« Dina de Reinsnes n’avait pas de chien, ni de confident. Mais elle possédait un cheval noir – et un garçon d’écurie roux. » (p. 152)
Un halo de folie encerclait la jeune femme dépenaillée, la chevelure en désordre et les yeux hagards.
Je glisse de pièce en pièce, entre les meubles, entre les gens.
Là, je peux faire chanceler les gens les uns après les autres. ils sont si mauvais joueurs. ils ne savent pas qui ils sont. Par un mot, je peux faire vaciller leur regard. Les gens sont inexistants.
La vengeance de Dina pouvait être terrible. Il commençait à la connaître maintenant. Ce qu'elle voulait, c'était posséder les autres sans être elle-même possédée. (p139)
« C’était la première fois qu’il se rendait compte qu’aucune limite n’existait pour Dina. Qu’elle ne craignait le jugement de personne. » (p. 93)
Le chagrin, c'est les images qu'on ne peut pas voir, mais qu'il faut porter quand même
C'était dur d'être le père d'une diablesse.
Il ne l'avoua jamais à personne. Mais il avait reçu une bonne trempe de sa solide progéniture.
Que tout était en fait prédestiné. Que chacun était un outil dans la vie des autres. Que certaines actions pouvaient sembler terribles aux yeux de certains, mais pouvaient tout aussi bien être une bénédiction.
La vengeance de Dina pouvait être terrible. Il commençait à la connaitre maintenant. Ce qu'elle voulait, c'était posséder les autres sans être elle-même possédée.
Elle prenait de la nourriture ou bon lui semblait et n'était jamais à table.
Elle passait sa journée à jeter des pierres sur les gens qui venaient à la ferme.
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