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4,08

sur 3955 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Selon moi, le roman Sous les Vents de Neptune est assez abracadabrant. Un meurtrier septuagénaire et retors qui traque et suit Adamsberg jusqu'en Amérique pour lui imputer un crime est plus qu'audacieux. le lecteur y est laissé à lui-même et c'est seulement après plusieurs centaines de pages qu'on saisit l'intrigue. Et que dire de l'image que renvoit l'auteure du Canada! Seuls les nonagénaires portent encore des noms semblables à ceux dont elle affuble les personnages. À part deux ou trois expressions, le langage qu'elle fait parler aux Canadiens français est honteux. Aucun officiel ne s'adresserait ainsi. Peut-être l'auteure aurait-elle dû séjourner elle-même au Québec ou mieux se documenter. Bref, il s'agit d'un roman décevant.
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Pour une lectrice québécoise, ce Vargas qui se passe chez vos cousins québécois, chez moi, n'est pas son meilleur. Plus que déplaisant ces dialogues québécois (elle a inventé ce vocabulaire? ) supposément plein d'humour. Bon l'intrique est correcte mais il y a trop de personnages qui ne servent pas à grand chose. Et puis, les histoires d'accent...on peut passer à autre chose ? Bref, ce ne serait pas ce titre que je recommanderais. Zéro étoile. Désolée.
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C'est e seul Fred Vargas que j'ai lu et je n'ai pas aimé. J'ai trouvé les personnages très caricaturaux, le style sans intéret, l'histoire et les reminiscence trop grandiloquent, pour un tout un peu lourdingue.

Un manque de finesse en tout points, et du coup pas pour moi.
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Cette fois le commissaire Adamsberg est confronté à un ennemi personnel, celui-là même qui a fait injustement accuser de meurtre son frère trente ans plus tôt. Sa marque : les trois trous d'un trident. Ses victimes : des jeunes filles. de plus, un séjour au Québec sera l'occasion pour Adamsberg de passer du statut d'enquêteur à celui de suspect.

Bien qu'étant une inconditionnelle de Vargas, j'ai été un peu déçue par celui-ci. Où sont passées la poésie, la fantaisie et l'inventivité de ses précédents romans ? Nous avons ici affaire à une enquête classique sur un serial killer et, n'était ce voyage au Québec qui permet de savoureux développements sur la langue, on reconnaîtrait à peine la marque de Fred Vargas.
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Voici mon 1er Fred Vargas lu. Et je dirai pas mal mais un peu déçue, bilan mitigé.

J'en ai tellement entendu parlé...... C'est comme les films qui viennent de sortir au cinéma, si l'on attend trop avant d'y aller on est souvent déçu car il y a eu trop de médiatisation autour et on s'attend à un truc exceptionnelle, pas piqué des vers !
Ce fut mon cas pour cette auteure. mais attention j'ai dit mitigé, ce qui implique que j'ai un peu aimé quand même !

On connait dès le début l'auteur des meurtres (selon Adamsberg LE commissaire), un peu à la façon de notre cher "dites, ma femmeuuuh" (vous l'avez reconnu quand même , ouiii c'est çà Columbo), donc reste à voir comment prouver que c'est bien la personne incriminée qui est coupable, ce qui parait compliqué et intriguant puisqu'elle est morte. L'intrigue est bien trouvée et le dénouement pas mal, même si je me suis un peu doutée de certains éléments (pff c'est compliqué d'exprimer sa critique sans dévoiler trop de chose !).

Par contre j'ai trouvé qu'il y avait trop de personnages, pas tous utiles, ce qui donne une lenteur au livre et qui nous fait un peu partir dans tous les sens dans les 150 premières pages. Cela a été trop long à démarrer, même si je comprends qu'il faille bien tout poser avant d'engager l'enquête réellement.

