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3,69

sur 167 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le roman s'intitule Une Confession, mais ce que j'ai ressenti, c'est :"Une construction" ... parce que c'est à la fin, qu'on se dit :" Ah , oui d'accord, l'auteur m'a bien eue "...car la fin est très attendrissante et inattendue ( je n'en dirai pas plus, pour votre bonheur de lecteur ).
Une femme fait une chute mortelle en tombant d'une falaise, a-t-elle été poussée par son mari ? Est-ce un accident ? L'histoire démarre un peu avant, par des extraits du journal du mari John Duxbury, un homme sans histoire. marié, un fils, qu'il a pris avec lui dans son entreprise qui ne connaît pas la crise. Bon gestionnaire, il a prévu de lasser son imprimerie à son fils, après sa mort. Vraiment , un homme sans histoire, excepté qu'il en bave avec sa femme, laquelle le domine et se comporte en vraie garce. Mais chez ces gens là, on ne divorce pas. Et puis ils s'aiment. ... à leur façon...
Un mariage qui est comme une faillite, un long délitement sans qu'apparemment on ne puisse mettre le doigt sur un " coupable" , un événement qui aurait tout précipité vers le "rien".
Un formidable gâchis, une perte de temps...
Une seule voix , et des dialogues, auxquels vient se rajouter les tribulations du flic qui va enquêter sur cet " éventuel" meurtre, puisque qu'un témoin, trois jours après, s'est déclaré.
Le début est "plan plan", la narration un peu "empesée". Et de penser que ce roman est un peu surcoté, un peu " démodé", jusqu'à la fin. Et là, soudain ,tout fait sens ; je me suis dit que l'auteur avait du talent pour l'enfumage, qu' à la fin , tout était "repositionné" ...
"Une confession" intéressante, pleine d'un charme un peu surrané...

Challenge Mauvais genres 2020
Challenge Multi défis
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Ce que j'ai ressenti:


***Les tourments de John Buxbury.
Avec son journal intime, destiné à son fils Harry, John Buxbury, cinquantenaire moyennement heureux, revient sur sa vie, où il s'épanche sur son mariage qui part à va-l'eau, et son quotidien de routine pépère. Des confidences couchées sur le papier, tout en intimité, un échange interposé entre un père et son fils avec des secrets dévoilés et quelques mots d'amour. Des pages sans prétention, juste pour laisser une trace d'une vie ordinaire. Sauf, que le drame s'en mêle et frappe aussi soudainement qu'une mauvaise chute. Et c'est toute une cellule familiale qui éclate avec ce deuil foudroyant et les accusations qui tombent, comme une mauvaise pluie sur un chemin au bord d'une falaise…
D'un point de vue à l'autre, qu'allez-vous penser de cet homme qui se confie à vous?

« Des gens chutent tout le temps d'une falaise. Beaucoup en décèdent. A croire que c'est la raison même des falaises. Elles sont là pour qu'on puisse en tomber. Pour qu'on puisse s'en faire précipiter. »

***Le calvaire de Harry Harker.
Toute la tache difficile de cet inspecteur, sera de déterminer si, la chute de Maude, est un accident ou un meurtre. Et là, tout le génie de l'auteur est d'avoir su créer une ambiance électrique, basée sur le doute raisonnable, la présomption d'innocence, la crédibilité des témoins, les inimitiés et Une confession d'un homme veuf. Il marche sur un fil tendu, Harry Harker, mais il a à coeur de faire son boulot, on ne peut lui retirer cette qualité…De fil en aiguille, à force de patience et de colères, il recueille des mots soufflés et des pistes vertigineuses, et j'ai été scotchée par cette récolte de minis cailloux blancs qui le guide vers cette confrontation finale.
D'un plan de vue à l'autre, qu'allez-vous penser de cet homme obstiné?

« Tout homme est un perpétuel menteur, un perpétuel acteur. »

***Le journal d'émotions de Stelphique.
J'ai connu un moment de plaisir. de bonheur, même, à lire Une confession, un roman oublié depuis des années, mais réédité cette année, par la géniale maison d'édition Sonatine. C'était maîtrisé de bout en bout, jusqu'au final étincelant. J'ai été bluffée par l'aspect psychologique et toute la finesse de cette intrigue. L'intelligence dans la simplicité et le petit air rétro délicieux dans cette atmosphère tendue, c'était génial! John Wainwright joue avec nos nerfs, nos certitudes, nos sentiments pour nous déstabiliser et nous emmener au plus près d'une vérité qu'on ne peut voir venir. J'ai adoré!
Après une telle chute, qu'allez-vous penser de ce formidable roman inconnu?

"Tout ce qui est vivant meurt un jour. Chaque homme. Chaque femme. Dans une immense majorité, ils s'éteignent de mort naturelle. D'autres périssent accidentellement."



