Un préjugé courant nous dit que la prose, pour être bonne, réussie, destinée à la classicisation doit être longue.
Les travaux de nombreux auteurs réfutent catégoriquement un couloir de vue aussi étroit.
Adrian Voicu rejoint ces écrivains, parmi lesquels bien sûr brille I. L. Caragiale, avec ses "moments", Tudor Mușatescu et tant d'autres, locaux ou étrangers.
N'oublions pas que l'apparent « roman » de Mircea Horia Simionescu, Dictionnaire ...
>Voir plus