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Paper Girls tome 1 sur 6
EAN : 9781026810453
Urban Comics Editions (07/10/2016)
3.67/5   157 notes
Résumé :
Au lendemain de la célèbre fête d'Halloween, la petite ville de Stony Stream, Ohio, s'éveille. C'est du moins le cas de Mac, KJ, Tiffany et Erin, quatre jeunes livreuses de journaux. La routine des tournées matinales est enclenchée, jusqu'au moment où leur itinéraire croise celui d'un groupe d'étranges individus encapuchonnés, violents et au langage inconnu ; et d'une mystérieuse machine dont tout semble indiquer qu'elle ne viendrait pas de la Terre... Une découvert... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (33) Voir plus Ajouter une critique
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"Paper Girls", de l'excellent Brian K Vaughan ("Saga", "Y le dernier homme"...) a obtenu, en 2016, deux Eisner Award (meilleur nouvelle série et meilleur dessin).

C'est une histoire qui est un peu dans la mouvance du film "Super 8" de JJ Abrams...Une sorte d'hommage à ce qui est perdu, définitivement : l'enfance ou plutôt ce moment particulier, pile poil entre l'enfance et l'adolescence...Pour Brian K Vaughan ça devait correspondre à l'année 1988 (tiens, comme dans "Paper Girls")
Donc l'enfance mais, du coup, fatalement aussi les années 1980's, (enfin, vous l'aurez compris, c'est surtout une question de génération) : vous savez les K7, le BMX, les walkmans, le magnétoscope, Ronald Reagan...La télé, oh oui la télé mais surtout PAS de web et ça...c'est un truc fondamental en moins...ou peut-être EN PLUS...

Un peu comme dans "Saga", Brian K Vaughan, sur la base d'une réalité très concrète et universelle (ou quasi) greffe un imaginaire délirant et qui envoie du gigot : dans "Saga" les problèmes de couples, la parentalité (on parle de jeunes parents), ici l'entrée dans l'adolescence, les parents que l'on découvre tels qu'ils sont...La différence, c'est que la dimension fantastique est absente de "Saga", on démarre d'emblée dans un univers très éloigné du notre, alors que là l'étrange, le bizarre, l'irrationnel s'abattent soudainement sur une petite ville des "states"...Et c'est donc une bande de pré-ado fille qui doit y faire face, car comme je l'ai dit, dans "Paper Girls" il ne semble pas envisageable de compter sur les adultes...voir préférable de s'en méfier.

Les dessins de Cliff Chiang sont un peu à l'image de ceux de Fiona Staples : ils savent aller à l'essentiel, et mettent l'accent sur l'expression des émotions, privilégient les personnages aux décors (enfin ce n'est pas un scoop pour un comic hein) mais sans faire preuve de la même subtilité...Au final un moment plutôt agréable animé par un groupe d'héroïnes attachantes.
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(Critique pour l'intégrale, pas seulement le tome 1.)

Venant de l'auteur de Saga, ma BD préférée, mes attentes étaient élevées. C'est la sortie de la série Paper Girls sur Prime qui m'a finalement décidé (bien que je ne l'ai pas encore écoutée).

Alors Paper Girls, c'est... Comment dire... C'est comme si la série Dark avait piqué l'esthétique de Stranger Things.

C'est une de ces histoires où tout devient de plus en plus complexe au cours de la lecture. Au point où tu te demandes si l'auteur arrivera à renouer toutes ses ficelles à la fin.

Vaughan y parvient.

L'histoire : On est en 1989. Des jeunes livreuses de journaux (il y a un féminin à "camelot"?) décident, pendant la nuit d'Halloween, de faire leur route ensemble pour éviter les gens louches en costume qui rentrent chez eux. Elles tombent sur une machine à voyager dans le temps défectueuse, et les voilà parties pour une aventure folle. Cela durera toute la nuit pour elle. Mais cela les fera parcourir l'ensemble de l'histoire de l'humanité.

