimé le côté viril des débuts, le style percutant, si son côté glauque, et malsain ne m'a pas plus rebutée que cela, il a manqué sur la longueur une tension que j'attendais plus soutenue. C'est finalement en spectatrice lointaine que j'ai suivi tout cela, sans empathie , ni antipathie particulière. L'auteur a des qualités littéraires indéniables. Cette partie d'histoire de France, je l'avoue, ne me passionne guère, et ce depuis toujours. Est-ce la raison pour laquelle je suis restée relativement insensible ? Une forme de roman noir qui ne me convient pas ?



Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
Commenter  J’apprécie          90
Après le choc Fakirs, attendez vous à une deuxième rafale, toute aussi puissante. Et là où Antonin Varenne montrait notre société avec une enquête sur un jeune homme qui se transperçait pour son public, cette fois ci, il nous oblige à regarder ce que beaucoup ne veulent pas se rappeler : la guerre d'Algérie. Entre les entraînements et les images de propagande, tout est bon pour monter les gentils Français contre les méchants Algériens. Puis, ce sont les descriptions des DOP (les Dispositifs Opérationnels de Protection), cette institution de torture des ennemis. Et, encore une fois, l'auteur nous décrit cela au travers de Verini sans prendre position, ce qui en rajoute encore dans notre imaginaire à nous, lecteurs. « La guerre ne forme pas la jeunesse, elle la viole ».
Et puis, on a encore affaire à de beaux portraits d'hommes entre Crozat, ce policier municipal, « même pas policier », boxeur bientôt à la retraite, désespérément seul, qui aime la douleur, qui est vide comme une baudruche, qui est bigrement attachant aussi. Brahim Bendjema, un vieil algérien qui a tout vu, tout connu et qui trouve la bonne raison au bon moment pour se venger, essayer de créer un semblant de justice, et Verini, ce jeune homme devenu un homme vide, une victime dans le clan des gagnants / perdants marqué à vie et qui veut juste oublier.
L'ambiance est lourde, glauque, violente, malsaine, avec toujours cette qualité pour les dialogues. Par contre, j'ai l'impression d'une grande progression dans l'utilisation de la langue, une volonté de ne pas en rajouter, mais de trouver les mots justes, les verbes qui frappent. C'est un roman que j'ai lu lentement, buvant chaque mot, avalant chaque phrase de peur de rater un moment ou une expression important. C'est le roman de la maturité pour Antonin Varenne, le roman qui ne se lit pas comme on lirait un thriller mais qui se déguste comme un verre de cognac : doucement mais avidement, avec un goût âpre et inoubliable sur la fin. Bienvenue dans l'horreur, celle qui fait mal aux tripes.
La dernière page du livre est un hommage de l'auteur pour son père, ce père qui a connu ces horreurs, qui a tout caché jusqu'à dévoiler quelques bribes du passé avant de mourir. de cette page, avec cette page, le roman prend un tout autre éclairage, devient d'autant plus éblouissant, plus lourd à porter aussi. Votre père peut être fier de vous, M.Varenne.
Lien : http://black-novel.over-blog..
Commenter  J’apprécie          70
Une intrigue complexe et souterraine trouve ses origines dans l'histoire et le passé du Kabyle et du marin pendant les années 1957-1960 en Algérie. Un flic, obsédé par la boxe et surnommé le Mur, gagne miraculeusement un match. le Pakistanais lui propose une combine pour lui permettre de se payer ses petits plaisirs d'homme solitaire.
Décidément cette salle guerre, celle d'Algérie, ne finit pas d'inspirer les écrivains d'aujourd'hui. Voici donc un nouveau livre, et pas des moindres, celui d'Antonin Varenne, roman noir inspiré, soufflé par le témoignage et les confidences de son propre père Pascal Varenne juste avant sa mort. Roman noir, très noir et pourtant rédempteur, voici un grand livre de réconciliation.
Pas étonnant que celui-ci ait été récompensé par le Prix Quais du polar-20 minutes 2012. Les lecteurs ne s'y sont pas trompés.
Lien : https://collectifpolar.com/
Commenter  J’apprécie          50
Un excellent moment de lecture. Je découvre les "gants" d'Antonin Varenne et j'avoue que je n'ai pas vu passer les reprises. Les Editions Viviane Hamy accueillent ce livre dans la collection Chemins nocturnes. Il s'agit bien d'un roman noir. Pas un roman déambulatoire, à l'énigme "alibi", il s'agit réellement d'une histoire qui s'inscrit dans la temporalité. Un combat se gagne dans l'instant et la durée, dans ses intentions, ses renoncements. Trois hommes voient leur destin lié. Irrévocablement. le ring sur lequel L Histoire les a projetés est éclairé par la lumière provenant des salles de nos archives: notre mémoire commune. le connaîtrons nous un jour tout en faits? La guerre ne dira pas son nom. Elle ne le dit jamais. Un tueur laisse t il sa carte de visite après son crime ? Algérie. 1957, France 2009. On emporte toujours les images de ses combats dans les vestiaires. On porte toujours la marque des coups reçus et la douleur des coups retenus ou si sauvagement portés. Peut on oublier, doit on oublier, et si la mémoire se doit d'être entretenue que devons nous en faire? J'aime beaucoup l'écriture d'Antonin Varenne, le rythme, l'odeur, la cadence, le courage. Un roman qui trouvera peut être sa place sur l'écran blanc de nos salles obscures. Merci à Libfly de nous avoir permis de découvrir les Editions Vivian Hamy, Antonin Varenne, le Mur, le Kabyle et le Marin.

