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sur 2771 notes
On est quelque part au Canada. Avant d'obtenir son diplôme en chirurgie, Jean ou Djinn doit effectuer un stage en gynécologie dans le département du Dr. Karma, un médecin très humain avec ses patientes, le genre de médecin exemplaire et fin psychologue qu'il est rare de trouver. La jeune femme est bourrée de certitudes et le trouve agaçant. C'est évidemment réciproque, car l'arrogance de Djinn est désagréable. Elle ne supporte pas que ses acquis universitaires soient remis en question par tout ce qu'il a appris au travers de la pratique de sa profession. le Dr. Karma lui propose une semaine de stage de pure observation dans un premier temps. La confrontation entre les deux personnages est intéressante, et s'il n'y avait que cela, ce serait une lecture reposante, mais il s'agit de bien davantage dans ce roman qui est un ouvrage approfondi sur la pratique de la médecine, le respect des maux du patient, tous les problèmes qu'une femme rencontre liés à sa féminité, à sa sexualité ou même encore à son identité sexuelle. Avec la surabondance de cas de figures, le côté documentaire met au second plan le quotidien des docteurs, et j'ai lu de façon un peu plus fragmentée, parce que j'ai trouvé cela plus pesant, vu l'ampleur de ce travail d'enquête. le côté médical m'a touchée comme celui de la gestion de la douleur, de l'anxiété face à la situation d'examen, de la mort, de l'idéal du médecin, sa vocation, ou l'envers de la pratique médicale, le quotidien d'un médecin, etc… Fascinant mais lourd par endroits. Un roman utile et détaillé qui est à saluer.
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Une claque!
L'histoire est un prétexte pour parler des violences gynécologiques et des violences faites aux femmes en général.
Jean Atwood est une interne brillante en gynécologie. En attente d'un poste prestigieux, elle se retrouve malgré elle dans un service dédié à l'écoute et la contraception des femmes. A sa tête se trouve le Docteur Franz Karma qui prône une autre façon de soigner les femmes. Jean arrivera t-elle à changer?
J'ai adoré ce livre. Il est d'une rare puissance. Martin Winckler se base sur de véritables témoignages et cela se ressent. Il aborde également des thèmes tabous (l'intersexualité des nouveaux-nés).
Le choeur des femmes est un chef-d'oeuvre pour moi.
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Le choeur des femmes est un roman documentaire, où nous suivons le parcours de Jean Atwood, une brillante jeune interne en gynécologie qui pour valider son parcours doit passer 6 mois de le service 77 du Dr Franz Karma, un service dédié à la médicine de la femme . Cette assignation va à l'encontre des envies de Jean qui aurait préférer travailler en chirurgie gynécologique. Jean va apprendre à revoir ses préjugés sur le médecine des femmes.

Très belle lecture qui ne laisserait aucune femme indifférente. Je sors émue de cette lecture. Une pensée spécial pour ma gynéco mais surtout pour toutes ces femmes à qui la vie ne sourit pas toujours.

J'ai qu'un seul regret en ayant terminé ce livre de 688 pages: qu'il n'y avait pas plus de pages pour rester encore un peu avec Jean Atwood, Franz Karma et toutes ces personnes adorables.