Elles rencontreront leurs elles-mêmes du futur (notre présent) dans des scènes vraiment chouettes. Vaughan explore bien cette tension, des adultes qui cherchent l'approbation de leur soi de 12 ans, tout en ayant complètement oublié leurs préoccupations de l'époque.

Mais surtout, elles deviendront l'épicentre d'une guerre temporelle qui est aussi une guerre intergénérationnelle. Les vieux, d'un futur proche, qui ont inventé le voyage dans le temps, se veulent les gardiens d'une ligne temporelle stable et sans changement. Les jeunes, d'un futur éloigné, qui réclament le droit pour chaque génération de vivre une vie heureuse, croient que le temps doit être changé afin de balayer les erreurs du passé et créer un meilleur avenir pour tous.

Toutes ces thématiques sont abordées avec intelligence et sensibilité.

Vaughan est un génie. &#xNaN
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Il s'agit du premier tome d'une série indépendante de toute autre. Il contient les épisodes 1 à 6, initialement parus en 2015/2016, écrits par Brian K. Vaughan, dessinés et encrés par Cliff Chiang, avec une mise en couleurs de Matt Wilson (et un lettrage de Jared K. Fletcher pour être complet).

La première séquence correspond à un rêve étrange d'Erin Tieng dans lequel elle voit apparaître l'institutrice Christa McAuliffe (1948-1986, première passagère de l'espace à bord de Challenger), puis un démon qui retient sa petite soeur prisonnière dans une salle de classe. le réveil sonne (aux environs de 04h30), il est temps pour elle de commencer sa tournée de distribution de journaux à vélo, dans la petite ville américaine de Stony Stream. Pour ce premier jour, le premier novembre 1988, elle se fait intercepter par un groupe de 3 garçons déjà déguisés pour Halloween qui essayent de lui soutirer indûment un journal. Elle se tire de ce mauvais pas grâce à l'intervention de 3 autres distributrices de journaux à vélo : Mac (Mackenzie Coyle, clope au bec et baladeur à la ceinture), KJ (avec une crosse de hockey en bandoulière) et Tiffany. Pour éviter qu'une telle mésaventure se reproduise, elles décident de former 2 groupes de 2. Quelques minutes après leur séparation, Mac et Erin reçoivent un appel par talkie-walkie des 2 autres.

Une fois que le premier duo a retrouvé l'autre, elles parcourent la ville pour trouver une trace des agresseurs. Elles repèrent une maison en construction dont une fenêtre est étrangement entrebâillée. Elles supposent que c'est là que se cachent les étranges agresseurs et font une découverte très étrange dans le sous-sol : une sorte de capsule spatiale. de retour à l'extérieur, elles finissent par croiser l'un des agresseurs au visage étrangement marqué. Il prend la fuite, mais Erin réussit à récupérer un objet siglé d'une pomme dans laquelle on a mordu.

En 2015, Brian K. Vaughan est un auteur à succès ayant durablement imprimé sa marque dans le paysage des comics grâce à des séries comme Les fugitifs (Runaways pour Marvel) ou Y le dernier homme. Depuis 2012, il caracole dans le top 10 des ventes de comics, avec sa série indépendante Saga, à commencer par Saga tome 1, dessinée par Fiona Staples. de son côté, Cliff Chiang s'est fait remarquer pour son interprétation de Wonder Woman sur des scénarios de Brian Azzarello. L'attention du lecteur est donc éveillée par la nouvelle série de ce tandem. Dès le départ, Brian K. Vaughan établit qu'il s'agit de l'histoire de 4 jeunes demoiselles de 12 ans, à une époque clairement identifiée (en 1988), s'inscrivant dans le genre science-fiction.

