Wolinski a choisi comme personnage
Monsieur Paul, un petit fonctionnaire français, timoré ayant comme seul point commun avec Béru, une queue d'âne qui effraie la gente féminine.
Wolinski a choisi de nous emmener à la fin des années 1990 en compagnie de sa création à Cuba, l'île de tous les possibles, où règne un maître incontesté Castro, qui cohabite bon gré, malgré avec le rhum, la musique, les cigares, la danse, la foi et bien sûr le sexe.
Ce n'est pas un nième récit touristique nous racontant les mésaventures de touristes peut être crédules, mais avant tout n'ayant aucune illusion sur l'avenir.
La vision que Wolinski nous propose de l'île est fidèle à ses obsessions … Georges n'a t il pas demandé à sa femme de jeter ses cendres dans les WC pour qu'il puisse continuer après sa mort à admirer ses fesses !
Mais il nous offre en plus des indications sur les motivations profondes des cubains pour surmonter les difficultés économiques … vivre pleinement le moment présent … car il sera bien temps de ce préoccuper du lendemain quand un nouveau jour se lèvera !