Challenge ABC
Challenge Multidéfis
Challenge Pavés

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J'avais découvert Martin Winckler il y a de très nombreuses années avec "La maladie de Sachs" et j'avais été scotché par cette histoire et surtout l'art maîtrisé dans la construction du roman qui permettait de raconter et de décrire un médecin généraliste en creux sans jamais lui donner la parole, uniquement par le discours des autres, les patients, son entourage, les habitants du quartier.
Grâce à Babelio et au challenge multi-défi 2018, j'ai re-découvert cet auteur avec "Le choeur des femmes". Et c'est de nouveau, un vrai choc de lecture. Une histoire au départ assez simple, une jeune et brillante interne très sûre d'elle même et de sa valeur qui finalement va se révéler fragile par son histoire personnelle, se heurte à un médecin, chef d'une petite unité dédiée aux femmes et leur sexualité et dans laquelle elle doit y passer six mois de stage. Au fil des journées de consultations, d'échanges, d'écoutes, elle découvre "les bonnes femmes", leur problèmes, leur doutes, leur questionnements, leur forces, leur désespoirs, ce qui finalement va la métamorphoser.
Cette histoire n'est en fait que le fil conducteur, l'alibi du roman. Avec beaucoup de délicatesse tout en disant les choses mais toujours avec beaucoup de tendresse, Martin Winckler aborde des thèmes autour des femmes et leur sexualité, l'enfantement, la contraception, mais également les problèmes autour du genre. Il nous plonge dans l'univers de la médecine hospitalière avec ses seigneurs, les chefs de cliniques, les internes, et une structure qui finie par oublier le patient, ici les patientes, tellement convaincu du bienfondé de leur savoir. Il dénonce les relations compliquées et intéressées entre les laboratoires et le corps des médecins. Et tellement d'autres thèmes abordés qui donnent une profondeur et une puissance assez incroyable.
Certes, la démonstration est certainement poussée, extrême, tous les gynécologues ne sont pas aussi pervers, et obsédés, les chirurgiens ne sont pas tous des bouchers ou des docteurs Mengele. On pourra regretter que parfois l'histoire tourne au manichéisme et que la chute finale est un peu exagérée, même si je m'y suis laissé prendre (même à soixante balais on peu être un peu fleur bleue ...). Le propos du texte n'est pas celui-là.
Le titre du roman donne l'objectif : donner la parole aux femmes, raconter la multiplicité et la complexité de ce que peut-être la sexualité féminine dans une société qui cherche à codifier, classer, et lorsque cela ne rentre pas re-cadrer, interdire ou rejeter.
Martin Winckler, nous amene également à réfléchir sur nos propres idées préconçues qui sont remises en question par des retournements de situation Par exemple, ce n'est qu'à la page 48 du roman que l'on comprend.... (surprise à découvrir !)
La force du texte tient à sa structure. C'est un roman, mais également une immense enquête documentaire, un essai sociologique. Jean Atwood et sa métamorphose, on notera le clin d'oeil à Margaret Atwood et son texte "la servante écarlate", est le fil rouge d'un grand texte rythmé par des poèmes, des aphorismes, des monologues de patientes racontant leur histoire, des extraits de rapport et de forum internet. Le texte démarre sur un mode assez comique avec les ruminations et les colères de Jean lors de sa première journée de stage, et petit à petit, sa transformation devient dense, dramatique. Un magnifique et bouleversant roman.
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J'avais un petit peu peur de m'ennuyer en suivant cette jeune interne qui arrive dans un service de consultations gynéco. Mais je me suis laissée happer et ai dévoré ce livre. Quelques récits choraux, mais l'ensemble est quand même le récit de la jeune Jean, jeune femme qui a envie d'en découdre. Si l'intrigue est assez gentillette, et le côté féministe un peu exagéré, j'ai été très intéressée par le côté consultation médicale.
Il est sans doute plus facile de lire ce livre à l'âge adulte, et ayant déjà été enceinte si on est une femme, mais dans tous les cas, c'est un livre que j'ai trouvé bien documenté et au niveau médecin-patient j'ai trouvé qu'il sonnait juste.
Bonne pioche pour moi!
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Jean Atwood, interne en chirurgie gynécologique est envoyé passer six mois dans l'unité du Dr Karma, un médecin pas comme les autres qui va remettre en cause tout ce que Jean sait.

Encore un roman dont j'ai beaucoup entendu parler et que je regrette de ne pas voir lu plus tôt. J'ai été captivée dès les premières pages par l'histoire de cette jeune interne (que j'ai au départ prise pour un homme) qui va peu à peu apprendre à s'occuper de ces patientes autrement. Je suis sûre que de nombreuses femmes se reconnaitront dans les patientes que traite Jean. Parfois drôles, souvent touchants, ces récits s'ancrent très bien dans la réalité et sentent le vécu. On aimerait toutes avoir un médecin comme le docteur Karma. Un livre profondément humain qui milite pour une autre forme de médecine, plus à l'écoute du patient. Que vous soyez homme ou femme, ce roman est à lire absolument et se dévore comme un bon polar.
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Des fois il ne suffit pas de grand chose pour qu'une bonne lecture se transforme en coup de coeur … Malheureusement ce quelque chose manquait au Choeur des femmes, écrit par le médecin Martin Winckler. Et pourtant, pourtant … Pourtant j'ai été scotchée pendant plus de 500 pages, sans pouvoir m'arrêter, avec la prise de conscience que je lisais quelque chose de différent, de terriblement original …

Mais laissez-moi vous en dire plus !

Jean (prononcez Djinn !) est une interne brillante. N'ayant pu trouver de poste à sa hauteur avant la fin de ses études, son tuteur lui propose un dernier stage dans un service différent : la gynécologie, auprès du Dr Karma. Or Jean se destine à la chirurgie, pour laquelle elle s'est donnée durant toute sa formation – même si la chirurgie est plutôt réservée aux hommes, et qu'elle a dû se battre pour y arriver. Mais ce stage va changer sa vision des choses … car le service du Dr Karma est loin d'être un service "normal" : on y écoute vraiment les femmes, on les protège, on leur évite les jugements, les positions humiliantes. Or cela heurte tout ce que Jean a appris depuis le début de son internat, au contact de médecins qui faisaient peu de cas des patients, de leur douleur, de leurs états d'âmes.