Au fil de ces 5 épisodes, le caractère des 4 héroïnes transparaît plus ou moins. Mac est donc la rebelle du groupe, celle qui fume déjà à son âge. le lecteur rencontre sa mère adoptive, alcoolique, son père semble avoir filé récemment. Elle présente une attitude un peu agressive, avec des réparties cassantes, et peur de pas grand-chose. Erin Tieng est beaucoup plus normale, décidée à accomplir son travail de distribution de journaux, ne sachant pas comment se dépatouiller de ces 3 adolescents jouant de leur nombre et de leur âge pour l'intimider. Il est dit de KJ qu'elle est de confession juive, sans que cela n'ait d'incidence sur le récit, ou sur son comportement. Enfin concernant Tiffany, le lecteur apprend qu'elle a passé des heures à jouer à Arkanoid, version console de salon antédiluvienne. Au bout de 5 épisodes, l'histoire personnelle de ces demoiselles n'a guère été développée, leur caractère n'a guère été étoffé. Leur particularité la plus saillante est leur sens de la répartie, entre elles, face à des adolescents mâles et même face à des adultes.

Brian K. Vaughan écrit donc une histoire d'aventure très ancrée dans la réalité, dans le quotidien. Il a choisi l'année 1988 parce qu'il avait lui aussi 12 ans à cette époque. Il émaille son récit de références culturelles à cette époque : Christa McAuliffe, Les griffes de la nuit, la chaîne de magasin Radio Shack, l'émission de télévision Today , Show, les rondes de citoyens de type Neighborhood watch, quelques films comme Peggy Sue s'est mariée ou Star Trek IV, la présidence de Ronald Reagan, ou encore une référence au groupe de rap Public Enemy (par exemple It takes a nation of millions to hold us back sorti en 1988), le début de l'épidémie de SIDA. Outre ces références faciles à repérer même pour un européen, il y en a d'autres beaucoup plus pointues, engendrant une douce nostalgie pour des lecteurs américains.

Plus de 95% des séquences mettent en scène les 4 jeunes filles, soit ensemble, soit une ou deux. le scénariste a donc conçu sa narration en la centrant sur elles. le lecteur adulte apprécie leur courage, leurs réparties bien senties, mais il a du mal à croire à ces donzelles si courageuses, pleines de ressources et apparaissant comme les principaux êtres humains de la ville. Mis à part la mère de Mac, les autres adultes sont aux abonnés absents les rares garçons brillent par leur manque de jugeote et leur manque de morale. le lecteur adulte éprouve de réelles difficultés à croire dans ces 4 héroïnes à la personnalité peu épaisse, aux capacités providentielles (il y en a une qui est capable de conduire une voiture et trouver son chemin pour emmener une copine blessée à l'hôpital, de nuit qui plus est). Vaughan donne l'impression d'écrire spécifiquement pour un lectorat de lectrices de 12 ans, finissant par donner un aspect de produit fabriqué sur mesure. À l'issue de ces 5 épisodes, le lecteur n'a aucune idée de la durée de la série, c'est-à-dire du nombre d'épisodes prévus par Vaughan.

Dans ce tome, le lecteur a assisté à l'apparition d'un élément de science-fiction (une machine spatiale, des individus semblant provenir d'une autre époque, et d'étranges volatiles). Ces demoiselles passent d'une situation dangereuse à une autre, découvrant à chaque fois une nouvelle pièce du puzzle et y subissant parfois des blessures, sans que le lecteur adulte n'éprouve d'empathie pour leur situation, ou ne s'inquiète pour leur devenir. Au bout de ce premier tome, l'intrigue a du mal à décoller, et les concepts servis par le scénariste n'ont rien d'intriguant. Les 2 meilleures scènes concernent l'usage d'un revolver avec tous les risques associés, et une remarque sur les risques du voyage dans le temps en prenant en compte que la Terre se déplace dans l'espace. L'intérêt du lecteur se réveille un moment en voyant la mention d'un personnage appelé Editrix (peut-être le début d'un méta-commentaire), mais son niveau d'attention retombe aussitôt.

Dès l'image de couverture, Cliff Chiang prouve qu'il sait donner du caractère à ces 4 jeunes filles, et qu'il n'en fait pas des adolescentes déjà formées, avec des courbes exagérées. Il les dote de tenues vestimentaires distinctes et réalistes. Les déguisements des 3 garçons attestent qu'ils ont été réalisés avec les moyens du bord. La mère de Mac porte également des vêtements ordinaires et pratiques : une paire de jeans, une chemise portée sur un teeshirt. Les rues de cette petite ville dortoir se conforment à l'urbanisme attendu. L'aménagement intérieur des pièces est fonctionnel, avec des meubles bon marché, pour un intérieur impeccable dans la maison d'Erin, et un désordre négligé dans la maison de Mac. La séquence dans les bois en bordure de ville (cinquième épisode) montre que l'artiste ne s'intéresse pas vraiment à l'essence des arbres, ni à leur implantation, mais l'impression globale est satisfaisante.