L'histoire qui se passe entre la France et le Canada (notamment le Québec) nous fait découvrir le vocabulaire bien spécial (à nos yeux) québécois. Je l'ai trouvé trop présent même si celui -ci donne une teinte d'humour. Car oui, à moins d'avoir pris option québécois au lycée et d'avoir le diplôme en poche, il faut un dictionnaire à ses côtés pour bien tout comprendre. Démunie des deux , il faut dire que j'ai un peu ramé et finalement coulé tel le titanic. Trop fatiguée à interpréter tout ceci, j'ai donc souvent lu rapidement
: ben oui les gosses par ex , vous imaginez un français dire "allez à bientôt bonjour à ta famille et au fait ma femme embrasse tes gosses !" rien de plus normal sauf que là le québécois peut être fort décontenancé ou (tout dépend de la femme) fort excité ! car les gosses chez eux sont..... roulements de tambours ..les coucougnettes ! Bon ok cette expression est connue mais voilà différentes interprétations peuvent tout changer !

Ahlala, bon pour finir je dirais donc que j'ai bien aimé l'histoire avec son plus de voyage initiatique entre la mythologie et la vie réelle, très intéressant. Mais trop long à démarrer et j'aurais tout de même voulu savoir ce qu'était réellement devenu le juge.

NB : je me plongerai volontiers, dans quelques temps, dans un autre Vargas !
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Après avoir découvert et apprécié la plume de Fred Vargas , (Pars vite et reviens tard ) et plusieurs autres livres de l'auteure, quel fut ma déception à la lecture de ce roman, ou l'action se déroule au Québec, de faux clichés, de fausses expressions québécoises...
Vous manquez de rigueur et professionnalisme dans votre recherche sur le mode de vie des québécois, un petit voyage en Nouvelle France ... vous feras grand bien, pour approfondir vos connaissances sur ce peuple fier, qui a préservé sa langue française dans une mer anglo-saxonne.


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Fred Vargas, quand elle lit un bouquin sur la peste au Moyen-âge, après, elle écrit "Pars vite et reviens tard" et elle gagne beaucoup de sous.
Fred Vargas, elle a aussi lu un bouquin sur les loups-garous, et elle a écrit "L'homme à l'envers", et elle a gagné encore des sous.
Là, elle vient de s'acheter un jeu de Mah-Jong, mais je ne veux pas vous gâcher le plaisir, je n'en dirai pas plus.
Blague à part, ce n'est pas le pire Vargas (il y a bien d'autres titres qui peuvent revendiquer cet honneur), et ça se lirait presque avec plaisir si les invraisemblances plus énormes les unes que les autres ne se succédaient pas à raison de deux par pages...
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Je suis tellement déçue. Je suis en train de lire ce roman de Fred Vargas qui se passe en partie au Québec. Des enquêteurs français viennent faire une visite à la GRC pour apprendre de leurs méthodes. le parler des Québécois est atroce. C'est une expression habitante après l'autre. Des tournures de phrases sorties de nulle part, un accent épouvantable (j'écoute le livre audio) et des descriptions des lieux déconnectées de la réalité. Un bar à Hull "Les 5 dimanches" décoré de têtes d'orignaux. (Hull prononcé /ul/. Un haut fonctionnaire de la GRC insolent, familier et habitant. Ça avait commencé par un capitaine qui ne voulait pas aller "dans le trou du cul du monde appelé Gatineau-Hull". Je m'étais dit que c'était une réaction d'un des personnages qui a peur de l'avion, mais là, je vois que le reste est tout aussi insultant. Je ne comprends pas qu'une femme intelligente comme Fred Vargas ait pu écrire de telles insanités. N'importe quel Québécois aurait pu lui signaler les innombrables erreurs de son texte. Quel manque de rigueur pour une scientifique!!! Je ne peux pas croire qu'elle soit venue ici et qu'elle ait pu écrire ça. Je suis partagée entre l'envie de continuer pour connaître l'issue de l'enquête qui est tout de même intéressante et l'envie d'arrêter le supplice de l'écoute.
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