Ma note Plaisir de Lecture 9/10
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Un vrai roman policier ! Ce n'est pas un hasard si George Simenon avait repéré le petit chef d'oeuvre de John Wainwright. Comme chez le maître du genre, on y retrouve le même sens de l'intrigue mais surtout, la capacité à faire d'une enquête policière le prétexte à la satire sociale. Car au-delà du crime présumé, « Une confession » est le récit d'un bonheur conjugal en chute libre (j'adore cette citation tirée du film Love Story « L'amour, c'est ne jamais avoir à dire qu'on est désolé »), la critique en règle de l'hypocrisie bourgeoise, la mise en évidence du plus grand des maux contemporains : le jugement hâtif des apparences. Pas besoin d'être trash pour impressionner son lecteur. En cela, le livre de Wainwright est aussi un croche-pied involontaire à tous les thrillers de notre époque, « du porno soft et sanglant débité par un quelconque idiot à l'imagination débridée » (p202). Dans ce roman, il y a d'abord les faits : une femme, partie en ballade avec son mari, qui tombe d'une falaise et se tue sur les rochers. L'auteur nous place en spectateur privilégié d'une confrontation des points de vue, ceux du mari, du fils, du témoin et de l'inspecteur chargé de l'enquête. Ce n'est que dans les toutes dernières pages que la vérité est enfin dévoilée : du grand art, à l'ancienne. En fait, ce roman offre un exemple édifiant de construction d'un roman policier : on prend un drame intime (somme toute assez banal), on le détricote, on sème les indices, on trace les fausses pistes, on complexifie les évidences, on installe les pièges… le tableau lisse et vernis devient une troublante mosaïque. Wainwright aime passionnément ses personnages, sans favoritisme ou manichéisme. Il en distille finement la psychologie, adresse au passage ce message au lecteur : ne juge pas trop vite, tu pourrais être l'un d'entre eux, ne te reconnais-tu pas dans leurs faiblesses ? Merci à @sonatineeditions d'avoir ressorti ce bijou des placards.
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Chaque soir, John Duxbury s'isole dans son bureau. Il allume sa pipe avant d'ouvrir un carnet in-quarto à couverture rigide dans lequel il rédige son journal intime. S'adressant à son fils, il livre ses états d'âme et revient sur l'échec de son mariage. Âgé de cinquante ans, il est à la tête d'une entreprise florissante qui lui assure des revenus confortables. Mais il vit mal le lent naufrage de son couple. le voilà contraint de faire chambre à part et de subir les humeurs de Maude, une épouse dominatrice qu'il continue d'aimer malgré tout. Et puis ces notables s'accrochent au vieux carcan de la morale victorienne : endurer, oui ; divorcer, sûrement pas. Sur les conseils de leur fils, John et Maude partent en week-end sur la côte anglaise. En ce mois de décembre, la météo est exécrable. le couple part se promener le long du littoral quand soudain, la balade tourne au drame. Maude se tue en chutant d'une falaise. Les policiers concluent qu'il s'agit d'un accident. Mais un doute va bientôt naître…

En publiant ce roman inédit en France, les éditions Sonatine nous permettent de découvrir un auteur oublié. L'éditeur reprend en bandeau le commentaire d'un certain Georges Simenon qui figurait sur l'édition anglaise. Sacré parrainage ! Il est vrai que ce roman a tout pour lui plaire puisqu'on n'y trouve ni effusion de sang, ni police scientifique, ni détective hard-boiled. Tout est affaire d'intuition. L'enquête est menée par Harker, un inspecteur infirme aux méthodes peu ordinaires. Sans preuve, ne pouvant se fier à l'unique témoignage, il va rencontrer l'entourage plus ou moins proche de Duxbury pour se « faire une idée ». Doté de la ténacité d'un terrier, il va s'attacher à gratter le vernis de respectabilité de la bourgeoisie anglaise. Et sous ses coups de crocs, les faux-semblants vont s'effondrer comme un château de cartes. Un roman incisif sur l'institution du mariage qui n'a pas pris une ride.

Je remercie Sonatine et Netgalley pour ce partenariat.
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La vie est ironique. John Wainwright avait écrit "À table", qui donna l'excellent film "Garde à vue", avec Michel Serrault, Lino Ventura, Romy Schneider et Guy Marchand et si son roman eut du succès, apparemment, ce ne fut pas le cas des autres.

Et voilà que Sonatine nous sort de son chapeau un autre chef-d'oeuvre de cet auteur, mais inconnu, celui-là ! Comment cela se fesse-t-il ? Un roman à succès et un autre qui dormait ?

On aura attendu 35 ans avant de pouvoir le lire dans la langue de Molière mais je pense que cela valait la peine d'attendre.