Le lecteur est décontenancé par la séquence onirique en ouverture, mais l'artiste réussit à combiner des éléments normaux, avec d'autres plus fantaisistes pour donner une impression satisfaisante de rêve. le réveil et les préparatifs très matinaux d'Erin Tieng donne lieu à une séquence muette de 5 pages, très faciles à lire, avec un niveau de détails impressionnants, tel que l'aménagement de la chambre qu'elle partage avec sa petite soeur ou le fouillis dans le tiroir où elle cherche son stock d'élastiques pour mettre autour des journaux. Dans l'épisode 4, Chiang réalise 4 pages en format paysage, sur la base d'une grille de 3 cases par 3, à nouveau silencieuse, pour transcrire les souvenirs de Tiffany, à nouveau pour un collage très évocateur et très réussi. Il reproduit avec conviction les traits de Ronald Reagan, immédiatement reconnaissable.

Globalement, la narration visuelle de Cliff Chiang s'avère assez dense et facilement lisible, avec une capacité impressionnante pour rendre la banalité de cet environnement de ville dortoir. Les personnages conservent une apparence normale sans être banale, et chaque action se suit facilement. L'artiste ne cherche pas à épater son lecteur mais à donner de la consistance au scénario en étant en phase avec le ton et l'ambiance voulus par le scénariste, ce qu'il réussit parfaitement. le metteur en couleurs réalise un travail discret en retrait des traits encrés des dessins, parfaitement amalgamé auxdits dessins. Chiang n'a d'autre choix que de représenter ce que prévoit le scénario, y compris des éléments de science-fiction datés (l'espèce d'armure de pseudo chevalier) qui donnent l'impression d'être factice, en plastique sortant d'un film de SF au budget limité.

Le lecteur adulte ressort e ce tome avec un sentiment de frustration. Il voit bien que Brian K. Vaughan a conçu son récit sur mesure pour un lectorat précis, avec la possibilité pour les lecteurs plus âgés d'apprécier la nostalgie qui se dégage de cette évocation de l'année 1988. Mais pour un lecteur européen cette reconstruction perd de sa force, du fait de l'éloignement culturel. Il ne parvient pas à faire exister ses personnages, au-delà d'un simple dispositif narratif, et son intrigue un peu ténue manque de consistance ou d'imagination. Cliff Chiang effectue un travail remarquable de cohérence et savoir-faire, sans réussir à apporter un supplément narratif qui permettrait à l'histoire de prendre une autre dimension. 3 étoiles pour un lecteur adulte, vraisemblablement 4 étoiles une jeune demoiselle emportée par les aventures de ces jeunes filles décidées et qui ne s'en laissent pas remontrer.
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Un coup de coeur pour certains aspects de cette bande dessinées, les dessins sont vraiment de toute beauté et j'ai beaucoup aimé ce retour dans les années 80 étant née à cette période.

Cependant même si j'ai aimé suivre ces quatre adolescentes qui livrent des journaux je trouve le récit un peu confus Beaucoup de choses se passent dans cette ville des Etats-Unis en très peu de temps, je pense tout de même lire les prochains tomes qui pourront m'éclairer sur le sujet

Une lecture cependant très agréable en cette période de l'année
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Films, séries télés, et maintenant comics, la nostalgie actuelle pour les années 80 semble sévir partout. Et si le parfum de films cultes comme les Goonies ou ET flotte sur ces récits, le fantastique ou la SF s'invitent souvent dans la partie, comme pour la dernière oeuvre citée.
Paper Girls reprend le même principe, avec en plus Brian K. Vaughan (le super scénariste derrière Y : le dernier homme ou plus récemment Saga) et Cliff Chiang. le titre se voit même gratifié dès ses débuts de l'Eisner Award de la meilleure série et du meilleur dessin. Tous les éléments semblaient donc réunis pour me plaire.