"Les médecins qui veulent le pouvoir font tout pour l'obtenir. Ceux qui veulent soigner font tout pour s'en éloigner."

Sur le fonds donc, Winckler nous propose une réflexion intéressante, sur des méthodes révolutionnaires, plutôt inspirées du modèle anglo-saxon auquel les médecins français ont souvent été fermés – et parfois seulement parce qu'ils ne parlaient pas anglais ! Et Winckler a un don pour les démontrer, à travers des portraits de femmes et des traitements qu'elles ont pu subir en tombant entre les mains de "docteurs" ou de "soignants" : le rôle des médecins c'est de soigner, celui des infirmières, de prévenir les souffrances. Or Karma défend une médecine qui allie les deux. Et petit à petit, Jean se laisse séduire par l'homme d'abord, puis par ses méthodes …

Alors certes, la plupart des discussions donnent froid dans le dos – surtout quand on est une femme - tant il ne semble n'y avoir aucun tabou, aucun sujet que Martin Winckler ne puisse aborder. Ce n'est pas un roman à mettre entre toutes les mains, mais c'est un roman essentiel car il nous ouvre des possibilités inconnues en France, il nous fait voir nos médecins différemment …

Cependant, je trouve des choses à redire sur la forme : le roman est construit comme un vrai "choeur" alternant plusieurs voix de femmes nous débitant leur vie, et le quotidien du service de Karma. le texte va donc crescendo au fur et à mesure de l'évolution de l'interne Jean. Pour le coup, cette construction est plutôt efficace. Ce qui le dessert, ce sont les récits de femmes à répétition, sur des pages et des pages : que ce soit lors de consultations, ou sur le forum animé par le docteur Karma, c'est une avalanche d'histoires toutes plus horribles les unes que les autres, et qui finissent par lasser. J'avoue que j'ai sauté pas mal de pages pour y échapper …

En bref, le roman est bon sur le fonds – même si la fin peut être critiquée sur son côté "deus ex machina" et "happy end" – mais laisse un peu désirer sur la forme, qui souffre je pense d'un trop plein d'enthousiasme de la part de l'auteur, doublé de maladresses d'un non-écrivain (qui alternent avec des passages très bien écrits, très forts, comme les poèmes de complaintes des femmes, des mères …).

Mais la voix de Martin Winckler est malgré tout une voix qui compte, et il a produit un roman-pamphlet efficace qui devrait être incontournable pour tous – hommes et femmes !

Pour en savoir plus : une interview de l'auteur sur son roman. Passionnante !
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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Tout d'abord, j'aime beaucoup le titre du livre : "Le Choeur des femmes". Cette fois-ci, nous découvrons de l'intérieur la consultation de gynécologie du docteur Franz Karma, un ami du docteur Sachs à travers le regard de Jean Atwood interne de cinquième année qui se destine à la chirurgie gynécologique et qui doit y faire, un peu contre son gré, un stage de 6 mois. On retrouve tout l'esprit de « la maladie de Sachs », un médecin à l'écoute de ses patientes. Au début l'interne est déboussolé par les méthodes du docteur Karma mais peu à peu Jean va se « décoincer » et grâce aux patientes comprendre qu'un médecin est avant tout un soignant au service des patients. le lecteur assiste aux rendez-vous où des femmes racontent leur vie, parle de contraception, de sexualité... Mais ce n'est pas tout car Jean et le docteur Karma ont leurs propres petits secrets qui seront peu à peu révélés, tenant ainsi le lecteur en haleine...
Avec ce roman, Martin Winckler est plein de tendresse pour les femmes, il dénonce le machisme de certains dans le milieu médical et qui ignorent la parole des femmes. Il nous indique aussi des méthodes de consultations ou de soins utilisées avec succès à l'étranger et que les médecins français par solidarité de corps se refusent d'utiliser au détriment du patient.
Ce petit service «Médecine de la Femme» est un havre de paix et d'humanité où chacun est à l'écoute et au service des patients. Ce livre m'a bouleversé. A lire sans modération !
Lien : http://aproposdelivres.canal..
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La jeune interne Jean Atwood est à deux doigts d'obtenir son poste de chef de clinique en chirurgie gynécologique mais, avant, elle doit absolument valider un stage dans l'unité 77.

Ambitieuse, sûre d'elle, virtuose du bistouri, elle va d'abord devoir apprendre la patience car elle va travailler avec le Docteur Karma, un gynécologue à l'écoute de ses patientes.

Entre les deux, les choses ne partent pas sur les meilleurs bases mais Jean laisse finalement sa carapace se fendiller et comprend qu'elle a beaucoup à apprendre de ce médecin philanthrope.

Mon avis :
Ce livre dénonce très clairement cette médecine de la performance qui a oublié qu'elle soignait des Hommes.