Confession, c'est John Duxbury qui se confie à son journal, lui confiant ce qui ne va pas dans son couple, mais sans entrer dans des détails scabreux car ce journal est pour son fils.

À la lecture de ses pages, on voit bien qu'il y a une couille dans le potage entre lui et Maude, son épouse, qui est aussi folichonne et enjouée qu'un discours de notre roi des Belges à nous, Flupke Ier.

C'est vous dire l'amusement et la folle ambiance qui règne chez le couple Duxbury dont madame pense qu'au-delà d'un certain âge (50 ans), faire des folies de son corps n'est plus permis.

Vous comprendrez que lorsqu'elle boira son bouillon de onze heures en glissant du haut d'une falaise (J'ai glissé, chef) j'en ai presque souri de contentement.

Maintenant, quant à savoir si monsieur son mari l'a poussé ou pas, c'est une autre histoire et il faudra un enquêteur aussi tenace qu'un Columbo, avec les petites cellules grises d'un Poirot et la perspicacité d'un Holmes pour démêler ce sac d'embrouilles.

L'inspecteur Harry Harker aurait bien besoin de la baguette magique de Harry Potter…

Non, on ne commence pas ce roman dans l'espoir de lire un scénario à la 24h chrono car l'allure est plus proche de celle d'un vieil épisode de l'Inspecteur Derrick que d'un Jack Bauer sous amphétamines.

Mais nom de Zeus, Marty, quelle ambiance ! L'Angleterre, ça vous change un roman policier, ça vous le présente sous un autre jour, ça vous le sublime avec presque rien et ça vous tient par la barbichette aussi bien qu'un épisode de GOT (mais avec les dragons en moins).

L'auteur a su jouer avec les différents personnages, nous faisant suivre le journal de John Duxbury, mais aussi l'enquête de Harry ou de différents policiers, nous présentant par la même occasion toute une galerie de personnages des plus intéressants.

Duxbury est-il coupable, oui ou non ? le témoin est-il fiable ? Parce que vu ainsi, ça sent un peu la vengeance… Et si culpabilité il y a, comment la prouver avec ce témoin aussi costaud qu'un vieux Carambar oublié au soleil ?

Véritable travail de Petit Poucet, enquête minutieuse partie de rien, Harry Harker n'a pas la gouaille d'une capitaine Marleau mais pour ce qui est de rassembler les petits détails tels des petits cailloux blancs disséminés dans tous les coins, on peut lui faire confiance.

Voilà un roman policier qui m'a accroché, qui m'a tenu en haleine sans pour autant mettre du suspense à toutes les pages et l'auteur, homme talentueux qu'il est, a encore su nous réserver du dessert pour le final et me trouer le cul.

Un policier qui joue avec nos nerfs, nos certitudes, nos pensées, pour mieux les chambouler et nous étourdir à la fin. Des comme lui, moi, j'en redemande !

Messieurs dames de chez Sonatine, continuez de fouiller les vieilles caisses de romans inconnus d'auteurs connus et donnez-nous encore un tel plaisir littéraire.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un roman noir comme je les aime, découvert grâce à la critique de nameless.
Clairement ce qu'il n'est pas : un roman gore, aux courses poursuites haletantes, bourré d'hémoglobine, de bimbos et de tueurs sans foi ni loi.

Ici le flic a un petit côté acerbe qui me plait bien et il utilise son cerveau plutôt que ses muscles.
J'ai pris un réel plaisir à suivre les personnages, chacun bien détaillé, le flic bien sûr, le "coupable ou pas", la victime, le témoin instable et trop sensible, le fils honnête.... Chacun se dévoile progressivement. J'avoue avoir eu une petite tendresse pour le témoin complètement dépassé, plongé dans des questions presque philosophiques. Et pas stupides !
Un livre que j'ai vraiment apprécié. Que j'ai conseillé à mes filles. Un bon moment lecture.
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Une confession est un roman policier datant des années 1980 qui n'a pas pris une ride. Je découvre John Wainwright avec ce roman et je dois dire que ça a été une belle surprise pendant toute ma lecture. Cependant, je suis un peu déçue par le dénouement que j'ai trouvé bien trop rapide.

On fait la connaissance de John Duxbury à travers les confessions qu'il livre a son journal intime et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'est pas le plus heureux des hommes en mariage. Son épouse est extrêmement difficile à vivre mais il fait preuve d'une grande patience depuis bien des années. Lors d'une balade a deux, elle chute d'une falaise et se tue sur le coup. Banal accident mais quand un témoin vient affirmer avoir vu John pousser son épouse, la police est confrontée à un dilemme. Qui ment et qui dit la vérité ?