Ce premier tome commence d'ailleurs très bien, l'ambiance fin des années 80 est très bien retranscrite, ne sombrant jamais dans la facilité des références qui pourraient servir de béquilles à un scénario faiblard, ici cela pose le contexte et décor de manière solide et intelligente.
Cependant, l'intérêt est clairement porté sur les personnages : ce groupe de jeunes filles livreuses de journaux hautes en couleur, aux caractères bien trempés, parfois badass, reste crédible et nous délivre un message progressiste et féministe amené toujours de manière organique et intelligente.
Les premiers éléments de SF, très légers au départ, commencent à apparaître, et la fin du premier numéro (ou chapitre) recèle d'ailleurs un cliffhanger qui donne tout de suite envie de dévorer la suite.

Suite qui s'avérera malheureusement un bon cran en-dessous. Les personnages ne se verront finalement pas tant creusés que ce que l'on aurait pu espérer, la faute à une avalanche de péripéties et un déluge d'éléments SF qui ne m'ont juste pas parlé du tout (là où sur Saga j'accroche totalement), et qui ne sont en plus explicités à aucun moment, laissant une sensation de flou pas toujours agréable ou bien gérée.
Et le cliffhanger de fin de tome s'avère prévisible au possible.

Mitigé quant aux prestations de Cliff Chiang sur ses précédentes oeuvres lues (pas convaincu par son passage sur Detective Comics, et un peu trop irrégulier sur Wonder Woman), l'artiste livre ici un travail remarquable, fonctionnant et collant parfaitement à l'ambiance et au dynamisme du récit. Si les détails de ses plans larges sont parfois un poil brouillon, ses plans rapprochés et surtout ses gros plans sur les visages de nos jeunes filles sont superbes, très expressifs, avec un vrai cachet et une douceur, bien aidé en cela par son compère et coloriste Matt Wilson, les deux formant un duo de qualité sur ce titre. de plus, l'artiste se permet même un grain de folie pour la composition de quelques pages.

Bref, sentiment mitigé à la fin de la lecture de ce premier tome. Il laisse curieux et donne quand même envie de lire la suite, avec l'espoir que la qualité soit au rendez-vous, mais avec également la crainte que le titre fasse finalement flop et que son succès fulgurant ait été peut-être un peu trop précipité.
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critiques presse (3)
BoDoi
21 novembre 2016
Rien ne manque à la reconstitution. Mais à naviguer en terrain trop familier, on en vient à regretter de ne pas être davantage surpris par cette aventure.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
14 octobre 2016
Une intrigue menée tambour battant qui suscite plus de questions qu' elle n'apporte de réponses, mais laisse entrevoir de larges perspectives alléchantes pour les prochains numéros.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
04 octobre 2016
Un premier volume qui intrigue intelligemment, qui pose les bases d'une histoire tout en rebondissement.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
[Erin] Tu as été la première. La première livreuse de journaux du coin à ne pas être...un livreur.
[Tiffany] Hé, j'ai été la première enfant de chœur, bien avant que Mac ne reprenne le vélo de son frère.
[KJ] Ouais, Tiffany, c'est un peu la Amelia Earhart des trucs qu'ont aucun intérêt.
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-Alice est ma belle-mère, en fait. Elle a connu mon père aux A.A.
-C'est quoi que tu comprends pas dans anonymes ?
-Je sais pas, c'est quoi que tu comprends pas dans ne pas boire ?
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- Que... ? Que s'est-il... ?
- Je ne sais pas, mais on devrait t'interdire de toucher à des trucs qui peuvent accidentellement tirer sur les gens.
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- Un genre de... bombe martienne !

- Pourquoi Mars voudrait faire péter une cave à Cleveland ?
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Je ne ferai pas un pas de plus dans cette diarrhée tant que vous ne nous aurez pas dit qui vous êtes et ...
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