Si les communs comptent sur leur gouvernement pour résoudre leurs problèmes, dans la société des Fables nous attendons de vous que vous preniez votre vie en main. Notre seule préoccupation est que vous enfreigniez notre loi la plus vitale : aucun fable ne doit avoir, par son action ou son inaction, révéler notre nature magique au monde commun
- Jack surveille les lieux du crime ? Autant demander à un renard de garder un poulailler !
- Toute ma vie, j’ai monté des plans foireux pour faire fortune, alors qu’il suffisait que j’achète un billet de tombola.
- T’es tout essoufflé, Jack, t’as encore escaladé des tiges de haricots ?
- La prochaine fois que tu simules un crime, renverse le mobilier n’importe comment… au lieu de le disposer soigneusement comme cela t’arrange.
Un individu peut donner un litre de sang toutes les six semaines sans souffrir d’effets indésirables.
Once upon a time ... In a fictional land called New York City.
Les loteries sont un impôt sur la stupidité, dit on.
- En squattant ici, je suis le symbole vivant de ta rédemption définitive. Qui peut douter de ton repentir si l’un de tes vieux ennemis, un succulent cochon, dort chez toi sans craindre pour ses jarrets ? Et puis je déteste la ferme. Je suis un cochon des villes. J’aime le raffinement.
- N’empêche que su tu te refais la belle. Je te dénonce. Tu prends un petit déj’ avant que je te jette ?
- C’est quoi ?
- Œufs au bacon.
- Je retire ce que j’ai dit. Tu reste un monstre pur porc.
- En découvrant un tel spectacle, aucun homme ne se soucie de préserver les indices quand la femme qu’il aime est peut-être en train de se vider de son sang dans la pièce voisine.