Pendant toute la lecture, c'est la question que l'on se pose et c'est uniquement dans les dernières pages que l'on connait le fin mot de l'histoire. John est un personnage très complexe tout comme le témoin et l'auteur a magnifiquement réussi à donner de la profondeur à nos deux hommes. La psychologie des personnages, leurs pensées, leurs motivations et mobiles sont vraiment bien décrites. La narration et le rythme est lent, on est loin d'un thriller palpitant aux multiples rebondissements. Ici, c'est un vrai roman policier qui nous est présenté et l'on déguste chaque page. Pas de police scientifique type Les experts, mais uniquement un policier qui utile sa tête pour trouver des réponses. On est de moins en moins habitué à cela dans les romans ou films et c'est agréable de revenir à ce genre de récit de temps à autre.
Il y a aussi un grand travail de recherche sur l'investigation, sur le travail des policiers, le déroulement des enquêtes et la hiérarchie de la police anglaise. le lecteur se régale de chaque détails et jusqu'au bout, on doute.

Au niveau des personnages, je me suis attachée à John, à l'image qu'il essaie de donner de lui-même, du chef d'entreprise, mari aimant au coeur de cette Angleterre traditionnelle des années 1980. J'aurai aimé connaitre son épouse un peu d'avantage et surtout ne pas uniquement le point de vue du mari, mais que ses propres pensées soient révélées.

Par contre, j'ai trouvé le retournement final un peu bâclé. Il arrive bien trop vite et n'apporte pas grand-chose à l'histoire a l'exception de la vérité sur la mort de Maude.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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"Une confession" celle d'un homme, John Duxbury, à la tête d'une petite imprimerie, marié à Maude. Un mariage guère heureux, baignant dans une atmosphère d'aigreur et de conflit quasi permanent. Quelques jours de vacances leur feront peut-être du bien... mais Maude fait une chute mortelle lors d'une promenade. Accident... ou meurtre ? Un témoin pourrait en effet changer la version officielle...

"Ine confession" donc, mais aussi une enquête, menée par l'inspecteur Harker, un homme rigoureux, implacable, qui poussera Duxbury dans ses derniers retranchements. Il faut dire qu'il n'a guère le choix, au vu de la fiabilité du témoin, Foster, un vrai pleutre. Globalement, ce récit, plutôt bien mené, est néanmoins marqué par une ambiance assez lourde, pesante, un tantinet austère, qui dessert peut-être un peu l'histoire à mon sens...

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Voilà un ouvrage qui avait échappé aux grandes maisons d'édition ; mais pas à l'immense Simenon qui l'avait lu en son temps en anglais. Les éditions Sonatine vienne de réparer ce malheureux raté.
C'est pourtant une histoire simple, banale. Un chef d'entreprise fondu de travail, qui vit depuis des lustres aux côté d'une femme devenue transparente. Un mariage de façade, d'habitudes, de non-dits. Personne n'a plus rien à se dire, mais on reste ensemble parce que c'est ainsi.

Et parce qu'un jour, le fils du couple qui un jour prendra la succession du père au sein de l'entreprise, incite ses parents à prendre quelques jours de repos, ces derniers s'octroient donc une halte dans un très bel hôtel sur la côte anglaise.

Un faux pas plus tard, et c'est le drame ; Madame chute et meurt ; l'accident banal…oui, mais….

Voilà un roman noir anglais jusqu'à la dernière ligne. Tout n'est que flegme organisation et méthode. Un roman d'atmosphère qui aurait pu lasser, mais qui au contraire s'avère très intelligent dans sa construction.
Quatorze parties le constituent ; parties de longueurs inégales et de formes différentes. L'auteur multiplie les points de vue, et décuple donc l'intérêt du lecteur qui de fait ne s'ennuie jamais.

La forme compense à merveille une atmosphère typique de roman anglais beaucoup plus axé sur la psychologie des personnages que sur l'action.

John Wainwright, par l'intermédiaire de Harry Harker, le policier enquêteur, explore le couple dans son intimité, et dans la société anglaise des années 80. C'est avec un certain délice que l'on se replonge dans une époque que les moins de vingt ans pourraient qualifier de moyen-âge tant les moyens de communication ou techniques d'investigation étaient rudimentaires.

Tout cela donne un côté décalé et désuet à ce roman plein de charme.

Il fallait la force de conviction de Poirette (redoutable ce Monsieur, vous dis-je ) pour m'orienter vers cet ouvrage, moi qui aime plus l'action que l'atmosphère.

Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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 Un tres bon roman, extrêmement agreable à lire. le scénario est simple (sans pour autant être simpliste) mais son traitement est un modèle du genre. La psychologie des personnages est très bien brossée et l'écriture est d'une fluidité remarquable (l'auteur appuie régulièrement sur certains mots, en les écrivant en italique, et cela amène une réelle pertinence). Un auteur à découvrir.
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