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Citations sur Je n'ai pas dit mon dernier mot (31)

Pas encore sorti que déjà en tête des ventes ! Chassez le naturel, il revient au galop !.. On est plus près de l'oracle que de la poissonnière !
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Je continue, et je continuerai, de croire que la nation française a le droit légitime de préserver sur son sol sa culture, ses mœurs et son histoire. Je défendrai ce droit jusqu'au bout de mes forces, tant qu'une partie de ce peuple aura une claire conscience des enjeux civilisationnels.
C'est ma croix, mon destin et un honneur.
A qui donc d'autre crie-t-on : "sauvez-nous" ?
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Le pacifisme m'a-t-il vaincu ? A force d'alerter les Français sur ce qui les menace mortellement, leur fait-on peur au point qu'ils se détournent de Cassandre ? Au fond d'eux, se disent-ils que "si seulement personne n'en parlait, peut-être que rien de tout cela n'arriverait..." ?
Je ne puis m'y résoudre, comme tous les cyniques et les lâches. Peu importe. J'ai fait ce que je devais faire et une fraction significative du pays m'a entendu. Celle qui croit encore en la France. Celle pour qui ce pays signifie encore quelque chose, une histoire glorieuse, un attachement sentimental, un avenir heureux pour nos enfants.
A ces Français, j'ai parlé, et nous nous sommes compris. A jamais.
(Page 321).
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Le cynisme de Mélenchon est sans limites : il vise un électorat musulman de plus en plus nombreux et se montre prêt à toutes les apostasies pour l'attirer. Mais si l'on met en lumière sa tactique, il se récrie en vous accusant de distinguer entre les citoyens français. Il nie le Grand Remplacement pour mieux en profiter. Quand il évoque la future "créolisation" du peuple français, il invente une version bisounours de ce Grand Remplacement sans en nier pourtant la réalité.
Allons au-delà des accusations légitimes de calcul politicien : Mélenchon n'est plus un républicain au sens où l'étaient ceux de la IIIe République ; il l'était encore lorsqu'il affirmait, bravache et lucide, que "le voile islamique est un signe d'auto-stigmatisation ; celles qui le portent le font pour pouvoir se plaindre d'être stigmatisées". Il ne l'a plus été à partir du moment où il a affirmé haut et fort que "les musulmans ont le droit de pratiquer leur religion comme ils l'entendent".
Jamais, dans l'histoire de France, les adeptes d'une croyance, même les catholiques, n'ont pu "pratiquer leur religion comme ils l'entendent". Nos rois n'ont eu de cesse d'arracher l'Eglise de France et ses ouailles à l'autorité du pape. (Page 66)
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Je continue, et je continuerai, de croire que la nation française a le droit légitime de préserver sur son sol sa culture, ses moeurs et son histoire. Je défendrai ce droit jusqu'au bout de mes forces, tant qu'une partie de ce peuple aura une claire conscience des enjeux civilisationnels.
C'est ma croix, mon destin et mon honneur.
A qui d'autre crie-t-on : "Sauvez-nous" ?
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Michel Onfray, l'enfant des champs, m'a dit que j'avais manqué de ce rude contact avec la terre et le ciel, les odeurs et les couleurs, la boue à mes chaussures et les étoiles dans les yeux et que je m'étais jeté dans les livres pour pallier ce vide à la fois sensuel et métaphysique. Il a touché juste. j'ai découvert les villages français dans les livres d'histoire, de géographie et dans les romans ; pour moi, Angoulême est d'abord la ville de Rubempré ; le Béarn, le pays de d'Artagnan ; Cabourg, la station balnéaire où le petit Marcel Proust allait en vacances avec sa grand-mère ; la Normandie, la terre que me décrivent Gustave Flaubert et Guy de Maupassant ; la Provence, le pays de Jean Giono et Marcel Pagnol.
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On ne s'étonne plus qu'il y ait, en France, cent quarante mille demandeurs d'asile par an qui demeurent presque tous sur notre territoire, qu'ils aient obtenu le statut ou non : dans les années 1950, ils étaient trois cents, tous dissidents de l'Est communiste ou persécutés des dictatures sud-américaines.
(Page 212).
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Longtemps, les Français ont vécu à la campagne et rêvé de la ville ; désormais, ils habitent en ville et rêvent de la campagne. Jadis, la cité rendait libre ; désormais, elle emprisonne, menace, agresse. Quand tous les Français étaient sédentaires, accrochés à leur glèbe, incapables de voir au-delà du chef-lieu de leur sous-préfecture, le mouvement était la liberté, le luxe, le privilège. Quand tous les Français sont mobiles, pour le travail ou le tourisme, c'est l'immobilité, l'enracinement qui deviennent la liberté, le luxe, le privilège.
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J'ai approfondi, pendant des années, une analyse de la situation politique et historique française, dont je connais les moindre recoins. Mon constat est simple : c'est la survie de la France qui se joue. La démographie exponentielle de l'Afrique portera la population du continent à plus de deux milliards d'individus en 2050, quand celle de l'Europe stagnera autour de quatre cents millions ; pendant ce temps, l'histoire millénaire de l'affrontement entre l'islam et la chrétienté se poursuit sur notre propre sol : deux civilisations qui ne cessent de prendre le dessus l'une sur l'autre, dans un mouvement de flux et de reflux incessant, aussi éternel que le sac et le ressac de l'océan.
(Page 74).
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Je préfère lutter pour prouver que nos idées ne sont pas diaboliques plutôt qu'abandonner nos idées pour prouver que je ne suis pas le diable.
(Page 291).
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