59 minutes d'interview sur
France Culture, c'est déjà une bonne introduction qu'on peut écouter en suivant le lien attaché ici.
Par la voix du démographe, le rapport entre la démographie et l'écologie est l'objet d'une modélisation rétrospective, qui n'est pas exactement le sujet de mon inquiétude et de mes ruminations.
La thèse « The population bomb » de 1968 semble être le point culminant d'une époque où la croissance pouvait poser problème.
C'était le temps des idéologies et des politiques de régulation des naissances.
Aujourd'hui il ne resterait "simplement" qu'à débattre des formes ou des modalités de la Croissance... : « Dans des pays comme l'Inde ou la Chine, on est obligé de dire qu'il faut que la situation s'améliore, au vu de l'éducation, de la santé, etc…Donc il faut quand même une forme de croissance économique à un moment donné. Simplement, c'est la forme de la croissance qui n'est pas débattue. »
Sous l'autorité de sa discipline, l'auteur me laisse comme un idiot de l'espace. Certes, il y aurait certainement un terrain à la critique en lisant entièrement ce livre, mais ce ne sera pas ma prochaine lecture.
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