Comme pour chacun de ces romans, Martin Winckler défend la médecine de l'écoute. Il met en avant l'importance du relationnel, que ce soit pour le médecin ou pour le patient.
A travers le personnage de Jean Atwwod, il dénonce la formation ou plutôt la déformation des étudiants en médecine. Alors que pour la plupart, ils choisissent cette voie avec cette envie d'aider les autres, on se rend compte qu'à un moment tout bascule et seule la performance compte.
Lien : http://www.livr-esse.com/art..
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Elle a quasi trente ans, elle est belle, séduisante et brillante, elle a été major de promo tous les ans, d'ici quelques mois elle finira son internat de gynécologie-obstétrique. Jean Atwood a tout pour elle mais elle est folle de rage. Pour valider la maquette, son coordonnateur lui impose un semestre dans un service de médecine, loin des blocs opératoires qu'elle aime tant. Elle, n'en déplaise aux mecs, elle veut être chir', rien ni personne ne la fera changer d'avis. Alors se retrouver pendant six mois à l'unité de Médecine de la Femme, quelle plaie ! Et encadrée par un médecin généraliste, avec ça ! le responsable n'est même pas gynéco, pensez-vous !
Jean (prononcez "Djinn") enrage, elle se débat, elle se révolte. Elle crie ses quatre vérités à ce Dr Karma (que tout le monde appelle "Franz", imaginez un peu !) qui ne ressemble pas aux chir', qui prend le temps, qui écoute, qui ne juge pas et semble se sentir tellement plus humain, plus attentif, supérieur à ses confrères. Et puis... peu à peu, elle comprendra ce qui se joue dans le fonctionnement de cet étrange service.

Quelle claque et quel incroyable moment à la fois ! le Choeur des femmes m'a touchée à plusieurs titres : en tant que femme bien sûr, en tant que patiente ensuite, mais aussi en tant que médecin.
J'en suis à peu près au même point que Jean : dans quelques mois, je terminerai mon internat. Oh, pas en chirurgie, les trucs manuels et minutieux, très peu pour moi ; non, moi, je serai psychiatre. Deux salles, deux ambiances. Et pourtant... Comme Jean, avant l'internat de spécialité, j'ai fait les six ans de fac de médecine. Aussi, les chir', je les ai un peu fréquentés, en cours ou en stage, et ce que je n'ai pas vu de mes propres yeux (dès que possible, j'ai fui le CHU pour aller dans des hôpitaux plus petits avec des médecins à l'ego moins hypertrophié), des amis y ont assisté : les brimades, les insultes, les humiliations, les "Dégage de là, espèce de bon à rien", les "Mais t'es co*** ou quoi?", les remarques sexistes, les blagues dégueulasses, et puis n'allez pas croire, même après pendant l'internat c'est pas parce qu'on est en psychiatrie que tout le monde est gentil. Dans l'avertissement, Martin Winckler le dit : "Presque tout le reste est vrai". Je vous assure que ça l'est, ou que ça peut l'être. La maltraitance institutionnelle (fermeture de lits, diminution du personnel, vous connaissez la chanson), la maltraitance entre confrères, l'élitisme délirant de certains chefs/doyens, la pression des examens du concours d'être toujours meilleur, le chantage pour les postes ("Ah tu veux rentrer chez toi? Tu sais, ton co-interne reste sur ses lendemains de garde"), tout est vrai. Même si ce n'était pas son but premier, ce roman est un témoignage de ce que nous subissons au cours de nos longues études. Aujourd'hui, on entend pas mal parler de burn-out chez les médecins, maintenant vous comprenez pourquoi.
Cependant, ce livre est avant tout un témoignage de ce que nous faisons subir à nos patients (ou plutôt nos patientes en l'occurrence ici), et souvent involontairement. On fait ce qu'on a vu faire, dit ce qu'on a entendu dire, de manière automatique et il serait parfois bon de faire une pause et de réfléchir à ces habitudes, à notre façon de nous présenter, de mener les entretiens ou les examens. le Choeur des femmes permet de faire un pas de côté et donne l'occasion de reconsidérer notre manière de soigner les autres. En tant que patiente, ça réconforte de savoir que des médecins vont lire ce livre, accéder à ce message et repenser à quel type de soignant ils ont envie d'être.
En tant que femme, eh bien, j'aimerais dire un énorme merci à Martin Winckler. Merci de souligner que nous avons (ou devrions avoir) le droit de choisir ce qui concerne notre corps, merci de répéter que non, nous ne sommes pas obligées d'avoir des enfants pour être épanouies, merci de rappeler qu'il n'est jamais trop tard pour se sentir belle amoureuse heureuse, pour avoir envie de tout envoyer promener et tout recommencer.
Merci, merci, merci. J'ai dévoré ce livre en quelques jours ! C'est un coup de coeur !

Challenge ABC 2022/2023
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