Astrid SHRIQUI GARAIN
Commenter  J’apprécie          40
Longtemps que je n'avais pas lu un roman aussi noir, noire comme la guerre d'Algérie et les traces laissées, et avec deux histoires paralèlles, en 2009 et pendant cette guerre, Antonin Varenne alternant chaque époque, et on comprend très vite que certains des protagonistes vont se retrouver.
Mais noire également la vie de certains des acteurs de ces deux histoires, Georges Crozat, dit le Mur, flic en journée et boxeur le week-end, -son histoire se passe de nos jours-, Pascal Verini envoyé au DOP en Algérie pendant deux ans, en 1957 et 1958, noir leur avenir, noir leur "espace de salut et d'espoir", en l'état, pour les deux, une prostituée. Georges voit la sienne après chaque combat dans un hôtel du 18ème parisien, et qui l'aide à penser ses plaies -tant celles de son corps que de son âme-; pour Vérini, c'est au bordel d'Alger, et avec laquelle il veut faire sa vie à la fin de cette sale guerre.
Antonin Varenne s'est plongé dans les affres et les tourments de chacun des personnages de ce roman, un roman dur, dans lequel très peu d'hommes trouvent leur équilibre et un juste milieu, et où le monde se divise entre ceux qui ont des états d'âme et tentent d'éviter l'innomable, et ceux, par contre, qui s'y complaisent ( tels Rubio, Colona, les tortionnaires du DOP algérien).
Si on a compris très vite qui est "Le Mur", (crozat, flic et boxeur), on sait au tiers du livre qui est "Le Kabyle", mais il faudra attendre le dénouement pour savoir qui est ce fameux "marin".
Un récit qui a réveillé en moi non pas des souvenirs mais des "manques" de souvenir de cette période, mon père ayant été envoyé deux fois en Algérie, n'en ayant jamais fait allusion, gardant enfoui ce qu'il avait pu y voir, un peu comme le père de l'auteur.
Je n'avais pas aimé "Fakirs", grâce auquel Varenne avait obtenu plusieurs prix, dont celui du jury des lecteurs du Point en 2010 -jury dont je faisais partie- et comme je l'avais rencontré au salon Lutetia en fin de cette même année, je le lui avais dit en lui donnant les motifs (mais ceci est une autre histoire); l'auteur m'avait avoué avoir lu cette critique , y compris les autres, et avait eu cette formule: "laisse tomber ton boulot de flic et écris des polars".
J'ai par contre beaucoup aimé "Battues", un roman "montagnard" qui n'a pas été sans me rappeler certains polars de Franck Bouysse, et celui-ci, même si j'ai eu du mal à le terminer, parce que c'est quand même un récit "dur", bien plus dur que ceux que Simenon qualifiait de tels (en fait, ses récits ne mettant pas en scène le commissaire Maigret).
Quant au fait de savoir s'il existe une lueur d'espoir pour les personnages centraux de ce roman noir, si l'on peut faire table rase du passé, si celui-ci impacte à jamais notre présent et futur, si l'on en sort indemme, il vous faudra lire "Le Mur, le Kabykle et le marin".
Commenter  J’apprécie          30
Ma deuxième aventure littéraire avec Antonin Varenne. La première avait été parfaite avec Fakirs. Celle-ci n'est pas mal non plus.

J'aime le style de cet écrivain. Rien de flamboyant, de lyrique ou de particulièrement marqué. Mais l'histoire coule, on rentre immédiatement, on s'imprègne, on vit avec chaque protagoniste. A ce titre, le premier chapitre est particulièrement réussi.

L'histoire est bien menée ; les deux époques se complètent agréablement, le rythme est assez enlevé sans être frénétique. L'auteur aborde la guerre d'Algérie, une page sombre de l'histoire française, souvent minimisée dans les livres d'Histoire. Dans ce livre, où nous apprendrons qu'une grande partie des événements sont issues de l'histoire familiale de l'auteur, il choisit le ton juste, lucide sans être donneur de leçons, suffisamment inconfortable pour que le lecteur se demande comment il aurait réagi dans ce type de situation.

Au final, ce roman est encore une fois très agréable et confirme la bonne opinion que j'ai de cet auteur. Je ne peux que conseiller de plonger dans son univers.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (218) Voir plus



Quiz Voir plus

trois mille chevaux vapeur

Comment se nommait l'homme qui mort au tout début du livre dans un accident de cheval ?

Cole
Neville
Rooney
Scholes

20 questions
17 lecteurs ont répondu
Thème : Trois mille chevaux vapeur de Antonin VarenneCréer un quiz sur ce livre

{* *}